Dakar, 10 avr (APS) – Le colloque sur le rôle et l’impact de la compétitivité dans les politiques de croissance économique, organisé mercredi à Paris par le Mouvement des entreprises du Sénégal (MEDS), a pris fin sur une série de recommandations dont l’une d’elles appelle le Gouvernement sénégalais à ‘’affiner’’ sa politique migratoire en vue de ‘’favoriser une bonne implication de la diaspora’’.
Les participants aux travaux parmi lesquels on notait l’ambassadeur du Sénégal en France, Paul Badji, le Consul du Sénégal en France, Amadou Diallo, le Vice-consul du Sénégal en France et l’économiste écrivain, Jacques Attali, ont également suggéré au Gouvernement de ‘’mettre en place un dispositif permettant d’accompagner pour moitié tout investissement porté par des ‘’fils du pays.
‘’L’approche compétitivité du Sénégal doit intégrer le volet culturel notamment dans ses aspects économiques pour faire la promotion d’une véritable économie compétitive qui va tirer le reste des secteurs’’, préconise le colloque qui insiste en outre sur la nécessité de ‘’rehausser le taux de formation pour atteindre les standards internationaux’’ et d’’’accroître les dispositifs institutionnels de bonne gouvernance pour renforcer l’environnement macroéconomique des affaires’’.
Avant ces pertinentes conclusions, le colloque avait suivi plusieurs communications dont celles du conférencier, Ibrahima Wade, Secrétaire permanent de la stratégie de croissance accélérée (SCA) et de Diène Farba Sarr, Directeur général de l’APIX. Dans les débats et contributions qui ont suivi, les participants au colloque ont unanimement souligné la nécessité pour le Gouvernement sénégalais ‘’de mettre en place un environnement des affaires qui soit compétitif’’.
Ils ont de même relevé ‘’la nécessité pour le Sénégal de relever les défis de la compétitivité’’, au motif que cette démarche ‘’est un préalable à l’émergence que les Autorités politiques souhaitent et appellent de leurs vœux.
Dans les discussions ayant suivi les communications et contributions dont celle fort appréciée du Lecomte-Solignac de l’OCDE, invite a été faite aux autorités sénégalaises d’’’intégrer davantage les aspects, communication, investissement, emploi, formation à tous les niveaux’’.
Elles doivent, de même, reconnaître ‘’les liens qui existent entre ces différents aspects, de façon à assurer un développement économique et social dans toutes ses dimensions’’, soulignent les participants aux débats qui insistent, par ailleurs ‘’sur la nécessité pour le Sénégal de renforcer l’existence d’une classe moyenne, de veiller à la sécurité des biens, à la stabilité démocratique et au respect de la règle de droit’’.
L’Etat du Sénégal doit ‘’continuer à promouvoir la bonne gouvernance, à faciliter l’accès au crédit, à avoir une fiscalité adaptée, ainsi qu’un environnement douanier incitatif’’, préconisent les participants aux débats du colloque dont l’ouverture a été marquée par les allocutions du président du MEDS, Mbagnick Diop, et du Consul général du Sénégal en France.
Amadou Diallo a notamment félicité le MEDS d’avoir eu l’initiative de réunir dans la capitale française des officiels, des décideurs, des intellectuels, la diaspora, les organisations internationales et partenaires techniques et financiers, en vue de fructueux échanges sur une thématique qu’il a qualifiée de ‘’pertinent et actuelle’’.
Selon le consul, le thème du colloque converge ‘’ avec les axes priorisés par le Gouvernement du Sénégal’’, d’où il a fait part de ‘’toute sa disponibilité’’ à ‘’accompagner le secteur privé sénégalais’’.
CTN
Les participants aux travaux parmi lesquels on notait l’ambassadeur du Sénégal en France, Paul Badji, le Consul du Sénégal en France, Amadou Diallo, le Vice-consul du Sénégal en France et l’économiste écrivain, Jacques Attali, ont également suggéré au Gouvernement de ‘’mettre en place un dispositif permettant d’accompagner pour moitié tout investissement porté par des ‘’fils du pays.
‘’L’approche compétitivité du Sénégal doit intégrer le volet culturel notamment dans ses aspects économiques pour faire la promotion d’une véritable économie compétitive qui va tirer le reste des secteurs’’, préconise le colloque qui insiste en outre sur la nécessité de ‘’rehausser le taux de formation pour atteindre les standards internationaux’’ et d’’’accroître les dispositifs institutionnels de bonne gouvernance pour renforcer l’environnement macroéconomique des affaires’’.
Avant ces pertinentes conclusions, le colloque avait suivi plusieurs communications dont celles du conférencier, Ibrahima Wade, Secrétaire permanent de la stratégie de croissance accélérée (SCA) et de Diène Farba Sarr, Directeur général de l’APIX. Dans les débats et contributions qui ont suivi, les participants au colloque ont unanimement souligné la nécessité pour le Gouvernement sénégalais ‘’de mettre en place un environnement des affaires qui soit compétitif’’.
Ils ont de même relevé ‘’la nécessité pour le Sénégal de relever les défis de la compétitivité’’, au motif que cette démarche ‘’est un préalable à l’émergence que les Autorités politiques souhaitent et appellent de leurs vœux.
Dans les discussions ayant suivi les communications et contributions dont celle fort appréciée du Lecomte-Solignac de l’OCDE, invite a été faite aux autorités sénégalaises d’’’intégrer davantage les aspects, communication, investissement, emploi, formation à tous les niveaux’’.
Elles doivent, de même, reconnaître ‘’les liens qui existent entre ces différents aspects, de façon à assurer un développement économique et social dans toutes ses dimensions’’, soulignent les participants aux débats qui insistent, par ailleurs ‘’sur la nécessité pour le Sénégal de renforcer l’existence d’une classe moyenne, de veiller à la sécurité des biens, à la stabilité démocratique et au respect de la règle de droit’’.
L’Etat du Sénégal doit ‘’continuer à promouvoir la bonne gouvernance, à faciliter l’accès au crédit, à avoir une fiscalité adaptée, ainsi qu’un environnement douanier incitatif’’, préconisent les participants aux débats du colloque dont l’ouverture a été marquée par les allocutions du président du MEDS, Mbagnick Diop, et du Consul général du Sénégal en France.
Amadou Diallo a notamment félicité le MEDS d’avoir eu l’initiative de réunir dans la capitale française des officiels, des décideurs, des intellectuels, la diaspora, les organisations internationales et partenaires techniques et financiers, en vue de fructueux échanges sur une thématique qu’il a qualifiée de ‘’pertinent et actuelle’’.
Selon le consul, le thème du colloque converge ‘’ avec les axes priorisés par le Gouvernement du Sénégal’’, d’où il a fait part de ‘’toute sa disponibilité’’ à ‘’accompagner le secteur privé sénégalais’’.
CTN