Dans le cadre de la Rentrée solennelle des femmes scientifiques et ingénieures, hier, l’Association des femmes pour la promotion des sciences et de la technologie au Sénégal s’est engagée à promouvoir un accès massif des filles dans le domaine de la mécanique. Elle compte sensibiliser les institutions étatiques, la communauté éducative ainsi que les partenaires sur la pertinence de cette initiative.
Le taux des filles qui embrassent les filières scientifiques reste très faible dans notre pays. Cette situation est à l’origine de leur timide intégration dans le domaine de la mécanique. C’est dans le souci d’œuvrer pour la pleine participation des filles et des femmes dans ce domaine, généralement réservé aux hommes, que l’Association des femmes pour la promotion des sciences et de la technologie au Sénégal (Afstech) a procédé, hier, à la Rentrée solennelle des femmes scientifiques et ingénieures (Resfesi).
L’objectif de cette rentrée solennelle, selon la présidente de l’Afstech, Mme Rufina Dabo Sarr, est de faire un plaidoyer, en vue d’attirer, de former et de maintenir les filles dans le secteur de la mécanique. Aussi, la Resfesi cherche-t-elle à valoriser et à décorer les mécaniciennes et les ingénieures en tant que femmes-modèles au même titre que les hommes. « Nous avons l’objectif de décorer les femmes mécaniciennes, mais, pour avoir l’approche genre, nous y associons aussi les hommes. Cette année, nous avons choisi la mécanique dans tous ses aspects afin de susciter des vocations pour ce secteur et montrer aux gens qu’on peut être femme et exercer un métier dans ce domaine », a-t-elle indiqué. A l’en croire, il sera question de créer « une rupture » et de faire en sorte que les femmes intègrent davantage ces filières.
Selon Ndèye Abibatou Fall Sidibé, présidente de l’Association sénégalaise des femmes ingénieures en génie civil, l’accent sera mis sur la base. « Avec cette initiative, nous pouvons accroître l’effectif des femmes dans les filières scientifiques. Pour ce faire, nous allons commencer par la base, dans les collèges et lycées, afin d’encourager les filles à aimer ces matières qui sont très intéressantes pour leur avenir professionnel », a-t-elle expliqué.
Ibrahima BA
Le Soleil
Le taux des filles qui embrassent les filières scientifiques reste très faible dans notre pays. Cette situation est à l’origine de leur timide intégration dans le domaine de la mécanique. C’est dans le souci d’œuvrer pour la pleine participation des filles et des femmes dans ce domaine, généralement réservé aux hommes, que l’Association des femmes pour la promotion des sciences et de la technologie au Sénégal (Afstech) a procédé, hier, à la Rentrée solennelle des femmes scientifiques et ingénieures (Resfesi).
L’objectif de cette rentrée solennelle, selon la présidente de l’Afstech, Mme Rufina Dabo Sarr, est de faire un plaidoyer, en vue d’attirer, de former et de maintenir les filles dans le secteur de la mécanique. Aussi, la Resfesi cherche-t-elle à valoriser et à décorer les mécaniciennes et les ingénieures en tant que femmes-modèles au même titre que les hommes. « Nous avons l’objectif de décorer les femmes mécaniciennes, mais, pour avoir l’approche genre, nous y associons aussi les hommes. Cette année, nous avons choisi la mécanique dans tous ses aspects afin de susciter des vocations pour ce secteur et montrer aux gens qu’on peut être femme et exercer un métier dans ce domaine », a-t-elle indiqué. A l’en croire, il sera question de créer « une rupture » et de faire en sorte que les femmes intègrent davantage ces filières.
Selon Ndèye Abibatou Fall Sidibé, présidente de l’Association sénégalaise des femmes ingénieures en génie civil, l’accent sera mis sur la base. « Avec cette initiative, nous pouvons accroître l’effectif des femmes dans les filières scientifiques. Pour ce faire, nous allons commencer par la base, dans les collèges et lycées, afin d’encourager les filles à aimer ces matières qui sont très intéressantes pour leur avenir professionnel », a-t-elle expliqué.
Ibrahima BA
Le Soleil