Dakar, 27 juil (APS) – Le ministère de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle et le ministère de la Microfinance et de l’Entrepreneuriat féminin ont signé, mercredi, un protocole pour le financement de projets des bénéficiaires des plans de formation offerts par l’Office national de formation professionnelle.
‘’Par ce protocole nous avons pensé être beaucoup plus cohérents dans le cadre globale de la politique du gouvernement d’avoir deux département ministériels, l’un déroulant des plans de formation au bénéfice des femmes, des jeunes et des associations diverses et un autre ministère pour positionner les financements, les rentabiliser et garantir le paiement’’, a dit Mousa Sakho, en marge d’une cérémonie de remise d’attestations.
Des associations de femmes, des jeunes apprentis dans divers domaines ont reçu, le même jour, des attestations après des formations offertes par l’ONFP.
Pour Moussa Sakho, à la suite des plans de formation, ‘’les bénéficiaires requalifiés dans des domaines bien précis vont être positionnés pour bénéficier de plans de financement et rendre ces formations pertinentes’’.
‘’C’est une revendication des bénéficiaires de formations puisque la plupart revenaient encore vers le ministère pour demander de financements’’, a dit Mousa Sakho.
Le ministère de l’Enseignement technique est ‘’outillé pour dérouler des formations dans tous les domaines. Mais il y a des ministères plus compétents pour dérouler des financements’’, a-t-il encore expliqué pour souligner la pertinence du protocole signé entre les deux ministères.
Le protocole a été ainsi finalisé et des femmes qui avaient fait des formations à Tivaoune et à Touba ont pu déjà bénéficier des retombées de ce protocole avec des plans de financement
‘’C’est ce que nous voulons dans toutes les localités, après les formations que l’ONFP et le ministère envoient les listes authentifiées au niveau du ministère de la Microfinance qui se chargera de les accompagner dans le financement’’, a assuré Moussa Sakho.
Au cours de la cérémonie, les bénéficiaires et les opérateurs de formation ont profité de la tribune offerte pour faire part de la nécessité d’octroyer plus de ressources financière pour l’Office national de formation professionnelle, afin qu’elle ait un déploiement beaucoup plus massif.
Le ministère a obtenu le plaidoyer des organisations patronales et syndicales qui ont récemment souhaité, devant le chef du gouvernement, le relèvement du taux de la Charge forfaitaire à la charge de l’employeur (CFCE) reversé à l’ONFP et au Fonds de développement de la formation professionnelle.
Pour le moment, c’est 5% du CFCE qui sont reversés à ces structures. La demande des organisations patronales était d’augmenter sensiblement ce taux pour permettre plus de financements aussi bien à l’ONFP et au FONDEF pour que ces 2 outils puissent voir un déploiement beaucoup plus important au bénéfice des populations.
Les formations octroyées à 1.084 personnes de la région de Dakar pour un coût 42,6 millions de francs, concernent divers secteurs dont le micro jardinage, l’aviculture, l’apiculture, le carrelage, la plomberie, la coiffure, la teinture, la maçonnerie, la restauration, la transformation des céréales locales, des fruits et légumes entre autres.
Les bénéficiaires sont des employés du secteur privé, des agents de l’Etat, des artisans et chefs PME, des formateurs, des membres d’association de jeunes, de femmes, des agriculteurs, des éleveurs, des pêcheurs et des formateurs.
ADL/AD
‘’Par ce protocole nous avons pensé être beaucoup plus cohérents dans le cadre globale de la politique du gouvernement d’avoir deux département ministériels, l’un déroulant des plans de formation au bénéfice des femmes, des jeunes et des associations diverses et un autre ministère pour positionner les financements, les rentabiliser et garantir le paiement’’, a dit Mousa Sakho, en marge d’une cérémonie de remise d’attestations.
Des associations de femmes, des jeunes apprentis dans divers domaines ont reçu, le même jour, des attestations après des formations offertes par l’ONFP.
Pour Moussa Sakho, à la suite des plans de formation, ‘’les bénéficiaires requalifiés dans des domaines bien précis vont être positionnés pour bénéficier de plans de financement et rendre ces formations pertinentes’’.
‘’C’est une revendication des bénéficiaires de formations puisque la plupart revenaient encore vers le ministère pour demander de financements’’, a dit Mousa Sakho.
Le ministère de l’Enseignement technique est ‘’outillé pour dérouler des formations dans tous les domaines. Mais il y a des ministères plus compétents pour dérouler des financements’’, a-t-il encore expliqué pour souligner la pertinence du protocole signé entre les deux ministères.
Le protocole a été ainsi finalisé et des femmes qui avaient fait des formations à Tivaoune et à Touba ont pu déjà bénéficier des retombées de ce protocole avec des plans de financement
‘’C’est ce que nous voulons dans toutes les localités, après les formations que l’ONFP et le ministère envoient les listes authentifiées au niveau du ministère de la Microfinance qui se chargera de les accompagner dans le financement’’, a assuré Moussa Sakho.
Au cours de la cérémonie, les bénéficiaires et les opérateurs de formation ont profité de la tribune offerte pour faire part de la nécessité d’octroyer plus de ressources financière pour l’Office national de formation professionnelle, afin qu’elle ait un déploiement beaucoup plus massif.
Le ministère a obtenu le plaidoyer des organisations patronales et syndicales qui ont récemment souhaité, devant le chef du gouvernement, le relèvement du taux de la Charge forfaitaire à la charge de l’employeur (CFCE) reversé à l’ONFP et au Fonds de développement de la formation professionnelle.
Pour le moment, c’est 5% du CFCE qui sont reversés à ces structures. La demande des organisations patronales était d’augmenter sensiblement ce taux pour permettre plus de financements aussi bien à l’ONFP et au FONDEF pour que ces 2 outils puissent voir un déploiement beaucoup plus important au bénéfice des populations.
Les formations octroyées à 1.084 personnes de la région de Dakar pour un coût 42,6 millions de francs, concernent divers secteurs dont le micro jardinage, l’aviculture, l’apiculture, le carrelage, la plomberie, la coiffure, la teinture, la maçonnerie, la restauration, la transformation des céréales locales, des fruits et légumes entre autres.
Les bénéficiaires sont des employés du secteur privé, des agents de l’Etat, des artisans et chefs PME, des formateurs, des membres d’association de jeunes, de femmes, des agriculteurs, des éleveurs, des pêcheurs et des formateurs.
ADL/AD