Une trentaine de jeunes de la commune de Mbao conduisent une caravane écologique à l’intérieur du pays pour sensibiliser l’opinion et les pouvoirs publics sur les enjeux de la préservation des forêts régionales.
A Louga, ils ont manifesté leur solidarité au collectif pour la défense de la « bande verte », pour amener les acteurs à une gestion concertée de ces espaces.
Après Thiès, Louga a accueilli mardi dernier, la caravane écologique des jeunes de la commune de Mbao. Une initiative conjointe du ministère de l’Environnement et de l’association environnement et vie de ladite commune, en partenariat avec la commune française de la Garde.
Selon, le commandant Fall des Eaux et Forêts, cette caravane vise trois objectifs majeurs qui consistent à transmettre un message d’engagement des jeunes de Mbao en faveur d’une protection durable de l’environnement, sensibiliser les communautés des régions visitées sur la nécessité de protéger l’environnement contre les agressions et enfin promouvoir une culture citoyenne en faveur de l’environnement. Une occasion pour les caravaniers d’échanger avec l’inspecteur régional des Eaux et Forêts sur la situation à Louga avant de remettre leur message au gouverneur de région. Un message qui vise à amener les pouvoirs publics et les acteurs de l’environnement à mette sur pied un cadre de concertation pour une gestion rationnelle de l’environnement, de manière générale et des forêts régionales et autres espaces en particulier.
C’est pourquoi, ils n’ont pas manqué de manifester leur solidarité aux jeunes du collectif pour la défense de la « bande verte » de Louga, qui s’engagent dans un combat pour la gestion concertée de l’espace cédé à un promoteur privé pour la mise en place d’un projet immobilier.
« C’est à peu près la même cause. Nous, au niveau de Mbao, nous avons lutté contre l’agression abusive de la forêt régionale qui fait 700 ha. Ici à Louga les jeunes en ont fait autant, ce qui est légitime. Mais il faut que ce collectif de Louga pense à l’élaboration, comme nous l’avons fait, d’un plan d’aménagement de cette « bande verte » et trouver des partenaires avec l’Etat pour faire quelque chose, des infrastructures collectives et des aires de jeux et de loisirs », a souligné la vice-présidente de l’association environnement et vie.
Selon Mme Dia, « il faut renouer le fil du dialogue parce que ce qui est dommage c’est d’agir sans concertation préalable ».
Le Soleil
A Louga, ils ont manifesté leur solidarité au collectif pour la défense de la « bande verte », pour amener les acteurs à une gestion concertée de ces espaces.
Après Thiès, Louga a accueilli mardi dernier, la caravane écologique des jeunes de la commune de Mbao. Une initiative conjointe du ministère de l’Environnement et de l’association environnement et vie de ladite commune, en partenariat avec la commune française de la Garde.
Selon, le commandant Fall des Eaux et Forêts, cette caravane vise trois objectifs majeurs qui consistent à transmettre un message d’engagement des jeunes de Mbao en faveur d’une protection durable de l’environnement, sensibiliser les communautés des régions visitées sur la nécessité de protéger l’environnement contre les agressions et enfin promouvoir une culture citoyenne en faveur de l’environnement. Une occasion pour les caravaniers d’échanger avec l’inspecteur régional des Eaux et Forêts sur la situation à Louga avant de remettre leur message au gouverneur de région. Un message qui vise à amener les pouvoirs publics et les acteurs de l’environnement à mette sur pied un cadre de concertation pour une gestion rationnelle de l’environnement, de manière générale et des forêts régionales et autres espaces en particulier.
C’est pourquoi, ils n’ont pas manqué de manifester leur solidarité aux jeunes du collectif pour la défense de la « bande verte » de Louga, qui s’engagent dans un combat pour la gestion concertée de l’espace cédé à un promoteur privé pour la mise en place d’un projet immobilier.
« C’est à peu près la même cause. Nous, au niveau de Mbao, nous avons lutté contre l’agression abusive de la forêt régionale qui fait 700 ha. Ici à Louga les jeunes en ont fait autant, ce qui est légitime. Mais il faut que ce collectif de Louga pense à l’élaboration, comme nous l’avons fait, d’un plan d’aménagement de cette « bande verte » et trouver des partenaires avec l’Etat pour faire quelque chose, des infrastructures collectives et des aires de jeux et de loisirs », a souligné la vice-présidente de l’association environnement et vie.
Selon Mme Dia, « il faut renouer le fil du dialogue parce que ce qui est dommage c’est d’agir sans concertation préalable ».
Le Soleil