Les filières riz, maraîchage et mangue sont en passe de connaître un essor certain dans la région Sud du Sénégal.
Les acteurs de ces filières agricoles dites porteuses vont bénéficier de l’appui du Paderca (Projet d’appui au développement rural en Casamance) pour trouver des débouchées. De la production à la commercialisation, en passant par la transformation et l’organisation. Cela commande la mécanisation de la production, selon M. Yves Amoussougbo, expert au Paderca.
« D’abord, pour que les gens produisent suffisamment. Et ensuite, pour faire revenir dans la production les jeunes qui avaient abandonné l’agriculture à cause des conditions difficiles de travail. Ce qui permettrait de régler les problèmes de main d’œuvre relevés dans la production et la commercialisation ».
Dans le même ordre d’idée, M. Moustapha Bodian, coordonnateur national du Paderca, encourage la petite motorisation et demande d’investir davantage dans la maîtrise de l’eau, notamment pour améliorer la riziculture. « Il faudrait également promouvoir l’exploitation familiale, afin que les populations locales restent et travaillent chez elles et que la cellule familiale se développe », a-t-il ajouté. Non sans appeler au professionnalisme en matière de production. Selon son propos, son projet ambitionne d’accompagner les acteurs des filières porteuses dans l’aspect business, « afin de rendre durables leurs activités. » Déjà, les filières riz, maraîchage et mangue sont dotées chacune d’un plan d’action qui sera mis en œuvre incessamment. Lesdits plans ont été validés par les différents acteurs, mardi dernier à Ziguinchor, au cours d’un atelier.
Moussa SADIO
Le Soleil
Les acteurs de ces filières agricoles dites porteuses vont bénéficier de l’appui du Paderca (Projet d’appui au développement rural en Casamance) pour trouver des débouchées. De la production à la commercialisation, en passant par la transformation et l’organisation. Cela commande la mécanisation de la production, selon M. Yves Amoussougbo, expert au Paderca.
« D’abord, pour que les gens produisent suffisamment. Et ensuite, pour faire revenir dans la production les jeunes qui avaient abandonné l’agriculture à cause des conditions difficiles de travail. Ce qui permettrait de régler les problèmes de main d’œuvre relevés dans la production et la commercialisation ».
Dans le même ordre d’idée, M. Moustapha Bodian, coordonnateur national du Paderca, encourage la petite motorisation et demande d’investir davantage dans la maîtrise de l’eau, notamment pour améliorer la riziculture. « Il faudrait également promouvoir l’exploitation familiale, afin que les populations locales restent et travaillent chez elles et que la cellule familiale se développe », a-t-il ajouté. Non sans appeler au professionnalisme en matière de production. Selon son propos, son projet ambitionne d’accompagner les acteurs des filières porteuses dans l’aspect business, « afin de rendre durables leurs activités. » Déjà, les filières riz, maraîchage et mangue sont dotées chacune d’un plan d’action qui sera mis en œuvre incessamment. Lesdits plans ont été validés par les différents acteurs, mardi dernier à Ziguinchor, au cours d’un atelier.
Moussa SADIO
Le Soleil