Initié en Avril dernier pour une durée d’exécution de cinq (5) ans, ce projet consiste à appuyer durablement le Sénégal dans sa stratégie de croissance accélérée et de sécurité alimentaire, par le biais de la promotion de l’investissement privé dans certaines chaînes de valeur prioritaires dont le riz, le maïs, le sorgho, la noix d’acajou, la mangue, l’hibiscus ou « bissap », le fonio, la banane, le lait et l’élevage.
Ainsi dans cette dynamique de promouvoir l’investissement privé sénégalais, les partenaires américains veulent surtout accroître la production dans la plupart des secteurs d’activités du pays, mais également rehausser le niveau de productivité dans l’ensemble de ces secteurs surtout dans l’agriculture qui constitue l’une des premières priorités. Pour éviter certains éventuels blocages, ils se sont aussi donnés la volonté de résoudre les goulots d’étranglement notés spécifiquement dans le transport, le stockage des produits collectés et le commerce.
C’est en effet toute une démarche dont l’objectif majeur visé est de promouvoir les producteurs sénégalais d’une manière générale, et de rendre surtout leurs produits compétitifs dans les marchés nationaux tout comme dans les milieux de spéculation internationaux. C’est, d’ailleurs, pour cette raison que le projet préconise pour cette année de financer certains projets aspirant à la diffusion des innovations technologiques, une manière d’améliorer la compétitivité à partir de la base.
Ainsi, concernant le programme au sens large du terme, le projet de croissance accélérée a mis en place une enveloppe subventionnelle de prés de 736 millions de F Cfa destinée à priori aux acteurs du secteur privé sénégalais (organisations de producteurs, entrepreneurs privés, micro, petites et moyennes entreprises).
A partir de cette année, il envisage tout aussi de dégager annuellement une bagatelle de 200 millions F Cfa pour appuyer régulièrement la branche du secteur privé attribuée aux chaînes de valeur. Même si toute évident que les producteurs désirant bénéficier de ce fond doivent apporter une contribution de 15 % des apports financiers, ce fond reste aussi un moyen permettant aux promoteurs sénégalais de bénéficier d’un accompagnement afin de développer leurs activités et d’améliorer la gestion de leurs entreprises réciproques.
Sud Quotidien
Ainsi dans cette dynamique de promouvoir l’investissement privé sénégalais, les partenaires américains veulent surtout accroître la production dans la plupart des secteurs d’activités du pays, mais également rehausser le niveau de productivité dans l’ensemble de ces secteurs surtout dans l’agriculture qui constitue l’une des premières priorités. Pour éviter certains éventuels blocages, ils se sont aussi donnés la volonté de résoudre les goulots d’étranglement notés spécifiquement dans le transport, le stockage des produits collectés et le commerce.
C’est en effet toute une démarche dont l’objectif majeur visé est de promouvoir les producteurs sénégalais d’une manière générale, et de rendre surtout leurs produits compétitifs dans les marchés nationaux tout comme dans les milieux de spéculation internationaux. C’est, d’ailleurs, pour cette raison que le projet préconise pour cette année de financer certains projets aspirant à la diffusion des innovations technologiques, une manière d’améliorer la compétitivité à partir de la base.
Ainsi, concernant le programme au sens large du terme, le projet de croissance accélérée a mis en place une enveloppe subventionnelle de prés de 736 millions de F Cfa destinée à priori aux acteurs du secteur privé sénégalais (organisations de producteurs, entrepreneurs privés, micro, petites et moyennes entreprises).
A partir de cette année, il envisage tout aussi de dégager annuellement une bagatelle de 200 millions F Cfa pour appuyer régulièrement la branche du secteur privé attribuée aux chaînes de valeur. Même si toute évident que les producteurs désirant bénéficier de ce fond doivent apporter une contribution de 15 % des apports financiers, ce fond reste aussi un moyen permettant aux promoteurs sénégalais de bénéficier d’un accompagnement afin de développer leurs activités et d’améliorer la gestion de leurs entreprises réciproques.
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