La commission pour l’Afrique et la gouvernance mondiale s’est réunie hier pour établir une grille d’activité globale et de fonctionnement. Une manière également d’examiner les différents thématiques qui seront mises en œuvre dans le cadre d’une meilleure insertion de l’Afrique dans les arcanes de l’économie mondiale.
C’est vers le début des années 1990 que le concept de bonne gouvernance est apparu avec comme principal objectif de doter l’Afrique d’un environnement propice au développement durable. Il s’agissait, entre autres, de veiller à la transparence dans la gestion des affaires publiques et sur l’Etat de droit.
C’est dans cette même dynamique de renforcement de la qualité dans le processus de gestion publique que le président Abdoulaye Wade a mis en place une commission pour l’Afrique et la gouvernance mondiale. Un outil co-présidé par le ministre des Affaires étrangères, Cheikh Tidiane Gadio, et par le professeur Iba Der Thiam. Après la rencontre de concertation de la semaine dernière, il revenait à ces deux intellectuels d’examiner et d’adopter les thématiques de réflexion, en procédant au lancement des activités de la commission. Ainsi, il sera procédé aux distributions des tâches afin que cette commission puisse enfin s’engager dans la réalisation des vrais enjeux économiques du continent.
C’est en 1999 que la Banque africaine de développement a sollicité la mise en place d’un environnement propice dans lequel les secteurs publics et privés doivent jouer leurs rôles respectifs afin de parvenir à la croissance et au développement durable. Ces deux volets étant les deux principaux obstacles au développement de l’Afrique. En appoint, le Millénium Challenge Account a voulu venir en renfort pour accroître l’aide publique de 50 %. Ainsi, avec un paquet de près de 5 milliards de dollars, les pays africains bénéficiaires devront en profiter pour réduire leur gap en matière d’infrastructures.
Des personnalités comme Tony Blair, l’ancien Premier ministre britannique, sont impliquées dans ce créneau visant à insérer l’Afrique dans le sillage de l’économie mondiale et, au-delà, ‘favoriser une participation effective des pays pauvres dans la future gouvernance mondiale, car l’économie actuelle est mondiale’, ainsi que le soutenait Jacques Attali.
Abdoul Aziz AGNE
Wal fadjri
C’est vers le début des années 1990 que le concept de bonne gouvernance est apparu avec comme principal objectif de doter l’Afrique d’un environnement propice au développement durable. Il s’agissait, entre autres, de veiller à la transparence dans la gestion des affaires publiques et sur l’Etat de droit.
C’est dans cette même dynamique de renforcement de la qualité dans le processus de gestion publique que le président Abdoulaye Wade a mis en place une commission pour l’Afrique et la gouvernance mondiale. Un outil co-présidé par le ministre des Affaires étrangères, Cheikh Tidiane Gadio, et par le professeur Iba Der Thiam. Après la rencontre de concertation de la semaine dernière, il revenait à ces deux intellectuels d’examiner et d’adopter les thématiques de réflexion, en procédant au lancement des activités de la commission. Ainsi, il sera procédé aux distributions des tâches afin que cette commission puisse enfin s’engager dans la réalisation des vrais enjeux économiques du continent.
C’est en 1999 que la Banque africaine de développement a sollicité la mise en place d’un environnement propice dans lequel les secteurs publics et privés doivent jouer leurs rôles respectifs afin de parvenir à la croissance et au développement durable. Ces deux volets étant les deux principaux obstacles au développement de l’Afrique. En appoint, le Millénium Challenge Account a voulu venir en renfort pour accroître l’aide publique de 50 %. Ainsi, avec un paquet de près de 5 milliards de dollars, les pays africains bénéficiaires devront en profiter pour réduire leur gap en matière d’infrastructures.
Des personnalités comme Tony Blair, l’ancien Premier ministre britannique, sont impliquées dans ce créneau visant à insérer l’Afrique dans le sillage de l’économie mondiale et, au-delà, ‘favoriser une participation effective des pays pauvres dans la future gouvernance mondiale, car l’économie actuelle est mondiale’, ainsi que le soutenait Jacques Attali.
Abdoul Aziz AGNE
Wal fadjri