Le développement économique des villes est devenu une réalité pour notre commune, et ce grâce à l’appui du Padelu. Tel est le sentiment du député-maire de Guédiawaye, Bocar Sadikh Kane, qui s’est félicité de ce partenariat.
Pour le maire de Guédiawaye qui a été érigé en département en 2001, les autorités locales, en rapport avec le gouvernement et les partenaires au développement, s’emploient à faire de cette ville un des pôles de développement économique et social. Il s’agissait, pour le maire, de s’atteler à bien des réalisations qui puisent concourir à faire de Guédiawaye une ville émergente. Entre autres tâches, la réalisation du réseau routier « qui a considérablement amélioré la mobilité de la ville et a facilité la connexion entre Guédiawaye et Dakar et Pikine ». Bocar Sadikh Kane a aussi fait remarquer que sa ville bénéficie de l’éclairage public, d’équipements administratifs, marchands (reconstruction des marchés Sam et Ndiarème), socio-éducatifs (foyers des jeunes, terrains multifonctionnels ainsi que l’élargissement de la carte sanitaire et scolaire avec la construction de 52 salles de classes, d’un centre de santé communautaire à Golf Sud et la réhabilitation de deux postes de santé.
La 2ème phase de leur intervention, dira-t-il, a trait la politique de jeunesse. Ainsi, a-t-il indiqué, il s’agissait d’accompagner les jeunes dans leurs activités sportives et culturelles. « Grâce à notre démarche participative, nous avons su travailler en synergie avec leurs responsables pour mieux systématiser les subventions accordées annuellement. Des subventions que nous avons multiplié par dix, depuis l’avènement de l’alternance ». Sur un autre registre, il a fait part de la volonté de sa commune à apporter des solutions dans le cadre de la lutte contre la pauvreté dans la circonscription de Guédiawaye. « C’est dans ce cadre que nous avons eu un projet de développement économique local qui commence à porter ses fruits ». L’édile de la ville de Guédiawaye a aussi indiqué qu’après avoir relevé le niveau des infrastructures de son département, une de leurs préoccupations premières se situent au niveau de l’appui aux activités économiques. Bocar Sadikh Kane a aussi révélé l’existence d’un crédit municipal qui vient de bénéficier d’un financement de 30 millions de francs du ministère de la Femme et destinés 75 Gpf.
Dans le cadre de la coopération décentralisée, le maire a dit que sa ville va bientôt, grâce au partenariat avec le programme de la coopération technique allemande, l’Adepme, l’Apix, procéder à l’ouverture du 1er centre d’information économique et de formalités pour faciliter l’accès des acteurs économiques à l’information économique et aux conditions de formalités administratives. De l’avis de M. Kane, 85 à 100 millions de francs Cfa de crédit revolving vont être injectés pour le financement de projets collectifs. « Cela va renforcer notre tissu économique local en le rendant plus compétitif au niveau local, sous-régional et international ». Les pays du monde, subissant l’effet de la crise et les collectivités locales n’étant pas épargnées, Bocar Sadikh Kane a pensé que la recherche de solution de sortie de crise doit les mettre au cœur du dispositif par la création de richesses locales susceptibles d’atténuer les effets de cette crise mondiale.
« C’est là l’intérêt des micro-crédits urbains qui, judicieusement utilisés, permettront de développer de petites activités urbaines génératrices de revenus. Il faut donc que les villes se préparent à cette grande révolution agricole, la Goana, pensée par le chef de l’Etat, Me Abdoulaye Wade, pour faire partie de cette chaîne de production qui va du monde rural aux zones urbaines et dont la finalité est l’autonomie alimentaire et l’assurance à chaque famille d’un revenu décent lui permettant de vivre dignement tel que souhaité par le président Abdoulaye Wade ».
Le Soleil
Pour le maire de Guédiawaye qui a été érigé en département en 2001, les autorités locales, en rapport avec le gouvernement et les partenaires au développement, s’emploient à faire de cette ville un des pôles de développement économique et social. Il s’agissait, pour le maire, de s’atteler à bien des réalisations qui puisent concourir à faire de Guédiawaye une ville émergente. Entre autres tâches, la réalisation du réseau routier « qui a considérablement amélioré la mobilité de la ville et a facilité la connexion entre Guédiawaye et Dakar et Pikine ». Bocar Sadikh Kane a aussi fait remarquer que sa ville bénéficie de l’éclairage public, d’équipements administratifs, marchands (reconstruction des marchés Sam et Ndiarème), socio-éducatifs (foyers des jeunes, terrains multifonctionnels ainsi que l’élargissement de la carte sanitaire et scolaire avec la construction de 52 salles de classes, d’un centre de santé communautaire à Golf Sud et la réhabilitation de deux postes de santé.
La 2ème phase de leur intervention, dira-t-il, a trait la politique de jeunesse. Ainsi, a-t-il indiqué, il s’agissait d’accompagner les jeunes dans leurs activités sportives et culturelles. « Grâce à notre démarche participative, nous avons su travailler en synergie avec leurs responsables pour mieux systématiser les subventions accordées annuellement. Des subventions que nous avons multiplié par dix, depuis l’avènement de l’alternance ». Sur un autre registre, il a fait part de la volonté de sa commune à apporter des solutions dans le cadre de la lutte contre la pauvreté dans la circonscription de Guédiawaye. « C’est dans ce cadre que nous avons eu un projet de développement économique local qui commence à porter ses fruits ». L’édile de la ville de Guédiawaye a aussi indiqué qu’après avoir relevé le niveau des infrastructures de son département, une de leurs préoccupations premières se situent au niveau de l’appui aux activités économiques. Bocar Sadikh Kane a aussi révélé l’existence d’un crédit municipal qui vient de bénéficier d’un financement de 30 millions de francs du ministère de la Femme et destinés 75 Gpf.
Dans le cadre de la coopération décentralisée, le maire a dit que sa ville va bientôt, grâce au partenariat avec le programme de la coopération technique allemande, l’Adepme, l’Apix, procéder à l’ouverture du 1er centre d’information économique et de formalités pour faciliter l’accès des acteurs économiques à l’information économique et aux conditions de formalités administratives. De l’avis de M. Kane, 85 à 100 millions de francs Cfa de crédit revolving vont être injectés pour le financement de projets collectifs. « Cela va renforcer notre tissu économique local en le rendant plus compétitif au niveau local, sous-régional et international ». Les pays du monde, subissant l’effet de la crise et les collectivités locales n’étant pas épargnées, Bocar Sadikh Kane a pensé que la recherche de solution de sortie de crise doit les mettre au cœur du dispositif par la création de richesses locales susceptibles d’atténuer les effets de cette crise mondiale.
« C’est là l’intérêt des micro-crédits urbains qui, judicieusement utilisés, permettront de développer de petites activités urbaines génératrices de revenus. Il faut donc que les villes se préparent à cette grande révolution agricole, la Goana, pensée par le chef de l’Etat, Me Abdoulaye Wade, pour faire partie de cette chaîne de production qui va du monde rural aux zones urbaines et dont la finalité est l’autonomie alimentaire et l’assurance à chaque famille d’un revenu décent lui permettant de vivre dignement tel que souhaité par le président Abdoulaye Wade ».
Le Soleil