Le ministre de la Santé et de l’Action sociale souhaite un renforcement de la transparence dans la gestion des fonds investis dans les structures de santé. Elle a fait cette déclaration, hier, en marge de l’ouverture des Concertations nationales sur la Santé et l’Action sociale.
Parmi les points inscrits au menu de la réflexion figure la gouvernance. Cette question préoccupe les autorités. Le ministre de la Santé et de l’Action sociale milite pour la culture de la transparence dans la gestion des fonds investis dans des structures sanitaires. « Nous allons discuter de gouvernance. Il y a des problèmes de gestion. Il faudrait qu’on ait une grande transparence dans tout cela, pour que l’argent aille directement aux populations », s’est exprimée Awa Marie Coll Seck.
L’introduction des réformes dans un secteur si sensible requiert l’implication de tous. Telle est la conviction du ministre de la Santé et de l’Action. « Il était important que nous puissions avoir l’avis de toutes les parties prenantes, des consommateurs qui vont dans les structures sanitaires et sociales, mais également le personnel de santé et de l’action sociale, les partenaires et les élus locaux », a estimé le ministre de la Santé et de l’Action sociale, le Pr Awa Marie Coll Seck.
Ces concertations sont l’occasion pour revoir, dans une approche holistique, les réformes à mettre en œuvre ainsi que les nouvelles initiatives de couverture sociale. « Il y a beaucoup de choses que nous allons mettre sur la table, afin d’avoir des reformes appropriées. Maintenant, il faut aussi dire que la Couverture maladie universelle sera un axe de discussion et nous voulons, après ces assises, aller dans le sens de sa mise en œuvre », a-t-elle annoncé.
SANE et Mamadou DIEYE
Le Soleil
Parmi les points inscrits au menu de la réflexion figure la gouvernance. Cette question préoccupe les autorités. Le ministre de la Santé et de l’Action sociale milite pour la culture de la transparence dans la gestion des fonds investis dans des structures sanitaires. « Nous allons discuter de gouvernance. Il y a des problèmes de gestion. Il faudrait qu’on ait une grande transparence dans tout cela, pour que l’argent aille directement aux populations », s’est exprimée Awa Marie Coll Seck.
L’introduction des réformes dans un secteur si sensible requiert l’implication de tous. Telle est la conviction du ministre de la Santé et de l’Action. « Il était important que nous puissions avoir l’avis de toutes les parties prenantes, des consommateurs qui vont dans les structures sanitaires et sociales, mais également le personnel de santé et de l’action sociale, les partenaires et les élus locaux », a estimé le ministre de la Santé et de l’Action sociale, le Pr Awa Marie Coll Seck.
Ces concertations sont l’occasion pour revoir, dans une approche holistique, les réformes à mettre en œuvre ainsi que les nouvelles initiatives de couverture sociale. « Il y a beaucoup de choses que nous allons mettre sur la table, afin d’avoir des reformes appropriées. Maintenant, il faut aussi dire que la Couverture maladie universelle sera un axe de discussion et nous voulons, après ces assises, aller dans le sens de sa mise en œuvre », a-t-elle annoncé.
SANE et Mamadou DIEYE
Le Soleil