Cet atelier de deux jours ouvert hier, mardi 20 novembre, est une initiative du Programme d’appui à la décentralisation et au développement local (Proddel). Cette entité de d’appui technique est le fruit de la coopération conjointe entre la Gtz et la Kfw. Le Proddel a pris le relais du programme sénégalo-allemand de lutte contre la pauvreté en milieu rural dans le bassin arachidier (Pba) en juillet 2007. Son objectif, selon son directeur, Rolf Link est une « instauration durable de prestations de services publiques centrés sur les populations pauvres, les collectivités locales des régions de Fatick et de Kaolack ».
La consultante allemande a révélé que le Proddel a bénéficié d’une enveloppe de 9,5 millions d’euros de coopération financière et de 7,5 millions d’euros d’accompagnement, soit une enveloppe globale de 17 millions d’euros soit plus de 11 milliards de francs Cfa.
Cet atelier qui a réuni techniciens, élus et acteurs de la décentralisation et du développement local vise, de l’avis du directeur du Proddel, à définir clairement les rôles et responsabilités de chaque partie prenante concernée par la mise en œuvre du Programme. Rolf Link a expliqué que la charpente de cette rencontre demeure le partage et l’appropriation par les participants de la méthode « Gestion axée aux résultats (Gar) ». La GAR est, selon, Sidy Sarré conseiller technique responsable de ce volet, un concept basé sur le travail d’équipe. C’est une approche multi-sectorielle et participative qui cherche à aligner les efforts d’une organisation, d’un projet ou d’un programme sur les résultats attendus.
Pour plus d’efficacité, le Proddel a jugé utile d’organiser un atelier de mise à niveau des partenaires sur le concept de « gestion axée sur les résultats » pour permettre à tous ces acteurs d’en avoir une même compréhension et d’être préparés à une meilleure contribution à l’atteinte des objectifs. Le directeur du Proddel a ajouté qu’il va être défini dans cette rencontre les rôles, responsabilités et attentes des partenaires vis-à-vis du Proddel vice-versa, mais va aussi favoriser une mise en synergie des ressources dans la mise en œuvre des actions.
Pour cela, a indiqué Rolf Link, « cette structure de coopération technique allemande va s’appuyer sur l’appui à la politique de décentralisation, sur la gouvernance locale, planification et mise en œuvre du développement, la promotion de l’économie et la coordination du pôle prioritaire de la décentralisation ».
Le Proddel contribue, par ailleurs, au renforcement de la décentralisation et à la réduction de la pauvreté à travers la mise en œuvre de stratégies de développement local centrées sur les plans de développement des collectivités locales (Plan local de développement et Plan d’investissement communal). Il donne ainsi un appui à leur élaboration et à leur exécution à travers le renforcement de l’expertise locale.
Le Proddel finance les micro-projets et projets identifiés dans les Plans locaux de développement (Pld) et dans les plans d’investissement communaux (Pic). Ces collectivités locales versent une contrepartie de 10 % qui est inscrite dans leur budget. L’allocation moyenne de la coopération technique allemande est de 15 millions. Elle est liée à la population, à la superficie et au niveau de pauvreté de la collectivité locale. La consultante de la coopération allemande, Susanne Hesselbarth a renseigné qu’il est prévu une allocation supplémentaire de performance sensiblement basée sur les critères de bonne gouvernance. « Seules les collectivités locales qui ont respecté les critères de bonne gouvernance auront droit à cette allocation », a-t-elle signalée.
Rolf Link a, en outre, révélé que la structure qu’il dirige soutient le Programme national de développement local (Pndl) en étroite concertation avec d’autres partenaires au développement. « Il s’investira de manière constructive dans la mise en œuvre du Pndl et cherche à renforcer les effets du Pndl en ce qui concerne l’amélioration des conditions d’ensemble nationales pour un développement démocratique décentralisé, la dotation minimale des collectivités locales en infrastructures de base et la réalisation de mesures de développement économique dans la zone d’intervention », a avancé le directeur du Proddel.
Sud Quotidien
La consultante allemande a révélé que le Proddel a bénéficié d’une enveloppe de 9,5 millions d’euros de coopération financière et de 7,5 millions d’euros d’accompagnement, soit une enveloppe globale de 17 millions d’euros soit plus de 11 milliards de francs Cfa.
Cet atelier qui a réuni techniciens, élus et acteurs de la décentralisation et du développement local vise, de l’avis du directeur du Proddel, à définir clairement les rôles et responsabilités de chaque partie prenante concernée par la mise en œuvre du Programme. Rolf Link a expliqué que la charpente de cette rencontre demeure le partage et l’appropriation par les participants de la méthode « Gestion axée aux résultats (Gar) ». La GAR est, selon, Sidy Sarré conseiller technique responsable de ce volet, un concept basé sur le travail d’équipe. C’est une approche multi-sectorielle et participative qui cherche à aligner les efforts d’une organisation, d’un projet ou d’un programme sur les résultats attendus.
Pour plus d’efficacité, le Proddel a jugé utile d’organiser un atelier de mise à niveau des partenaires sur le concept de « gestion axée sur les résultats » pour permettre à tous ces acteurs d’en avoir une même compréhension et d’être préparés à une meilleure contribution à l’atteinte des objectifs. Le directeur du Proddel a ajouté qu’il va être défini dans cette rencontre les rôles, responsabilités et attentes des partenaires vis-à-vis du Proddel vice-versa, mais va aussi favoriser une mise en synergie des ressources dans la mise en œuvre des actions.
Pour cela, a indiqué Rolf Link, « cette structure de coopération technique allemande va s’appuyer sur l’appui à la politique de décentralisation, sur la gouvernance locale, planification et mise en œuvre du développement, la promotion de l’économie et la coordination du pôle prioritaire de la décentralisation ».
Le Proddel contribue, par ailleurs, au renforcement de la décentralisation et à la réduction de la pauvreté à travers la mise en œuvre de stratégies de développement local centrées sur les plans de développement des collectivités locales (Plan local de développement et Plan d’investissement communal). Il donne ainsi un appui à leur élaboration et à leur exécution à travers le renforcement de l’expertise locale.
Le Proddel finance les micro-projets et projets identifiés dans les Plans locaux de développement (Pld) et dans les plans d’investissement communaux (Pic). Ces collectivités locales versent une contrepartie de 10 % qui est inscrite dans leur budget. L’allocation moyenne de la coopération technique allemande est de 15 millions. Elle est liée à la population, à la superficie et au niveau de pauvreté de la collectivité locale. La consultante de la coopération allemande, Susanne Hesselbarth a renseigné qu’il est prévu une allocation supplémentaire de performance sensiblement basée sur les critères de bonne gouvernance. « Seules les collectivités locales qui ont respecté les critères de bonne gouvernance auront droit à cette allocation », a-t-elle signalée.
Rolf Link a, en outre, révélé que la structure qu’il dirige soutient le Programme national de développement local (Pndl) en étroite concertation avec d’autres partenaires au développement. « Il s’investira de manière constructive dans la mise en œuvre du Pndl et cherche à renforcer les effets du Pndl en ce qui concerne l’amélioration des conditions d’ensemble nationales pour un développement démocratique décentralisé, la dotation minimale des collectivités locales en infrastructures de base et la réalisation de mesures de développement économique dans la zone d’intervention », a avancé le directeur du Proddel.
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