Partie intégrante du plan anti-pollution de la Wilaya du Grand Casablanca, la station d’épuration des eaux usées de Médiouna a été inaugurée mercredi. Construite sur une superficie de 3,5 hectares, elle a une capacité de 40.000 équivalent habitants pour un volume de traitement de 3.800 m3 par jour.
Cette capacité de traitement de la station, dont le coût de réalisation est de 141 millions de dirhams, pourra être étendue à 80.000 équivalent habitants dans le futur.
Contre les rejets industriels et ménagers
Ce projet vise à protéger l’oued Hassar des rejets d’eaux usées de Médiouna et à contribuer à la préservation des ressources hydriques. Pour avoir une idée de l'importance de cette station d'épuration, il faut souligner que chaque jour, 2.800 m3 d’eaux usées industrielles et ménagères sont rejetées au niveau de Médiouna et ses alentours. Elles allaient directement dans l'oued Hassar.
“Ce grand évènement (inauguration de la station) conforte Lydec dans son engagement d’accompagner le développement urbain du Grand Casablanca, tout en veillant à la préservation de l’environnement et à la maîtrise des ressources.”
Jean-Pascal Darriet, directeur général de Lydec, filiale du groupe français Suez Environnement qui a réalisé la station de Médiouna
Du point de vue technologique, la station de Médiouna utilise la filtration membranaire, une première au Maroc et en Afrique du Nord. En pratique, le bassin d'aération de la station est équipé de modules ultra-filtrantes au point que l'eau traitée devient claire, donc bonne pour l'irrigation agricole.
“Ces boues séchées au soleil ou sous terre peuvent servir d’engrais pour l’agriculture ou bien être utilisées pour la production de gaz combustible. Les eaux peuvent être également utilisées pour l’irrigation ou l’arrosage.”
Hamid El Mesbahi, directeur des projets de développement de la Lydec, en 2010, lors de la présentation de l'état d'avancement du projet de la station de Médiouna
Pour rappel, la réalisation de la station d’épuration des eaux usées de Médiouna s’inscrit dans le cadre du plan anti-pollution de la Wilaya du Grand Casablanca en particulier, et de manière générale de la Charte nationale de l’environnement et du développement durable initiée par le Roi Mohammed VI en juillet 2009.
Kisito Ndour
http://www.aufaitmaroc.com/
Cette capacité de traitement de la station, dont le coût de réalisation est de 141 millions de dirhams, pourra être étendue à 80.000 équivalent habitants dans le futur.
Contre les rejets industriels et ménagers
Ce projet vise à protéger l’oued Hassar des rejets d’eaux usées de Médiouna et à contribuer à la préservation des ressources hydriques. Pour avoir une idée de l'importance de cette station d'épuration, il faut souligner que chaque jour, 2.800 m3 d’eaux usées industrielles et ménagères sont rejetées au niveau de Médiouna et ses alentours. Elles allaient directement dans l'oued Hassar.
“Ce grand évènement (inauguration de la station) conforte Lydec dans son engagement d’accompagner le développement urbain du Grand Casablanca, tout en veillant à la préservation de l’environnement et à la maîtrise des ressources.”
Jean-Pascal Darriet, directeur général de Lydec, filiale du groupe français Suez Environnement qui a réalisé la station de Médiouna
Du point de vue technologique, la station de Médiouna utilise la filtration membranaire, une première au Maroc et en Afrique du Nord. En pratique, le bassin d'aération de la station est équipé de modules ultra-filtrantes au point que l'eau traitée devient claire, donc bonne pour l'irrigation agricole.
“Ces boues séchées au soleil ou sous terre peuvent servir d’engrais pour l’agriculture ou bien être utilisées pour la production de gaz combustible. Les eaux peuvent être également utilisées pour l’irrigation ou l’arrosage.”
Hamid El Mesbahi, directeur des projets de développement de la Lydec, en 2010, lors de la présentation de l'état d'avancement du projet de la station de Médiouna
Pour rappel, la réalisation de la station d’épuration des eaux usées de Médiouna s’inscrit dans le cadre du plan anti-pollution de la Wilaya du Grand Casablanca en particulier, et de manière générale de la Charte nationale de l’environnement et du développement durable initiée par le Roi Mohammed VI en juillet 2009.
Kisito Ndour
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