L’Etat du Sénégal a reçu avant-hier jeudi 1er juillet de l’Uemoa (Union économique et monétaire Ouest africain), un financement de 5.514.480.000. Ce montant est destiné à la construction de 150 forages pour l’amélioration de la distribution de l’eau dans le monde rural et s’inscrit dans le programme économique régional de l’union. La convention a été signée par les ministres Abdoulaye Diop et Oumar Sarr et le président de la commission de l’Uemoa, Soumaïla Cissé. La réalisation technique des ouvrages est confiée à l’Agetip.
Cette deuxième convention entre dans le cadre programme économique régional de l’Uemoa, notamment sa composante « hydraulique villageoise ». Elle vise à améliorer la satisfaction de la demande en eau potable dans le monde rural. D’un montant global de 5.514.480.000 franccs Cfa ce financement sera destiné à la construction de « 150 forages supplémentaires » dans les régions de Matam, Tambacounda et Kédougou. Parmi ces forages « 120 seront équipés de pompes à motricité humaine ,les dix seront dotés de château avec de mini réseaux d’adduction équipés de pompes solaires voltaïques et de vingt forages avec un système d’adduction multi villages comprenant 20 châteaux d’eaux de 100m3 avec des réseaux d’alimentation en eau potable avec des bornes fontaines et équipés de systèmes thermique et /ou électrique ».
Ce programme d’hydraulique villageoise de l’Uemoa entre en droite ligne des Objectifs du millénaire pour le développement (Omd). Et, selon le président de la commission de l’union, « il a déjà permis la réalisation de 3000 forages, en trois ans sur l’ensemble de l’union et pour un montant de 30 milliards de FCFA ». A travers ce programme l’union vise à « améliorer la qualité du service de l’eau d’améliorer la santé des populations ».
La réalisation de ces 150 nouveaux forages est confiée à l’Agetip (Sénégal l’Agence d’exécution des travaux d’intérêt public contre le sous-emploi) en conformité avec l’option de l’union qui privilégie la politique du « faire- faire alliant compétence et pragmatisme ». La convention signée avant-hier jeudi 1er juillet par Soumaïla Cissé, Abdoulaye Diop ministre de l’économie et des finances et Omar Sarr ministre de Habitat et de l’Hydraulique est, selon le président de la commission, « une continuation heureuse du premier contrat de 150 forages qui a été signé le 25 janvier 2008 ».
Pour Omar Sarr ce programme est une solution à la distribution de l’eau potable dans le pays, « l’alimentation en eau potable est un axe majeur pour la lutte contre la pauvreté et pour l’atteinte des Omd ». Toutefois le ministre reconnaît qu’il y’a encore du chemin à faire encore pour atteindre « l’objectif de 35 litres d’eau par habitant et par jour qui est aujourd’hui à 28l/habitant/jour ».
Aussi malgré les bonnes performances, certaines régions comme Matam et Tambacounda et d’autres contrées éloignées du pays sont encore en proie à de grosses difficultés pour accéder à l’eau potable comme l’a du reste reconnu Omar Sarr. Le ministre annonce aussi un dispositif d’entretien et de gestion pour « vendre l’eau à un prix accessible aux ménage ruraux ». Pour le ministre de l’économie et des finances ce programme participe à la mise en œuvre du Programme eau potable et assainissement du millénaire (Pepam). Il permettra au Sénégal de réaliser sa politique hydraulique en aidant à la réalisation de 300 forages pour un coût global de 8 milliards de francs CFA.
Sud Quotidien
Cette deuxième convention entre dans le cadre programme économique régional de l’Uemoa, notamment sa composante « hydraulique villageoise ». Elle vise à améliorer la satisfaction de la demande en eau potable dans le monde rural. D’un montant global de 5.514.480.000 franccs Cfa ce financement sera destiné à la construction de « 150 forages supplémentaires » dans les régions de Matam, Tambacounda et Kédougou. Parmi ces forages « 120 seront équipés de pompes à motricité humaine ,les dix seront dotés de château avec de mini réseaux d’adduction équipés de pompes solaires voltaïques et de vingt forages avec un système d’adduction multi villages comprenant 20 châteaux d’eaux de 100m3 avec des réseaux d’alimentation en eau potable avec des bornes fontaines et équipés de systèmes thermique et /ou électrique ».
Ce programme d’hydraulique villageoise de l’Uemoa entre en droite ligne des Objectifs du millénaire pour le développement (Omd). Et, selon le président de la commission de l’union, « il a déjà permis la réalisation de 3000 forages, en trois ans sur l’ensemble de l’union et pour un montant de 30 milliards de FCFA ». A travers ce programme l’union vise à « améliorer la qualité du service de l’eau d’améliorer la santé des populations ».
La réalisation de ces 150 nouveaux forages est confiée à l’Agetip (Sénégal l’Agence d’exécution des travaux d’intérêt public contre le sous-emploi) en conformité avec l’option de l’union qui privilégie la politique du « faire- faire alliant compétence et pragmatisme ». La convention signée avant-hier jeudi 1er juillet par Soumaïla Cissé, Abdoulaye Diop ministre de l’économie et des finances et Omar Sarr ministre de Habitat et de l’Hydraulique est, selon le président de la commission, « une continuation heureuse du premier contrat de 150 forages qui a été signé le 25 janvier 2008 ».
Pour Omar Sarr ce programme est une solution à la distribution de l’eau potable dans le pays, « l’alimentation en eau potable est un axe majeur pour la lutte contre la pauvreté et pour l’atteinte des Omd ». Toutefois le ministre reconnaît qu’il y’a encore du chemin à faire encore pour atteindre « l’objectif de 35 litres d’eau par habitant et par jour qui est aujourd’hui à 28l/habitant/jour ».
Aussi malgré les bonnes performances, certaines régions comme Matam et Tambacounda et d’autres contrées éloignées du pays sont encore en proie à de grosses difficultés pour accéder à l’eau potable comme l’a du reste reconnu Omar Sarr. Le ministre annonce aussi un dispositif d’entretien et de gestion pour « vendre l’eau à un prix accessible aux ménage ruraux ». Pour le ministre de l’économie et des finances ce programme participe à la mise en œuvre du Programme eau potable et assainissement du millénaire (Pepam). Il permettra au Sénégal de réaliser sa politique hydraulique en aidant à la réalisation de 300 forages pour un coût global de 8 milliards de francs CFA.
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