Le dimanche 31 janvier 2010 restera un jour de bonheur avec l’inauguration à Nianar dans la Communauté rurale de Sandiara, des premières réalisations du programme de développement des Louly, intitulé « De l’eau pour tous ». Le programme est initié par un Ong française « Vivre en brousse » pour un coût évalué à 524 millions de FCfa.
Ce programme ? qui sera mis en œuvre dans 9 villages de la Communauté rurale de Sandiara, touchera près de 10.000 habitants et un cheptel de plus de 4.000 unités de bétail tropical. Selon la présidente de l’Ong, les réalisations seront constituées d’ouvrages et d’équipements hydrauliques pour l’alimentation en eau des populations et du cheptel, des aménagements de périmètres maraîchers communautaires et familiaux pour la création d’activités génératrices d’emplois et de revenus. Aussi, a soutenu Mme Martine Lemoy, le projet permettra la mobilisation et le renforcement des capacités des populations pour une appropriation et une gestion durable en vue d’assurer la pérennisation.
Le financement nécessaire est évalué à 800.000 euros, soit 524 millions de FCfa pour une durée de 3 ans (2009-2012). Le président de la Communauté rurale a affirmé que le projet entre en droite ligne avec la politique gouvernementale en matière d’hydraulique et vient consolider les liens séculaires entre la France et le Sénégal.
Au nom des populations, Bernard Sarr et Alé Sène se sont félicité que les femmes des 9 villages concernés (Louly Bentégné, Louly Sindiane, Nianar, Ndiouck Thiorokh, Soussane, Samane, Keur Diba, Ndollor et Mbourokh), qui faisaient des kilomètres à la recherche de l’eau à des heures inimaginables, aient accès à la source de la vie. Selon eux, des maladies comme la bilharziose et les diarrhées vont disparaître de la zone. Les longues distances parcourues par les éleveurs également seront aussi amoindries. Pour sa part, Sœur Margot Sadio, qui considère qu’il n’y a pas meilleur cadeau que de donner de l’eau, a demandé aux bénéficiaires de prendre conscience des efforts fournis par les donateurs et d’assurer un bon entretien des infrastructures.
Amath Sigui NDIAYE
Le Soleil
Ce programme ? qui sera mis en œuvre dans 9 villages de la Communauté rurale de Sandiara, touchera près de 10.000 habitants et un cheptel de plus de 4.000 unités de bétail tropical. Selon la présidente de l’Ong, les réalisations seront constituées d’ouvrages et d’équipements hydrauliques pour l’alimentation en eau des populations et du cheptel, des aménagements de périmètres maraîchers communautaires et familiaux pour la création d’activités génératrices d’emplois et de revenus. Aussi, a soutenu Mme Martine Lemoy, le projet permettra la mobilisation et le renforcement des capacités des populations pour une appropriation et une gestion durable en vue d’assurer la pérennisation.
Le financement nécessaire est évalué à 800.000 euros, soit 524 millions de FCfa pour une durée de 3 ans (2009-2012). Le président de la Communauté rurale a affirmé que le projet entre en droite ligne avec la politique gouvernementale en matière d’hydraulique et vient consolider les liens séculaires entre la France et le Sénégal.
Au nom des populations, Bernard Sarr et Alé Sène se sont félicité que les femmes des 9 villages concernés (Louly Bentégné, Louly Sindiane, Nianar, Ndiouck Thiorokh, Soussane, Samane, Keur Diba, Ndollor et Mbourokh), qui faisaient des kilomètres à la recherche de l’eau à des heures inimaginables, aient accès à la source de la vie. Selon eux, des maladies comme la bilharziose et les diarrhées vont disparaître de la zone. Les longues distances parcourues par les éleveurs également seront aussi amoindries. Pour sa part, Sœur Margot Sadio, qui considère qu’il n’y a pas meilleur cadeau que de donner de l’eau, a demandé aux bénéficiaires de prendre conscience des efforts fournis par les donateurs et d’assurer un bon entretien des infrastructures.
Amath Sigui NDIAYE
Le Soleil