Dans la perspective de son plan triennal (2008-2010), le Réseau d’initiatives et d’appui au développement (Riad) a convié ses partenaires au financement à une table ronde. L’objectif de cette Organisation non gouvernementale (Ong) était de les convaincre de la pertinence de cette initiative de 2,7 milliards de francs Cfa.
A travers le Document stratégique de réduction de la pauvreté (Dsrp), le Sénégal s’est résolument engagé dans la lutte contre ce fléau. Un phénomène qu’il veut réduire à sa plus simple expression par le biais des Objectifs du millénaire pour le développement (Omd). Le Réseau d’initiatives et d’appui au développement (Riad) dont l’objectif est de lutter contre la pauvreté et d’aider à asseoir les bases d’un développement durable par la réalisation d’activités génératrices de revenus convenables s’est ainsi approprié le combat avec son programme triennal de 2,7 milliards de francs Cfa qu’il compte dérouler entre 2008 et 2010. Ce qui, conformément à ses objectifs, devra permettre aux populations bénéficiaires de ses actions de mener des activités rentables dans un cadre propice.
C’est dans cette perspective que cette Organisation non gouvernementale (Ong) a tenu hier une table ronde avec ses partenaires pour le financement des activités de ce plan qui comporte essentiellement trois volets. A savoir : l’étude et la formation, la recherche et la culture et le programme partenariat. Avec une plus grande implication dans le partenariat, qui bénéficie de 76,8 % du budget global.
Au cours de cette rencontre, le président Ibrahima Abou Nguette a clairement affiché les ambitions que son association nourrit pour les Sénégalais en général. Entre autres objectifs de ce plan, M. Nguette, qui se trouve être le directeur de la Construction, révèle qu’il s’agit de mettre en place une banque socioculturelle et économique au niveau de toutes ses zones d’intervention. Mais aussi des ressources humaines compétentes au service du développement local. Aussi, compte-t-il, participer à la résorption du déficit de logement par la mise à disposition de toits à ses membres.
A en croire le président de ladite Ong, le Riad observe, dans son plan de travail de traitement des initiatives en programmes et projets, le processus qui va de la base, avec l’identification avec les populations des contraintes, au sommet. Ce qui va contribuer à la création d’opportunités d’insertion sociale et professionnelle des étudiants qui apportent au Riad l’appui nécessaire dans la conception et l’exécution des programmes. Ibrahima Abou Nguette insiste notamment sur la nécessité de mettre en œuvre l’activité phare de son association, c’est-à-dire le Programme de développement de Podor (Prodeb) qui est en phase de démarrage. Avec, entre autres, la sélection des bureaux d’étude pour la construction de pistes de désenclavement, le pont de Ndioum et la construction des magasins de stockage à Fanaye et Guia. Le Riad met un accent particulier sur le renforcement de la culture et de l’exercice de la bonne gouvernance. Ce, par la promotion de la citoyenneté active et le contrôle citoyen.
Wal Fadjri
A travers le Document stratégique de réduction de la pauvreté (Dsrp), le Sénégal s’est résolument engagé dans la lutte contre ce fléau. Un phénomène qu’il veut réduire à sa plus simple expression par le biais des Objectifs du millénaire pour le développement (Omd). Le Réseau d’initiatives et d’appui au développement (Riad) dont l’objectif est de lutter contre la pauvreté et d’aider à asseoir les bases d’un développement durable par la réalisation d’activités génératrices de revenus convenables s’est ainsi approprié le combat avec son programme triennal de 2,7 milliards de francs Cfa qu’il compte dérouler entre 2008 et 2010. Ce qui, conformément à ses objectifs, devra permettre aux populations bénéficiaires de ses actions de mener des activités rentables dans un cadre propice.
C’est dans cette perspective que cette Organisation non gouvernementale (Ong) a tenu hier une table ronde avec ses partenaires pour le financement des activités de ce plan qui comporte essentiellement trois volets. A savoir : l’étude et la formation, la recherche et la culture et le programme partenariat. Avec une plus grande implication dans le partenariat, qui bénéficie de 76,8 % du budget global.
Au cours de cette rencontre, le président Ibrahima Abou Nguette a clairement affiché les ambitions que son association nourrit pour les Sénégalais en général. Entre autres objectifs de ce plan, M. Nguette, qui se trouve être le directeur de la Construction, révèle qu’il s’agit de mettre en place une banque socioculturelle et économique au niveau de toutes ses zones d’intervention. Mais aussi des ressources humaines compétentes au service du développement local. Aussi, compte-t-il, participer à la résorption du déficit de logement par la mise à disposition de toits à ses membres.
A en croire le président de ladite Ong, le Riad observe, dans son plan de travail de traitement des initiatives en programmes et projets, le processus qui va de la base, avec l’identification avec les populations des contraintes, au sommet. Ce qui va contribuer à la création d’opportunités d’insertion sociale et professionnelle des étudiants qui apportent au Riad l’appui nécessaire dans la conception et l’exécution des programmes. Ibrahima Abou Nguette insiste notamment sur la nécessité de mettre en œuvre l’activité phare de son association, c’est-à-dire le Programme de développement de Podor (Prodeb) qui est en phase de démarrage. Avec, entre autres, la sélection des bureaux d’étude pour la construction de pistes de désenclavement, le pont de Ndioum et la construction des magasins de stockage à Fanaye et Guia. Le Riad met un accent particulier sur le renforcement de la culture et de l’exercice de la bonne gouvernance. Ce, par la promotion de la citoyenneté active et le contrôle citoyen.
Wal Fadjri