Si vous devriez vous présenter au sénégalais, que diriez vous ?
Je m’appelle Djibril ndoye. Je suis le coordonnateur de réwmi dans la commune d’arrondissement de Ouakam. Je suis dans le parti depuis sa création, et je le représente dans la commune de Oakam. Dans le cadre des élections locales du 22 mars, le parti a intégré la coalition convergence citoyenne composée des partis( Tds, Brds,Mrds, une frange du Pit d’Aj et du Jef jel du Bds du Bcg etc) , sur la bannière du (BDS) le bloc démocratique pour la solidarité de Mamadou N’doye maire sortant de la commune de Yoff
Quel enseignement avez-vous tirez sur le déroulement des élections à Ouakam ?
Ce qui m’a frappé le plus c’est la mobilisation des populations de Ouakam. A mon avis cela justifie également leur attachement à la collectivité locale. Elles sont vraiment passionnées par l’importance de la journée du 22 mars, un jour fondamental pour l’avenir de chaque collectivité. Dans l’ensemble, le vote s’est bien déroulé partout dans la commune malgré le caractère tendu de ces élections partout dans le pays et à Ouakam en particulier. Seul regret, y’a eu quelques échauffourées qui ont occasionnés des blessés mais pas graves. Sinon tout s’est bien passé, le calme est quasi absolu. D’ailleurs à la fin du dépouillement, notre liste est sortie vainqueur parmi les cinq listes en course pour la gestion des affaires communales
Votre coalition (convergence citoyenne) a remporté les élections dans la commune. Quelle analyse avez- vous fait de ce « succès » ?
Ecoutez, les résultats ont montré que les populations de Ouakam n’étaient pas des touts contents de la manière que le maire sortant en l’occurrence Samba Bathily Diallo gérait les affaires de la commune. Elles ont constaté que leurs attentes n’ont pas été satisfaites. Depuis son accession comme premier magistrat de la commune d’arrondissement de Ouakam, le maire sortant n’a pas pu présenter un bilan approprié de la gestion des affaires de la collectivité. Donc ces populations, ayant compris notre message durant la campagne et ne doutant pas de la composition de notre liste mais surtout de notre compétence avérée ont tout simplement choisi de voter massivement pour notre compte.
C’est un défi qu’on vous a lancé ?
Notre souci est de répondre aux aspirations des populations. C’ est très important dans la gestion des affaires d’une cité. Je pense que sur une relation entre gouvernants et gouvernés, l’importance c’est de respecter le contenu du contrat. C’est-à-dire travailler pour les populations qui t’ont élue et non le contraire. Alors que pour le cas de Ouakam, les populations n’en n’ont moins vécu le second exemple sur le mandat du maire sortant. Nous ferons de notre possible pour relever défi. Nous allons axer notre mandat sur une gestion participative
Les préoccupations de la jeunesse seront t- elles au centre de vos priorités ?
Absolument. Notre ambition essentielle est d’assister les jeunes dans les domaines qui les concernent le plus. C’est à dire l’éducation, le sport, la culture. Construire des écoles, des centres de formation professionnels. Sur le sport, il nous faut réhabiliter le stade de l’école de football de Ouakam entre autres, réhabiliter le foyer des jeunes longtemps laissé en état de délabrement total
Sud Quotidien
Je m’appelle Djibril ndoye. Je suis le coordonnateur de réwmi dans la commune d’arrondissement de Ouakam. Je suis dans le parti depuis sa création, et je le représente dans la commune de Oakam. Dans le cadre des élections locales du 22 mars, le parti a intégré la coalition convergence citoyenne composée des partis( Tds, Brds,Mrds, une frange du Pit d’Aj et du Jef jel du Bds du Bcg etc) , sur la bannière du (BDS) le bloc démocratique pour la solidarité de Mamadou N’doye maire sortant de la commune de Yoff
Quel enseignement avez-vous tirez sur le déroulement des élections à Ouakam ?
Ce qui m’a frappé le plus c’est la mobilisation des populations de Ouakam. A mon avis cela justifie également leur attachement à la collectivité locale. Elles sont vraiment passionnées par l’importance de la journée du 22 mars, un jour fondamental pour l’avenir de chaque collectivité. Dans l’ensemble, le vote s’est bien déroulé partout dans la commune malgré le caractère tendu de ces élections partout dans le pays et à Ouakam en particulier. Seul regret, y’a eu quelques échauffourées qui ont occasionnés des blessés mais pas graves. Sinon tout s’est bien passé, le calme est quasi absolu. D’ailleurs à la fin du dépouillement, notre liste est sortie vainqueur parmi les cinq listes en course pour la gestion des affaires communales
Votre coalition (convergence citoyenne) a remporté les élections dans la commune. Quelle analyse avez- vous fait de ce « succès » ?
Ecoutez, les résultats ont montré que les populations de Ouakam n’étaient pas des touts contents de la manière que le maire sortant en l’occurrence Samba Bathily Diallo gérait les affaires de la commune. Elles ont constaté que leurs attentes n’ont pas été satisfaites. Depuis son accession comme premier magistrat de la commune d’arrondissement de Ouakam, le maire sortant n’a pas pu présenter un bilan approprié de la gestion des affaires de la collectivité. Donc ces populations, ayant compris notre message durant la campagne et ne doutant pas de la composition de notre liste mais surtout de notre compétence avérée ont tout simplement choisi de voter massivement pour notre compte.
C’est un défi qu’on vous a lancé ?
Notre souci est de répondre aux aspirations des populations. C’ est très important dans la gestion des affaires d’une cité. Je pense que sur une relation entre gouvernants et gouvernés, l’importance c’est de respecter le contenu du contrat. C’est-à-dire travailler pour les populations qui t’ont élue et non le contraire. Alors que pour le cas de Ouakam, les populations n’en n’ont moins vécu le second exemple sur le mandat du maire sortant. Nous ferons de notre possible pour relever défi. Nous allons axer notre mandat sur une gestion participative
Les préoccupations de la jeunesse seront t- elles au centre de vos priorités ?
Absolument. Notre ambition essentielle est d’assister les jeunes dans les domaines qui les concernent le plus. C’est à dire l’éducation, le sport, la culture. Construire des écoles, des centres de formation professionnels. Sur le sport, il nous faut réhabiliter le stade de l’école de football de Ouakam entre autres, réhabiliter le foyer des jeunes longtemps laissé en état de délabrement total
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