THIES : Depuis plus de deux mois, la coordination locale de Wildaf Sénégal poursuit une série de rencontres avec les femmes des localités rurales du département de Thiès. L’objectif vise essentiellement à approfondir la réflexion sur les voies et moyens à impliquer de manière visible ces dernières à la bonne gouvernance en milieu rural.
Déjà, les communautés rurales de Keur Mousseu, la commune de Pout, ont bénéficié de cette formation destinée aux femmes leaders. Après Fandène, la coordination, sous la houlette de sa responsable Dieynaba Diallo, sera l’hôte des communautés rurales de Diender et de Kayar.
Le programme s’inscrit en bonne place dans le cadre de l’intégration du genre au niveau de la budgétisation des politiques publiques, un des domaines du programme d’Osiwa le partenaire financier de Wildaf Sénégal qui a injecté, dans l’opération, un pactole de 20 millions de Fcfa.
A Fandène, les femmes leaders se sont familiarisées avec des thèmes aussi variés les uns que les autres, à savoir, la planification, la programmation, et la budgétisation sensible au genre. Il s’est agi, par a ailleurs, de recueillir toutes leurs préoccupations prioritaires. Lesquelles ont fait l’objet de débats fort passionnants, voire fructueux. La parité, le genre, l’équité, l’égalité, la disparité, ont été passés à la loupe et expliqués par la même occasion aux participantes qui sont repartie bien outillées et aptes à jouer le rôle de courroie de transmission.
Selon Dieynaba Diallo, un des enjeux autour duquel s’articule ce projet réside dans la nécessité de restaurer le dialogue avec les élus pour trouver une solution durable à tous leurs problèmes. En tout cas, pour Marianne Coulibaly la coordinatrice nationale, tout faux pas est interdit et que les femmes doivent bien mériter la confiance placée en elles par le Chef de l’Etat qui a fait voter la loi sur la parité, un concept qui est un vœu longtemps exprimé par les associations de développement, les organisations féminines, entre autres. Selon elle, son application doit se traduire en actes concrets. Mais, la coordinatrice pense qu’il faut des femmes conscientes des responsabilités, compétentes et efficaces pour occuper les fonctions électives et nominatives.
Quant au président du conseil rural Pape Saliou Mbaye, les préoccupations des femmes rurales ont déjà été prises en compte par l équipe en place, notamment en matière d’affectation de terres, d’actions de développement. Il s’est engagé à consolider les acquis, voire les fructifier. S’agissant de la parité, Le président du conseil rural rassure « Rien ne sera ménagé lors de la confection, des listes pour que la parité soit absolue. Conformément aux instructions du Chef de l’Etat, Maître Abdoulaye Wade.
Abdourahmane Sarr GONZALES.
Le Soleil
Déjà, les communautés rurales de Keur Mousseu, la commune de Pout, ont bénéficié de cette formation destinée aux femmes leaders. Après Fandène, la coordination, sous la houlette de sa responsable Dieynaba Diallo, sera l’hôte des communautés rurales de Diender et de Kayar.
Le programme s’inscrit en bonne place dans le cadre de l’intégration du genre au niveau de la budgétisation des politiques publiques, un des domaines du programme d’Osiwa le partenaire financier de Wildaf Sénégal qui a injecté, dans l’opération, un pactole de 20 millions de Fcfa.
A Fandène, les femmes leaders se sont familiarisées avec des thèmes aussi variés les uns que les autres, à savoir, la planification, la programmation, et la budgétisation sensible au genre. Il s’est agi, par a ailleurs, de recueillir toutes leurs préoccupations prioritaires. Lesquelles ont fait l’objet de débats fort passionnants, voire fructueux. La parité, le genre, l’équité, l’égalité, la disparité, ont été passés à la loupe et expliqués par la même occasion aux participantes qui sont repartie bien outillées et aptes à jouer le rôle de courroie de transmission.
Selon Dieynaba Diallo, un des enjeux autour duquel s’articule ce projet réside dans la nécessité de restaurer le dialogue avec les élus pour trouver une solution durable à tous leurs problèmes. En tout cas, pour Marianne Coulibaly la coordinatrice nationale, tout faux pas est interdit et que les femmes doivent bien mériter la confiance placée en elles par le Chef de l’Etat qui a fait voter la loi sur la parité, un concept qui est un vœu longtemps exprimé par les associations de développement, les organisations féminines, entre autres. Selon elle, son application doit se traduire en actes concrets. Mais, la coordinatrice pense qu’il faut des femmes conscientes des responsabilités, compétentes et efficaces pour occuper les fonctions électives et nominatives.
Quant au président du conseil rural Pape Saliou Mbaye, les préoccupations des femmes rurales ont déjà été prises en compte par l équipe en place, notamment en matière d’affectation de terres, d’actions de développement. Il s’est engagé à consolider les acquis, voire les fructifier. S’agissant de la parité, Le président du conseil rural rassure « Rien ne sera ménagé lors de la confection, des listes pour que la parité soit absolue. Conformément aux instructions du Chef de l’Etat, Maître Abdoulaye Wade.
Abdourahmane Sarr GONZALES.
Le Soleil