Les difficultés rencontrées par les élèves dans les installations sanitaires vétustes des écoles ne sauront plus que de mauvais souvenirs. En effet, la Fondation Pamecas a engagé parmi ses actions sociales l’amélioration et la réhabilitation des installations sanitaires des écoles. Vendredi au cours d’une cérémonie organisée pour la réception des toilettes réfectionnées de l’école Alassane Ndiaye « Alou » de la Médina, l’implication dans la gestion de l’école est revenue sur les préoccupations de ce réseau de mutuelles d’épargne et de crédit. Pour apporter leur réponse à cette question, une enveloppe de 43 millions a été dégagée dans le but de réhabiliter les installations sanitaires de 19 écoles élémentaires publiques. A croire le Président du conseil d’administration (Pca) de la mutuelle, leurs actions ne se limitent pas à offrir des services financiers à leurs membres.
Le réseau s’est en effet engagé à octroyer 300 bourses aux étudiants. Selon toujours le Pca, cette initiative va s’étendre au niveau de l’enseignement élémentaire surtout pour soutenir les enfants issus de familles démunies. Il rappelle également que depuis 2000 le réseau injecte chaque année au moins 25 millions Cfa dans des domaines comme la santé et l’éducation. Aujourd’hui par le biais de cette fondation, une protection sociale sera engagée sur la base d’une ristourne collective à partir des excédents de caisses. Des ambulances sont également commandées aux départements de Pikine et de Guédiawaye.
Le ministre de l’Education nationale après avoir rappelé la liste non exhaustive des réalisations de cette mutuelle s’est réjoui de l’exemple de partenariat avec l’école qui doit inspirer tous les amis de l’école. Il a promis que son département va favoriser des conditions institutionnelles pour faciliter ce partenariat avec le secteur de l’éducation.
S’expliquant par ailleurs sur la grève déclenchée jeudi dernier, le ministre qui se dit enseignant et syndicaliste est revenu sur les menaces de ponctions des salaires des grévistes et a rappelé que les enseignants comme tous travailleurs peuvent aller en grève en respectant la procédure en vigueur. C’est pourquoi il n’a fait que rappeler la réglementation qui stipule que le salaire n’est payé qu’après le service effectué. Il réaffirme donc ne menacer personne et ses services sont en train d’évaluer l’ampleur de la grève de jeudi dernier. Il s’est dit également ouvert au dialogue avec les syndicalistes avant de soutenir qu’il n’y a aucun contentieux entre eux et les négociations sont en cours avec leurs organisations. « Je ne sais pas ce qui a détérioré le climat social et mais je reste serein par rapport à la situation » a-t-il conclu tout en restant réservé par rapport aux autres questions soulevées dans ce cadre.
Sud Quotidien
Le réseau s’est en effet engagé à octroyer 300 bourses aux étudiants. Selon toujours le Pca, cette initiative va s’étendre au niveau de l’enseignement élémentaire surtout pour soutenir les enfants issus de familles démunies. Il rappelle également que depuis 2000 le réseau injecte chaque année au moins 25 millions Cfa dans des domaines comme la santé et l’éducation. Aujourd’hui par le biais de cette fondation, une protection sociale sera engagée sur la base d’une ristourne collective à partir des excédents de caisses. Des ambulances sont également commandées aux départements de Pikine et de Guédiawaye.
Le ministre de l’Education nationale après avoir rappelé la liste non exhaustive des réalisations de cette mutuelle s’est réjoui de l’exemple de partenariat avec l’école qui doit inspirer tous les amis de l’école. Il a promis que son département va favoriser des conditions institutionnelles pour faciliter ce partenariat avec le secteur de l’éducation.
S’expliquant par ailleurs sur la grève déclenchée jeudi dernier, le ministre qui se dit enseignant et syndicaliste est revenu sur les menaces de ponctions des salaires des grévistes et a rappelé que les enseignants comme tous travailleurs peuvent aller en grève en respectant la procédure en vigueur. C’est pourquoi il n’a fait que rappeler la réglementation qui stipule que le salaire n’est payé qu’après le service effectué. Il réaffirme donc ne menacer personne et ses services sont en train d’évaluer l’ampleur de la grève de jeudi dernier. Il s’est dit également ouvert au dialogue avec les syndicalistes avant de soutenir qu’il n’y a aucun contentieux entre eux et les négociations sont en cours avec leurs organisations. « Je ne sais pas ce qui a détérioré le climat social et mais je reste serein par rapport à la situation » a-t-il conclu tout en restant réservé par rapport aux autres questions soulevées dans ce cadre.
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