Le Groupe de la Banque africaine de développement (Bad) et le gouvernement du Sénégal ont procédé hier, mardi 28 juin, à Dakar à la 12ème revue annuelle conjointe du programme de coopération. A cet effet, le chef du département de l’Economie, des Finances et du Plan, Amadou Ba a invité ses collaborateurs ainsi que ceux de l’Institution financière panafricaine à déceler toutes les contraintes liées à la contreperformance de la coopération bilatérale.
En 44 ans de coopération bilatérale (1972-2016), le Groupe africain de développement (Bad) a injecté des fonds considérables au Sénégal pour le financement de ses projets structurants. Cet appui financier se chiffre à 1200 milliards pour 95 opérations, informe Mamadou Lamine Ndongo, représentant résident de cette institution financière panafricaine, tout heureux de présider la 12ème et dernière revue annuelle, marquant ainsi, la fin de sa carrière professionnelle et services loyaux rendus à cette institution. C’était hier, mardi 28 juin, à Dakar, lors de la revue annuelle conjointe du programme de coopération entre le Sénégal et la Bad.
Au compte de l’année en cours (2016), le cumul des engagements de la Bad pour les projets du secteur public national, des projets régionaux et d’opérations du secteur privé s’élève à 438 milliards de francs CFA. S’agissant du portefeuille des projets nationaux actifs, on dénombre 11 opérations pour un volume global de 241 milliards de francs CFA.
INTEGRATION REGIONALE
Sur ce volet, touchant entre autre pays (la Gambie, la Guinée Bissau, la Guinée Conakry, le Mali), le Sénégal bénéficie de 6 opérations multinationales pour un montant global de 74 milliards de francs CFA. Pour les activités du guichet du secteur privé la Bad totalise au titre de ses engagements pour le Sénégal quelques 123 milliards de francs CFA pour 7 opérations dans les domaines des infrastructures routières (autoroute Dakar-Diamniadio), aéroportuaire (aéroport Balaise Diagne) et énergétique (centrale de Sendou), détaille un communiqué de presse remis aux journalistes à cette circonstance.
Amadou Ba, ministre de l’Economie, des Finances et du Plan dans ses propos s’est félicité de l’exemplarité de la coopération bilatérale entre le Sénégal de l’Institution financière panafricaine à ces termes: «Votre Institution a également augmenté ses investissements en faveur du secteur privé durant ces dernières années, particulièrement dans le secteur des infrastructures (énergie, port, transport). Ainsi, le secteur privé compte 6 opérations pour un montant d’environ 110 milliards de francs CFA».
«Je me réjouis à ce propos de la convergence de vues quant aux deux piliers retenus à savoir l’appui à la transformation agricole et le renforcement de soutien à la production et à la compétitivité (énergie et transport)», a-t-il fait remarquer. Nonobstant, il a invité ses collaborateurs et ceux de la Bad à identifier toutes potentielles contraintes et ainsi formuler des recommandations pour une efficacité et une efficience des fonds alloués. Passées de 5,5 ans en 2011 à 2 ans en 2015, la durée moyenne des opérations est jugée satisfaisante.
Sud quotidien
En 44 ans de coopération bilatérale (1972-2016), le Groupe africain de développement (Bad) a injecté des fonds considérables au Sénégal pour le financement de ses projets structurants. Cet appui financier se chiffre à 1200 milliards pour 95 opérations, informe Mamadou Lamine Ndongo, représentant résident de cette institution financière panafricaine, tout heureux de présider la 12ème et dernière revue annuelle, marquant ainsi, la fin de sa carrière professionnelle et services loyaux rendus à cette institution. C’était hier, mardi 28 juin, à Dakar, lors de la revue annuelle conjointe du programme de coopération entre le Sénégal et la Bad.
Au compte de l’année en cours (2016), le cumul des engagements de la Bad pour les projets du secteur public national, des projets régionaux et d’opérations du secteur privé s’élève à 438 milliards de francs CFA. S’agissant du portefeuille des projets nationaux actifs, on dénombre 11 opérations pour un volume global de 241 milliards de francs CFA.
INTEGRATION REGIONALE
Sur ce volet, touchant entre autre pays (la Gambie, la Guinée Bissau, la Guinée Conakry, le Mali), le Sénégal bénéficie de 6 opérations multinationales pour un montant global de 74 milliards de francs CFA. Pour les activités du guichet du secteur privé la Bad totalise au titre de ses engagements pour le Sénégal quelques 123 milliards de francs CFA pour 7 opérations dans les domaines des infrastructures routières (autoroute Dakar-Diamniadio), aéroportuaire (aéroport Balaise Diagne) et énergétique (centrale de Sendou), détaille un communiqué de presse remis aux journalistes à cette circonstance.
Amadou Ba, ministre de l’Economie, des Finances et du Plan dans ses propos s’est félicité de l’exemplarité de la coopération bilatérale entre le Sénégal de l’Institution financière panafricaine à ces termes: «Votre Institution a également augmenté ses investissements en faveur du secteur privé durant ces dernières années, particulièrement dans le secteur des infrastructures (énergie, port, transport). Ainsi, le secteur privé compte 6 opérations pour un montant d’environ 110 milliards de francs CFA».
«Je me réjouis à ce propos de la convergence de vues quant aux deux piliers retenus à savoir l’appui à la transformation agricole et le renforcement de soutien à la production et à la compétitivité (énergie et transport)», a-t-il fait remarquer. Nonobstant, il a invité ses collaborateurs et ceux de la Bad à identifier toutes potentielles contraintes et ainsi formuler des recommandations pour une efficacité et une efficience des fonds alloués. Passées de 5,5 ans en 2011 à 2 ans en 2015, la durée moyenne des opérations est jugée satisfaisante.
Sud quotidien