Lutte contre la pauvreté, appui aux quartiers démunis, droits de l’homme, encouragement à l’économie, renforcement de la paix et de la citoyenneté…, telles sont les cibles du partenariat que vient de signer la structure Enda Tiers Monde avec le Grand Duché de Luxembourg. Couvrant la période 2008-2011, les ressources mises à la disposition d’Enda par la Coopération luxembourgeoise constituent un appui institutionnel. Elles servent à renforcer l’autonomie d’action d’Enda et ses capacités à proposer des alternatives et à anticiper sur les changements.
Selon Joséphine Ouedraogo, secrétaire exécutif d’Enda Tiers Monde, ce partenariat entre dans le cadre du développement qui met au centre les acteurs sociaux et humains. Il s’agira, dit-elle, de les accompagner dans leur projet de vie, dans leur projet personnel et leur contribution dans leur propre environnement. En ce qui concerne la question de la pauvreté, le secrétaire exécutif de l’organisme international dira qu’Enda a une manière particulière de l’aborder. ‘L’épine dorsale c’est la formation et l’éducation’, explique-t-elle, ajoutant les efforts faits dans le cadre des renforcements de capacités, de la santé et du Vih.
Pour sa part Jean Louis Schiltz, ministre luxembourgeois de la Coopération et de l’Action humanitaire, estime que l’accent doit être mis sur le développement local en aidant les jeunes dans leurs différentes initiatives. Selon lui, les quartiers doivent bénéficier de programmes de gestion du milieu avec des mesures d’accompagnement.
Wal Fadjri
Selon Joséphine Ouedraogo, secrétaire exécutif d’Enda Tiers Monde, ce partenariat entre dans le cadre du développement qui met au centre les acteurs sociaux et humains. Il s’agira, dit-elle, de les accompagner dans leur projet de vie, dans leur projet personnel et leur contribution dans leur propre environnement. En ce qui concerne la question de la pauvreté, le secrétaire exécutif de l’organisme international dira qu’Enda a une manière particulière de l’aborder. ‘L’épine dorsale c’est la formation et l’éducation’, explique-t-elle, ajoutant les efforts faits dans le cadre des renforcements de capacités, de la santé et du Vih.
Pour sa part Jean Louis Schiltz, ministre luxembourgeois de la Coopération et de l’Action humanitaire, estime que l’accent doit être mis sur le développement local en aidant les jeunes dans leurs différentes initiatives. Selon lui, les quartiers doivent bénéficier de programmes de gestion du milieu avec des mesures d’accompagnement.
Wal Fadjri