Des juges d'instruction français se sont déplacés spécialement à Beyrouth pour entendre l'ex-patron de Renault-Nissan. Ses avocats espèrent notamment pouvoir faire annuler une partie de la procédure, accusant les autorités japonaises d'avoir commis des « erreurs volontaires ».
Source : https://www.lesechos.fr/industrie-services/automob...
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