« La clé de voûte de la finance islamique tourne autour de l’interdiction du « Riba » et de son corollaire : la participation aux profits et aux pertes. L’interdiction du « Riba » ou taux d’intérêt fixe et prédéterminé, est en effet un complément dans le principe du partage des risques associés à l’activité économique. En sachant que le taux d’intérêt est un instrument majeur du système économique et financier classique, il reste à savoir comment une entreprise en respectant les règles islamiques et en absence du taux d’intérêt pourra fonctionner.
Dans la formation que nous avons suivi avec notre frère Ali Toussi, nous avons appris que l’absence du taux d’intérêt ne sera pas un obstacle car l’Islam prévoit des solutions alternatives au taux d’intérêt. L’exemple parfait d’une entreprise en Islam, est la banque islamique, qui malgré sa récente apparition depuis quelques décennies, participe à la gestion de 50% des capitaux dans les pays musulmans.
Etant donné que la loi islamique ne reconnaît pas les sociétés de types occidental, les sociétés islamiques reposent sur l’association. L’absence du taux d’intérêt n’empêche en rien que les entreprises islamiques fonctionnent et concurrence les sociétés fondées sur le taux d’intérêt. Comme nous l’a montré le Docteur Toussi dans son cours l’islam a prévu des alternatives à cet instrument majeur du système économique occidental.
Le succès actuel des banques islamiques est réel, et même ce modèle a été préconisé par des hommes politiques, des économistes et des financiers comme une solution à la crise et bancaire. Aujourd’hui, des centaines d’institutions financières et banques islamiques pratiquent les opérations financières islamiques.
Pour terminer, je voudrais vous dire que ces enseignements divins énoncés depuis le septième siècle par le Prophète MOUHAMMAD (psl) et préservés intacts par les douze Imams infaillibles issus de sa famille et choisis par Dieu pour lui succéder ont gardé toute leur actualité et leur pertinence à l’époque contemporaine. Nous avons pensé et entrepris d’appliquer ces enseignements détenus actuellement par leurs partisans (les chiites) dans un vaste programme de développement durable en Afrique de l’Ouest ».
Sud Quotidien
Dans la formation que nous avons suivi avec notre frère Ali Toussi, nous avons appris que l’absence du taux d’intérêt ne sera pas un obstacle car l’Islam prévoit des solutions alternatives au taux d’intérêt. L’exemple parfait d’une entreprise en Islam, est la banque islamique, qui malgré sa récente apparition depuis quelques décennies, participe à la gestion de 50% des capitaux dans les pays musulmans.
Etant donné que la loi islamique ne reconnaît pas les sociétés de types occidental, les sociétés islamiques reposent sur l’association. L’absence du taux d’intérêt n’empêche en rien que les entreprises islamiques fonctionnent et concurrence les sociétés fondées sur le taux d’intérêt. Comme nous l’a montré le Docteur Toussi dans son cours l’islam a prévu des alternatives à cet instrument majeur du système économique occidental.
Le succès actuel des banques islamiques est réel, et même ce modèle a été préconisé par des hommes politiques, des économistes et des financiers comme une solution à la crise et bancaire. Aujourd’hui, des centaines d’institutions financières et banques islamiques pratiquent les opérations financières islamiques.
Pour terminer, je voudrais vous dire que ces enseignements divins énoncés depuis le septième siècle par le Prophète MOUHAMMAD (psl) et préservés intacts par les douze Imams infaillibles issus de sa famille et choisis par Dieu pour lui succéder ont gardé toute leur actualité et leur pertinence à l’époque contemporaine. Nous avons pensé et entrepris d’appliquer ces enseignements détenus actuellement par leurs partisans (les chiites) dans un vaste programme de développement durable en Afrique de l’Ouest ».
Sud Quotidien