Pour renverser les tendances au niveau de la région qui enregistre 69 % de sa population ayant accès à l’eau potable et 17 % en zone rurale qui bénéficie d’un assainissement, le programme d’eau potable et assainissement du millénaire (Pepam) a procédé à une revue régionale pour une programmation participative des investissements du secteur en milieu rural.
En application de la lettre de politique sectorielle, le Pepam a comme ambition, selon Arona Traoré de la direction de l’assainissement, conformément aux objectifs des Omd, de réduire le niveau de pauvreté des populations par les approches programme mettant à profit toutes les activités des organismes, les projets et Ong afin d’éviter les doublons.
L’assainissement, c’est la dignité retrouvée. Il s’est félicité du rôle pionnier de la communauté rurale de Ballou, adossée au fleuve Sénégal et enclavée pendant toute la saison des pluies. Le département de Bakel, dans la région de Tambacounda qui a été le premier du pays à disposer de son PLHA en s’engageant fortement avec l’appui de ses ressortissants migrants à la mobilisation du financement pour sa mise en œuvre. Pour Fodé Kane, Chef de service régional de l’Hydraulique, la région va bénéficier du programme régional solaire pour six communautés rurales de Ballou, Bélé, Gabou, Sinthiou Fissa Moudéry et qui va toucher 8600 personnes.
Le PNDL va toucher 21 communautés rurales à travers 61 micro-projets d’alimentation en eau pour 43 villages par puits moderne, 15 forages, un château d’eau pour 462,72 millions de francs. Quant au programme Eau Vive, dira M Kane, il va permettre de toucher 12 communautés rurales, 10.260 personnes pour 60 ouvrages et 700 latrines pour 30 villages. 58 km de réseaux pour 17 villages, soit 38.943 habitants. Quant au projet UEMOA qui va prendre en compte les zones du socle, 300 forages marteau fond de trou sont prévus pour 2,78 milliards. L’AGOPA, le GRDR grâce au fond Européen va réaliser 5 forages dans le Gabou et le Moudéry pour 790 millions.
La région dira-t-il, va bénéficier du Fond Saoudien qui va déployer 2,5 Milliards pour 8 communautés rurales en mettant en place 14 forages marteau fond de trou pour 21.400 personnes. La CARITAS prévoit en ce qui la concerne 10 puits.
Les pannes récurrentes des forages qui occasionnent un déficit criard du taux d’approvisionnement en eau potable des populations rurales, selon M Saer Ndao, adjoint au Gouverneur de Tambacounda, restent une problématique qui tient à cœur les autorités. C’est ce qui explique, dira-t-il, cette approche participative à la base avec les Présidents de conseil ruraux, les Sous Préfets, les assistants communautaires.
Le Soleil
En application de la lettre de politique sectorielle, le Pepam a comme ambition, selon Arona Traoré de la direction de l’assainissement, conformément aux objectifs des Omd, de réduire le niveau de pauvreté des populations par les approches programme mettant à profit toutes les activités des organismes, les projets et Ong afin d’éviter les doublons.
L’assainissement, c’est la dignité retrouvée. Il s’est félicité du rôle pionnier de la communauté rurale de Ballou, adossée au fleuve Sénégal et enclavée pendant toute la saison des pluies. Le département de Bakel, dans la région de Tambacounda qui a été le premier du pays à disposer de son PLHA en s’engageant fortement avec l’appui de ses ressortissants migrants à la mobilisation du financement pour sa mise en œuvre. Pour Fodé Kane, Chef de service régional de l’Hydraulique, la région va bénéficier du programme régional solaire pour six communautés rurales de Ballou, Bélé, Gabou, Sinthiou Fissa Moudéry et qui va toucher 8600 personnes.
Le PNDL va toucher 21 communautés rurales à travers 61 micro-projets d’alimentation en eau pour 43 villages par puits moderne, 15 forages, un château d’eau pour 462,72 millions de francs. Quant au programme Eau Vive, dira M Kane, il va permettre de toucher 12 communautés rurales, 10.260 personnes pour 60 ouvrages et 700 latrines pour 30 villages. 58 km de réseaux pour 17 villages, soit 38.943 habitants. Quant au projet UEMOA qui va prendre en compte les zones du socle, 300 forages marteau fond de trou sont prévus pour 2,78 milliards. L’AGOPA, le GRDR grâce au fond Européen va réaliser 5 forages dans le Gabou et le Moudéry pour 790 millions.
La région dira-t-il, va bénéficier du Fond Saoudien qui va déployer 2,5 Milliards pour 8 communautés rurales en mettant en place 14 forages marteau fond de trou pour 21.400 personnes. La CARITAS prévoit en ce qui la concerne 10 puits.
Les pannes récurrentes des forages qui occasionnent un déficit criard du taux d’approvisionnement en eau potable des populations rurales, selon M Saer Ndao, adjoint au Gouverneur de Tambacounda, restent une problématique qui tient à cœur les autorités. C’est ce qui explique, dira-t-il, cette approche participative à la base avec les Présidents de conseil ruraux, les Sous Préfets, les assistants communautaires.
Le Soleil