D’un montant annuel de 34,4 milliards F Cfa, le Programme indicatif de coopération (Pic) 2010-2013 entre la Belgique et le Sénégal a augmenté de 64% par rapport au précédent programme, selon le ministre d’Etat, ministre de l’Economie et des Finances, Abdoulaye Diop, à l’ouverture hier de la revue annuelle conjointe, en présence de l’ambassadeur de la Belgique au Sénégal, Georges Godart, et du directeur général de la coopération au développement de la Belgique, Peter Moors.
Le Sénégal figure parmi les premiers bénéficiaires de l’aide publique belge au développement, le montant du Pic 2010-2013 étant passé à 52, 5 millions d’Euros (environ 34,4 milliards F Cfa), soit une augmentation de 64% par rapport à celui du Pic de 2007-2009. Rien que pour le secteur de l’hydraulique et de l’assainissement rurale, des projets totalisant 19 millions d’euros, soit environ 12,5 milliards de F Cfa, ont été retenus, a assuré le ministre d’Etat. Quant au secteur de la santé, il a été retenu un montant d’environ 14 milliards F Cfa pour l’amélioration de l’offre et de la demande de soins, ainsi que de la gouvernance sanitaire. « Tenant compte des priorités de développement du Sénégal, à travers notamment les Omd et la stratégie de réduction de la pauvreté, nous avons concentré notre programme de coopération bilatérale 2010-2013 dans les régions du Bassin arachidier et de Thiès et sur les secteurs des infrastructures de base en hydraulique et assainissement rural et de la santé pris au sens large, dans ses aspects gouvernance sanitaire, offre et demande en soins de santé », a-t-il dit. Le survol du portefeuille des projets du Pic 2010-2013 montre, selon M. Abdoulaye Diop, que la coopération au développement entre la Belgique et le Sénégal a atteint un niveau de qualité très appréciable. Pour sa part, l’ambassadeur du Royaume de Belgique au Sénégal, Georges Godart, a mis l’accent sur l’importance du facteur humain qui occupe une place centrale dans les aides et programmes de son pays. Selon lui, le Pic 2010-2013 a cru de 60 % par rapport au programme précédent. Il a exprimé la détermination de son pays à continuer d’appuyer le Sénégal. Le Directeur de la coopération économique et financière (Decf), Massar Wagué et le directeur général de la coopération au développement, Peter Moors, ont jugé la mise en œuvre des différents programmes de coopération globalement satisfaisante. L’objectif de cette rencontre était d’assurer une large concertation entre les différents acteurs dans la mise en œuvre du programme de coopération entre le Sénégal et la Belgique. Cette revue visait également à faire le point sur les différents projets, à identifier les principales contraintes et à formuler des recommandations et perspectives en vue d’une plus grande efficacité dans la réalisation des activités.
Mamadou SY
Le Soleil
Le Sénégal figure parmi les premiers bénéficiaires de l’aide publique belge au développement, le montant du Pic 2010-2013 étant passé à 52, 5 millions d’Euros (environ 34,4 milliards F Cfa), soit une augmentation de 64% par rapport à celui du Pic de 2007-2009. Rien que pour le secteur de l’hydraulique et de l’assainissement rurale, des projets totalisant 19 millions d’euros, soit environ 12,5 milliards de F Cfa, ont été retenus, a assuré le ministre d’Etat. Quant au secteur de la santé, il a été retenu un montant d’environ 14 milliards F Cfa pour l’amélioration de l’offre et de la demande de soins, ainsi que de la gouvernance sanitaire. « Tenant compte des priorités de développement du Sénégal, à travers notamment les Omd et la stratégie de réduction de la pauvreté, nous avons concentré notre programme de coopération bilatérale 2010-2013 dans les régions du Bassin arachidier et de Thiès et sur les secteurs des infrastructures de base en hydraulique et assainissement rural et de la santé pris au sens large, dans ses aspects gouvernance sanitaire, offre et demande en soins de santé », a-t-il dit. Le survol du portefeuille des projets du Pic 2010-2013 montre, selon M. Abdoulaye Diop, que la coopération au développement entre la Belgique et le Sénégal a atteint un niveau de qualité très appréciable. Pour sa part, l’ambassadeur du Royaume de Belgique au Sénégal, Georges Godart, a mis l’accent sur l’importance du facteur humain qui occupe une place centrale dans les aides et programmes de son pays. Selon lui, le Pic 2010-2013 a cru de 60 % par rapport au programme précédent. Il a exprimé la détermination de son pays à continuer d’appuyer le Sénégal. Le Directeur de la coopération économique et financière (Decf), Massar Wagué et le directeur général de la coopération au développement, Peter Moors, ont jugé la mise en œuvre des différents programmes de coopération globalement satisfaisante. L’objectif de cette rencontre était d’assurer une large concertation entre les différents acteurs dans la mise en œuvre du programme de coopération entre le Sénégal et la Belgique. Cette revue visait également à faire le point sur les différents projets, à identifier les principales contraintes et à formuler des recommandations et perspectives en vue d’une plus grande efficacité dans la réalisation des activités.
Mamadou SY
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