Saint-Louis, 18 sept (APS) - Le secrétaire permanent de la Stratégie de la croissance accélérée (SCA) Ibrahima Wade a fait part de sa satisfaction relative à la "forte mobilisation" des acteurs de la filière horticole qu’il a rencontrés pour les sensibiliser à propos de la mise en place d’une interprofession du secteur.
"Partout où nous sommes passés, nous avons senti l’engouement des populations face à ce projet que la SCA porte dans l’intérêt des acteurs dont les actions dispersées n’arrivent pas à faire mouche", a-t-il rapporté vendredi à la fin d’une tournée de trois jours qu’il a effectuée dans la zone du delta du fleuve Sénégal, auprès horticulteurs.
Accompagné des responsables des structures d’appui ou d’accompagnement comme le Millenium challenge Account (MCA) et le Projet de croissance économique (PCE), le secrétaire permanent de la SCA est largement revenu sur les raisons de la volonté des autorités de mettre de l’ordre dans ce secteur.
Il a surtout insisté sur les problèmes qui empêchent ce secteur de se développer, en dépit de ses énormes potentialités. Le manque de financement et la logistique figurent en bonne place au nombre de ces problèmes, selon M. Wade, qui estime qu’avec la mise en place d’une interprofession, toutes les doléances pourraient être réglées.
"Il faut que les autorités aient un espace pour parler à tous les acteurs", a expliqué le secrétaire permanent du SCA, notant qu’une avancée significative a été déjà enregistrée, avec la décision des pouvoirs publics de baisser les taxes pour les produits à l’exportation.
Cette taxe qui était comprise entre 4000 et 8000 FCFA a été harmonisée et ramenée à 3000 FCFA, ce qui préjuge de retombées positives pour le secteur, a relevé Ibrahima Wade.
L’objectif est d’arriver d’ici cinq ans à porter les produits exportés de 30000 à 75000 tonnes, a indiqué le secrétaire permanent de la SCA. Il a ajouté que "cette perspective est à portée avec la diversification des produits et l’augmentation des surfaces emblavées".
M. Wade a demandé aux acteurs de la vallée du fleuve Sénégal de se rendre à l’assemblée générale prévue dans quelques semaines afin de jouer leur partition au sein de cette interprofession pour défendre leurs intérêts.
Partout où la mission et passée, les producteurs ont montré une forte adhésion au projet d’organisation de ce secteur, a-t-il encore relever pour s’en féliciter.
AMD/BK
"Partout où nous sommes passés, nous avons senti l’engouement des populations face à ce projet que la SCA porte dans l’intérêt des acteurs dont les actions dispersées n’arrivent pas à faire mouche", a-t-il rapporté vendredi à la fin d’une tournée de trois jours qu’il a effectuée dans la zone du delta du fleuve Sénégal, auprès horticulteurs.
Accompagné des responsables des structures d’appui ou d’accompagnement comme le Millenium challenge Account (MCA) et le Projet de croissance économique (PCE), le secrétaire permanent de la SCA est largement revenu sur les raisons de la volonté des autorités de mettre de l’ordre dans ce secteur.
Il a surtout insisté sur les problèmes qui empêchent ce secteur de se développer, en dépit de ses énormes potentialités. Le manque de financement et la logistique figurent en bonne place au nombre de ces problèmes, selon M. Wade, qui estime qu’avec la mise en place d’une interprofession, toutes les doléances pourraient être réglées.
"Il faut que les autorités aient un espace pour parler à tous les acteurs", a expliqué le secrétaire permanent du SCA, notant qu’une avancée significative a été déjà enregistrée, avec la décision des pouvoirs publics de baisser les taxes pour les produits à l’exportation.
Cette taxe qui était comprise entre 4000 et 8000 FCFA a été harmonisée et ramenée à 3000 FCFA, ce qui préjuge de retombées positives pour le secteur, a relevé Ibrahima Wade.
L’objectif est d’arriver d’ici cinq ans à porter les produits exportés de 30000 à 75000 tonnes, a indiqué le secrétaire permanent de la SCA. Il a ajouté que "cette perspective est à portée avec la diversification des produits et l’augmentation des surfaces emblavées".
M. Wade a demandé aux acteurs de la vallée du fleuve Sénégal de se rendre à l’assemblée générale prévue dans quelques semaines afin de jouer leur partition au sein de cette interprofession pour défendre leurs intérêts.
Partout où la mission et passée, les producteurs ont montré une forte adhésion au projet d’organisation de ce secteur, a-t-il encore relever pour s’en féliciter.
AMD/BK