Joal-Fadiouth, 30 déc (APS) - L’accès au financement constitue l’un des problèmes des aires marines protégées (AMP) au Sénégal, a soutenu Birima Fall, responsable de la communication au sein du bureau pour l’Afrique de l’Ouest du Fonds mondial de la nature (WWF).
S’exprimant mardi lors d’une visite organisée au niveau de l’AMP de Joal-Fadiouth par le Centre d’études des sciences et techniques de l’information (CESTI), il a rappelé que ’’le budget de l’Etat ne peut pas tout faire’’.
La visite avait été organisée en partenariat avec WWF et le réseau des journalistes et communicateurs sur les changements climatiques et le développement durable (RECOD).
Partant de ce constat, le Fonds mondial de la nature ‘’a décidé d’appuyer les aires marines protégées en Afrique de l’Ouest’’, selon Birima Fall. Il a par exemple regretté le fait qu’une Aire marine comme celle de Joal-Fadiouth ne dispose que d’un budget de 17 millions de FCFA.
Dans le cadre de son programme Aires marines protégées, le bureau pour l’Afrique de l’Ouest de WWF a participé, avec l’Etat du Sénégal, dans la création des Aires marines de Joal-Fadiouth, de Saint-Louis, de Cayar et d’Abéné.
Mais au-delà, WWF s’implique aussi dans la gestion de ces sites écologiques à travers notamment l’appui à la mise en place et au fonctionnement de comités de gestion, a-t-il renseigné. Il a également cité d’autres appuis consentis par WWF à certains acteurs, pour l’élaboration de plans de gestion et le renforcement des capacités des acteurs en cogestion.
Dans le contexte actuel, ’’l’Etat doit partager ses responsabilités dans la gestion des aires protégées avec les communautés locales’’, a plaidé Birima Fall.
Il a par ailleurs soutenu que si la création d’aires marines est une ‘’chose assurée’’, leur fonctionnalité ‘’en est une autre’’, déplorant le fait qu’à l’heure actuelle, seuls trois aires marines sont fonctionnelles sur les cinq que comptent le Sénégal’’.
Pour lui, il faut une volonté politique appuyée pour assurer la fonctionnalité des aires marines protégées. ’’Il faut donner des moyens aux populations locales’’, a-t-il insisté.
S’exprimant mardi lors d’une visite organisée au niveau de l’AMP de Joal-Fadiouth par le Centre d’études des sciences et techniques de l’information (CESTI), il a rappelé que ’’le budget de l’Etat ne peut pas tout faire’’.
La visite avait été organisée en partenariat avec WWF et le réseau des journalistes et communicateurs sur les changements climatiques et le développement durable (RECOD).
Partant de ce constat, le Fonds mondial de la nature ‘’a décidé d’appuyer les aires marines protégées en Afrique de l’Ouest’’, selon Birima Fall. Il a par exemple regretté le fait qu’une Aire marine comme celle de Joal-Fadiouth ne dispose que d’un budget de 17 millions de FCFA.
Dans le cadre de son programme Aires marines protégées, le bureau pour l’Afrique de l’Ouest de WWF a participé, avec l’Etat du Sénégal, dans la création des Aires marines de Joal-Fadiouth, de Saint-Louis, de Cayar et d’Abéné.
Mais au-delà, WWF s’implique aussi dans la gestion de ces sites écologiques à travers notamment l’appui à la mise en place et au fonctionnement de comités de gestion, a-t-il renseigné. Il a également cité d’autres appuis consentis par WWF à certains acteurs, pour l’élaboration de plans de gestion et le renforcement des capacités des acteurs en cogestion.
Dans le contexte actuel, ’’l’Etat doit partager ses responsabilités dans la gestion des aires protégées avec les communautés locales’’, a plaidé Birima Fall.
Il a par ailleurs soutenu que si la création d’aires marines est une ‘’chose assurée’’, leur fonctionnalité ‘’en est une autre’’, déplorant le fait qu’à l’heure actuelle, seuls trois aires marines sont fonctionnelles sur les cinq que comptent le Sénégal’’.
Pour lui, il faut une volonté politique appuyée pour assurer la fonctionnalité des aires marines protégées. ’’Il faut donner des moyens aux populations locales’’, a-t-il insisté.