OUAGADOUGOU– Mise en place en 2019, la Fédération internationale des scénaristes de l’Afrique et de la diaspora (Fisa), qui regroupe présentement 11 pays du continent parmi lesquels la Côte d’Ivoire, le Cameroun, le Burkina Faso et le Sénégal, entend pleinement jouer sa partition en vue d’accompagner le processus de professionnalisation et d’industrialisation du septième art. Face à la presse, hier, au Marché du cinéma et de la télévision, la Fisa, à travers son président, Assane Diagne, a réaffirmé son intention de prendre part à la prochaine édition du Fespaco. Cela, en faisant en sorte que la fédération soit prise en compte par cette biennale dédiée au septième art du continent. Il s’agira ainsi d’offrir à ce grand rendez-vous du cinéma africain l’expertise du Fisa dont les membres pourront intégrer le jury du festival. « À la suite d’une assemblée générale, nous avons consolidé cette fédération et signé des accords de siège avec le Fespaco », a souligné M. Diagne.
L’objectif principal de la Fédération internationale des scénaristes de l’Afrique et de la diaspora est de valoriser le métier de scénariste. « Notre programme est très vaste, mais l’objectif principal est de valoriser notre métier. Un film n’est pas un film sans scénario. Le scénario, c’est la racine d’un film », a expliqué John Frank Ondo du Gabon, secrétaire général de la Fisa. Cette fédération profite des technologies de l’information et de la communication pour mener, tous les dimanches, à travers ses différents pays membres, des formations à distance sur les techniques d’écriture et composition d’un scénario au profit des jeunes et des aspirants au métier de scénariste. Cette formation, a soutenu M. Ondo, est axée sur des thèmes bien précis, dont un travail sur la construction d’un personnage sur le plan psychologique, physiologique et sociologique.
https://lesoleil.sn/fespaco-la-fisa-disposee-a-apporter-son-expertise/
L’objectif principal de la Fédération internationale des scénaristes de l’Afrique et de la diaspora est de valoriser le métier de scénariste. « Notre programme est très vaste, mais l’objectif principal est de valoriser notre métier. Un film n’est pas un film sans scénario. Le scénario, c’est la racine d’un film », a expliqué John Frank Ondo du Gabon, secrétaire général de la Fisa. Cette fédération profite des technologies de l’information et de la communication pour mener, tous les dimanches, à travers ses différents pays membres, des formations à distance sur les techniques d’écriture et composition d’un scénario au profit des jeunes et des aspirants au métier de scénariste. Cette formation, a soutenu M. Ondo, est axée sur des thèmes bien précis, dont un travail sur la construction d’un personnage sur le plan psychologique, physiologique et sociologique.
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