Un important programme d’appui à la réalisation de la Stratégie de croissance accélérée (Sca) et la sécurité alimentaire sera déroulé pendant quatre ans, dans toutes les régions. Il est financé à hauteur de 20 milliards Fcfa et permettra dans le cadre du projet de croissance économique de l’Usaid qui prend la forme de booster l’investissement privé par la mise en place de petites subventions.
Une quarantaine de représentants de communautés rurales, d’organisations paysannes du delta et de la vallée du fleuve Sénégal, d’Ong, de projets et programmes intervenant dans la région Nord, viennent de mener la réflexion avec des experts de la Saed, de l’Agence nationale de conseil agricole et rural (Ancar), du Drdr, de l’Isra. Ceci dans le cadre d’un atelier d’information organisé par l’USAID, sur les enjeux et les perspectives du Projet de Croissance Economique (PCE 2009-2013) de l’Usaid mis en œuvre par International Resources Group (IRG) qui appuie le gouvernement du Sénégal dans sa Stratégie de Croissance Accélérée (SCA) et dans la Sécurité Alimentaire.
Ce projet PCE, à en croire Lamine Cissé, gestionnaire de subventions au niveau de ce programme, sera mis en ouvre sur l’ensemble du territoire pour un coût global de plus de 20 milliards CFA et pour une durée de 4 ans. Il a démarré ses activités en avril 2009.
Il se fixe comme objectif de promouvoir l’investissement privé par l’accroissement de la production et de la productivité agricoles, la résolution des goulots d’étranglement dans le transport, le stockage, le commerce et la promotion des principes de marché.
Le PCE, a précisé M. Cissé, a mis en place un programme de petites subventions d’un montant approximatif de 736 millions CFA destinés en priorité aux acteurs du secteur privé (organisations de producteurs, entrepreneurs individuels, petites et moyennes entreprises, etc.). Il ambitionne à travers ce fonds de mettre à la disposition des acteurs privés, des chaînes de valeur, un minimum de 200 millions CFA par année. Ce fonds, a-t-il souligné, est un mécanisme financier destiné à appuyer les initiatives des acteurs privés des chaînes de valeur ciblées pour leur permettre de mettre en œuvre des projets qui contribuent à améliorer leur production et leur productivité, améliorer la qualité et accroître la valeur ajoutée de leurs produits et leurs parts de marché. Il doit également permettre aux promoteurs de bénéficier d’un accompagnement du PCE pour développer leurs activités et améliorer la gestion de leurs organisations professionnelles.
A travers ce mécanisme, le PCE appuiera en priorité des sous-projets s’insérant dans les chaînes de valeur relatives au riz, au maïs, au sorgho, à la noix d’acajou, à la mangue, au bissap, au sésame, au fonio, à la banane, au lait et à l’élevage, mais pourra prendre en considération d’autres chaînes de valeur.
Mbagnick Kharachi Diagne
Le Soleil
Une quarantaine de représentants de communautés rurales, d’organisations paysannes du delta et de la vallée du fleuve Sénégal, d’Ong, de projets et programmes intervenant dans la région Nord, viennent de mener la réflexion avec des experts de la Saed, de l’Agence nationale de conseil agricole et rural (Ancar), du Drdr, de l’Isra. Ceci dans le cadre d’un atelier d’information organisé par l’USAID, sur les enjeux et les perspectives du Projet de Croissance Economique (PCE 2009-2013) de l’Usaid mis en œuvre par International Resources Group (IRG) qui appuie le gouvernement du Sénégal dans sa Stratégie de Croissance Accélérée (SCA) et dans la Sécurité Alimentaire.
Ce projet PCE, à en croire Lamine Cissé, gestionnaire de subventions au niveau de ce programme, sera mis en ouvre sur l’ensemble du territoire pour un coût global de plus de 20 milliards CFA et pour une durée de 4 ans. Il a démarré ses activités en avril 2009.
Il se fixe comme objectif de promouvoir l’investissement privé par l’accroissement de la production et de la productivité agricoles, la résolution des goulots d’étranglement dans le transport, le stockage, le commerce et la promotion des principes de marché.
Le PCE, a précisé M. Cissé, a mis en place un programme de petites subventions d’un montant approximatif de 736 millions CFA destinés en priorité aux acteurs du secteur privé (organisations de producteurs, entrepreneurs individuels, petites et moyennes entreprises, etc.). Il ambitionne à travers ce fonds de mettre à la disposition des acteurs privés, des chaînes de valeur, un minimum de 200 millions CFA par année. Ce fonds, a-t-il souligné, est un mécanisme financier destiné à appuyer les initiatives des acteurs privés des chaînes de valeur ciblées pour leur permettre de mettre en œuvre des projets qui contribuent à améliorer leur production et leur productivité, améliorer la qualité et accroître la valeur ajoutée de leurs produits et leurs parts de marché. Il doit également permettre aux promoteurs de bénéficier d’un accompagnement du PCE pour développer leurs activités et améliorer la gestion de leurs organisations professionnelles.
A travers ce mécanisme, le PCE appuiera en priorité des sous-projets s’insérant dans les chaînes de valeur relatives au riz, au maïs, au sorgho, à la noix d’acajou, à la mangue, au bissap, au sésame, au fonio, à la banane, au lait et à l’élevage, mais pourra prendre en considération d’autres chaînes de valeur.
Mbagnick Kharachi Diagne
Le Soleil