Plus de soixante responsables, experts, représentants du Fnuap, de Tostan, Whepsa, Terre des Hommes et autres Organisations non-gouvernementales, chefs de services régionaux et départementaux de la Planification, de l’Action sociale, du Développement communautaire, de la jeunesse, des districts sanitaires des régions de Saint-Louis et de Matam, ont eu l’occasion de plancher pendant trois jours, sur le bilan des activités menées en 2007 dans le cadre du sixième programme d’assistance du Fnuap au Sénégal, qui sera mis en œuvre de 2007 à 2011 pour un coût global de 7 milliards de Fcfa.
Au cours de ce séminaire, organisé conjointement par les responsables de la Cellule d’appui à la mise en œuvre des projets et programmes (Cap) du ministère de l’Economie et des Finances et les responsables du Fonds des Nations unies pour la population, les participants ont passé en revue les expériences en matière de santé communautaire, vécues dans les régions de Saint-Louis et de Matam.
Cet atelier, selon le coordonnateur national de la Cap, Bacary Signaté, s’inscrit dans le cadre d’une démarche novatrice et d’une décentralisation des activités d’évaluation des projets supervisés par la Cap, financés par le Fnuap et autres programmes de l’Onu.
Cette rencontre, a-t-il poursuivi, a permis aux responsables des composantes « Santé de la reproduction », « Genre », « Population et Développement » du 6ème programme d’assistance du Fnuap au Sénégal, de présenter l’offre de services en Santé de la reproduction aux populations nomades, des expériences de santé communautaire vécue.
La mise en place de la Cap, a-t-il précisé, confirme la volonté politique des autorités de conduire toutes les réformes et autres actions nécessaires pour assurer une meilleure qualité dans la mise en œuvre des projets et programmes.
La problématique de cette mise en œuvre, en même temps qu’elle dépasse un acteur pris isolément, exige la franche collaboration de toutes les parties prenantes, notamment le gouvernement, les partenaires au développement, les projets et programmes, les bénéficiaires, etc.
Ainsi, au-delà du taux d’absorption des ressources, elle intègre les questions-clé de l’efficacité et de l’efficience, mais aussi de la qualité du circuit de la dépense publique.
Le Soleil
Au cours de ce séminaire, organisé conjointement par les responsables de la Cellule d’appui à la mise en œuvre des projets et programmes (Cap) du ministère de l’Economie et des Finances et les responsables du Fonds des Nations unies pour la population, les participants ont passé en revue les expériences en matière de santé communautaire, vécues dans les régions de Saint-Louis et de Matam.
Cet atelier, selon le coordonnateur national de la Cap, Bacary Signaté, s’inscrit dans le cadre d’une démarche novatrice et d’une décentralisation des activités d’évaluation des projets supervisés par la Cap, financés par le Fnuap et autres programmes de l’Onu.
Cette rencontre, a-t-il poursuivi, a permis aux responsables des composantes « Santé de la reproduction », « Genre », « Population et Développement » du 6ème programme d’assistance du Fnuap au Sénégal, de présenter l’offre de services en Santé de la reproduction aux populations nomades, des expériences de santé communautaire vécue.
La mise en place de la Cap, a-t-il précisé, confirme la volonté politique des autorités de conduire toutes les réformes et autres actions nécessaires pour assurer une meilleure qualité dans la mise en œuvre des projets et programmes.
La problématique de cette mise en œuvre, en même temps qu’elle dépasse un acteur pris isolément, exige la franche collaboration de toutes les parties prenantes, notamment le gouvernement, les partenaires au développement, les projets et programmes, les bénéficiaires, etc.
Ainsi, au-delà du taux d’absorption des ressources, elle intègre les questions-clé de l’efficacité et de l’efficience, mais aussi de la qualité du circuit de la dépense publique.
Le Soleil