L’accès à l’information au Sénégal dans le cadre d’une bonne gouvernance est depuis, hier et, ce, pour deux jours au Centre des échanges à Dakar entre les représentants d’organisations de la Société civile actives, d’administrations et autorités publiques, médiats, élus et acteurs du secteur privé et représentants de pays africains.
La rencontre organisée sous forme de panel a pour but d’informer et d’illustrer les différents problèmes qui se posent en matière d’accès à l’information au Sénégal. Le projet « Consolider et élargir la communication citoyenne pour une gouvernance démocratique au Sénégal », expliquera Moussa Ba, représentant de la Délégation de la Commission européenne et du ministre d’Etat de l’Economie et des Finances, vise à répondre à un déficit de communication constaté entre les acteurs non-étatiques et entre ces derniers et les acteurs de l’Etat. Faisant la genèse du programme financé à hauteur de 10 millions d’euros, soit 6,5 milliards Fcfa par l’Union européenne, Moussa Ba a précisé que ce montant vise à contribuer de manière significative à l’amélioration de la bonne gouvernance au Sénégal.
Le gouvernement du Sénégal, qui gère ces fonds, a fait un appel à propositions aux porteurs d’idées. Sur 300 propositions faites, 51 ont été sélectionnées dont le programme de Panos qui réunit pendant deux jours un séminaire national sur l’accès à l’information. Mme Pauline Bend, au nom de Diana Senghor, directrice de l’Ipao, tout comme Bouna Manel Fall, représentant du ministère de la Communication, ont tour à tour souligné les enjeux du séminaire qui va permettre un échange approfondi sur les contours de la future loi sur l’accès à l’information. Plusieurs communications, sous forme de panels, ont été faites sur des sujets variés comme « Médiats et accès à l’information » ; « Gestion des affaires publiques et accès à l’information administrative » ; « L’insuffisance et l’inexistence des textes sur l’accès à l’information » ; et « Les initiatives engagées par l’Etat en matière d’accès à l’information ».
Les séances en plénière et les travaux de groupe, qui vont suivre lors de la deuxième journée, vont permettre, selon les organisateurs (Ipao, l’Ue et Article 9), d’élaborer une stratégie de plaidoyer sur l’accès à l’information et constitueront un point de départ pour le plaidoyer.
Babacar Bachir SANE
Le Soleil
La rencontre organisée sous forme de panel a pour but d’informer et d’illustrer les différents problèmes qui se posent en matière d’accès à l’information au Sénégal. Le projet « Consolider et élargir la communication citoyenne pour une gouvernance démocratique au Sénégal », expliquera Moussa Ba, représentant de la Délégation de la Commission européenne et du ministre d’Etat de l’Economie et des Finances, vise à répondre à un déficit de communication constaté entre les acteurs non-étatiques et entre ces derniers et les acteurs de l’Etat. Faisant la genèse du programme financé à hauteur de 10 millions d’euros, soit 6,5 milliards Fcfa par l’Union européenne, Moussa Ba a précisé que ce montant vise à contribuer de manière significative à l’amélioration de la bonne gouvernance au Sénégal.
Le gouvernement du Sénégal, qui gère ces fonds, a fait un appel à propositions aux porteurs d’idées. Sur 300 propositions faites, 51 ont été sélectionnées dont le programme de Panos qui réunit pendant deux jours un séminaire national sur l’accès à l’information. Mme Pauline Bend, au nom de Diana Senghor, directrice de l’Ipao, tout comme Bouna Manel Fall, représentant du ministère de la Communication, ont tour à tour souligné les enjeux du séminaire qui va permettre un échange approfondi sur les contours de la future loi sur l’accès à l’information. Plusieurs communications, sous forme de panels, ont été faites sur des sujets variés comme « Médiats et accès à l’information » ; « Gestion des affaires publiques et accès à l’information administrative » ; « L’insuffisance et l’inexistence des textes sur l’accès à l’information » ; et « Les initiatives engagées par l’Etat en matière d’accès à l’information ».
Les séances en plénière et les travaux de groupe, qui vont suivre lors de la deuxième journée, vont permettre, selon les organisateurs (Ipao, l’Ue et Article 9), d’élaborer une stratégie de plaidoyer sur l’accès à l’information et constitueront un point de départ pour le plaidoyer.
Babacar Bachir SANE
Le Soleil