La mairie de Podor veut impliquer toute la population dans sa gestion. C’est pourquoi, tous les quartiers ont été sollicités dans l’élaboration de son budget.
Le budget de la mairie de Podor sera soumis aux conseillers municipaux, pour adoption, le 9 mars prochain. En attendant, les six quartiers de la ville ont été associés dans son élaboration. Cette nouvelle démarche est initiée par Me Aissata Tall Sall, maire de Podor et son équipe.
Si depuis 1981, un Code des collectivités locales, fonde et organise la régionalisation, il doit être pratiqué dans les communes et communautés rurales. Donc, il « n’y a pas une approche plus réaliste pour servir sa ville que d’être impliqué dans sa propre gestion, il nous faut rétablir ensemble les déséquilibres et toute autre pratique incompatible avec nos devoirs de citoyens », estime-t-on.
Pour l’avocate, toute tentative visant à freiner le développement de la cité, doit être découragée. Toutefois, l’édile de Podor est disposé à donner à tout habitant de Podor les renseignements dont il a besoin sur la gestion de la municipalité. Car, elle est persuadée que : « quand on n’a pas l’information, la rumeur se substitue à la communication ».
Pour le secrétaire municipal Boly Diop, cette nouvelle démarche vise « une synergie de toutes nos compétences pour l’essor de notre ville ».
Mansour Sall, premier adjoint au maire, estime, quant à lui, que « l’approche participative et interactive doit être la nouvelle culture pour tous ». Il donne, pour exemple, le fait de s’acquitter de ses impôts. L’équipe municipale et la population de Podor sont favorables à cheminer ensemble autour d’un pacte moral et civique pour le développement de la commune.
Signalons qu’un appui de plusieurs millions de l’Agence de développement municipal (Adm) et du Luxembourg est attendu pour le compte de la vieille ville, comptoir du fleuve.
Amadou D. NIANG
Le Soleil
Le budget de la mairie de Podor sera soumis aux conseillers municipaux, pour adoption, le 9 mars prochain. En attendant, les six quartiers de la ville ont été associés dans son élaboration. Cette nouvelle démarche est initiée par Me Aissata Tall Sall, maire de Podor et son équipe.
Si depuis 1981, un Code des collectivités locales, fonde et organise la régionalisation, il doit être pratiqué dans les communes et communautés rurales. Donc, il « n’y a pas une approche plus réaliste pour servir sa ville que d’être impliqué dans sa propre gestion, il nous faut rétablir ensemble les déséquilibres et toute autre pratique incompatible avec nos devoirs de citoyens », estime-t-on.
Pour l’avocate, toute tentative visant à freiner le développement de la cité, doit être découragée. Toutefois, l’édile de Podor est disposé à donner à tout habitant de Podor les renseignements dont il a besoin sur la gestion de la municipalité. Car, elle est persuadée que : « quand on n’a pas l’information, la rumeur se substitue à la communication ».
Pour le secrétaire municipal Boly Diop, cette nouvelle démarche vise « une synergie de toutes nos compétences pour l’essor de notre ville ».
Mansour Sall, premier adjoint au maire, estime, quant à lui, que « l’approche participative et interactive doit être la nouvelle culture pour tous ». Il donne, pour exemple, le fait de s’acquitter de ses impôts. L’équipe municipale et la population de Podor sont favorables à cheminer ensemble autour d’un pacte moral et civique pour le développement de la commune.
Signalons qu’un appui de plusieurs millions de l’Agence de développement municipal (Adm) et du Luxembourg est attendu pour le compte de la vieille ville, comptoir du fleuve.
Amadou D. NIANG
Le Soleil