Dakar, 28 oct (APS) – Un séminaire de deux jours s’est ouvert mercredi à Dakar, dans le but d’amener les participants à identifier les problèmes de communication affectant la bonne gouvernance.
’’Nous voulons identifier les problèmes qui se posent en matière de bonne gouvernance et liés à la communication, afin de sensibiliser’’ les gouvernants, les journalistes et les responsables d’organisations de la Société civile, a expliqué à l’APS Pauline Bend, directrice des programmes de l’Institut Panos-Afrique de l’Ouest (IPAO), basé à Dakar.
Ce séminaire est organisé à l’intention de journalistes, représentants de gouvernements et de la Société civile du Bénin, du Mali et du Sénégal.
Il s’agira, au terme du séminaire, de ’’recourir aux exemples de bonnes pratiques et normes internationales de la communication. Nous allons proposer un projet sur les bonnes pratiques et les droits à l’information, à respecter par les pouvoirs publics, les médias et le public’’, a ajouté Mme Bend.
’’Des experts vont parler des problèmes notés dans ce domaine, au Sénégal et dans d’autres pays. Il est important que la communication soit placée au centre de la gouvernance’’, a-t-elle souligné.
Des gouvernants, a-t-elle relevé, prennent un certain nombre de mesures et dégagent des moyens pour mettre en œuvre la bonne gouvernance, sans savoir que les médias doivent eux aussi jouer un rôle dans ce domaine.
Pauline Bend préconise de ’’donner les moyens aux médias et renforcer leur professionnalisme’’, pour leur permettre de faire leur travail. Il est impossible, selon elle, d’améliorer la gouvernance s’il n’y a pas d’environnement juridique favorable à la communication.
’’Il faut que les professionnels de l’information aient accès aux acteurs de la bonne gouvernance. Il faut qu’ils aient une liberté de manœuvre’’, a renchéri Mounirou Fall, membre de l’administration du Programme d’appui à la bonne gouvernance (PABG) de la commission de l’Union européenne (UE) au Sénégal.
’’Nous voulons identifier les problèmes qui se posent en matière de bonne gouvernance et liés à la communication, afin de sensibiliser’’ les gouvernants, les journalistes et les responsables d’organisations de la Société civile, a expliqué à l’APS Pauline Bend, directrice des programmes de l’Institut Panos-Afrique de l’Ouest (IPAO), basé à Dakar.
Ce séminaire est organisé à l’intention de journalistes, représentants de gouvernements et de la Société civile du Bénin, du Mali et du Sénégal.
Il s’agira, au terme du séminaire, de ’’recourir aux exemples de bonnes pratiques et normes internationales de la communication. Nous allons proposer un projet sur les bonnes pratiques et les droits à l’information, à respecter par les pouvoirs publics, les médias et le public’’, a ajouté Mme Bend.
’’Des experts vont parler des problèmes notés dans ce domaine, au Sénégal et dans d’autres pays. Il est important que la communication soit placée au centre de la gouvernance’’, a-t-elle souligné.
Des gouvernants, a-t-elle relevé, prennent un certain nombre de mesures et dégagent des moyens pour mettre en œuvre la bonne gouvernance, sans savoir que les médias doivent eux aussi jouer un rôle dans ce domaine.
Pauline Bend préconise de ’’donner les moyens aux médias et renforcer leur professionnalisme’’, pour leur permettre de faire leur travail. Il est impossible, selon elle, d’améliorer la gouvernance s’il n’y a pas d’environnement juridique favorable à la communication.
’’Il faut que les professionnels de l’information aient accès aux acteurs de la bonne gouvernance. Il faut qu’ils aient une liberté de manœuvre’’, a renchéri Mounirou Fall, membre de l’administration du Programme d’appui à la bonne gouvernance (PABG) de la commission de l’Union européenne (UE) au Sénégal.