« Une interprofessionnelle nationale de commercialisation du fonio est aujourd’hui plus qu’une nécessité. Elle permettrait aux producteurs de se démener pour trouver des circuits de commercialisation et leur éviter des situations désagréables de mévente », expliquera d’entrée Mme Aya Ndiaye, présidente du groupement Koba Club de Kédougou, récent récipiendaire du Grand Prix du Chef de l’Etat.
Cette trouvaille de l’Usaid à travers son projet « Croissance économique » est très bien appréciée dans la région de Kédougou où présentement les femmes de Koba Club se disent très inquiètes par rapport aux 25 tonnes de fonio précuit qui leur brûlent les mains. « Nous avons beaucoup sensibilisé les paysans pour qu’ils s’attèlent à la culture du fonio. Eh bien ils l’ont si bien fait, voilà que le stock est encore invendu », se désole la présidente Aya Ndiaye.
C’est connu, les femmes du groupement Koba Club de Kédougou ont acquis maintenant une certaine expertise dans le domaine du fonio, elles se sont battues pour la promotion de cette culture dans le cadre de la diversification et de la lutte pour la souveraineté alimentaire, si maintenant elles n’ont pas le soutient nécessaire, cela pourrait être un facteur inestimable de découragement.
C’est peut-être ce qu’a compris l’Usaid, qui les a d’ailleurs sorties de l’anonymat, en voulant mettre très prochainement en place à Koussanar, une interprofessionnelle nationale de commercialisation du fonio. « Notre rôle est de les aider à avoir des cadres de concertation aptes à trouver les modèles organisationnels appropriés pour leur plein envol », dira M. Diagne du projet « Croissance Economique » de l’Usaid.
Par ailleurs, les femmes du groupement Koba Club sont revenues avec les responsables du Groupe d’action pour le Développement Communautaire (GADEC) sur leur expérience avec le PAM consistant à avoir des vivres leur permettant de faire face à la soudure et aux importants travaux rizicoles qu’elles déroulent durant chaque période hivernale. Et c’était pour solliciter le concours de cette ONG.
Sud Quotidien
Cette trouvaille de l’Usaid à travers son projet « Croissance économique » est très bien appréciée dans la région de Kédougou où présentement les femmes de Koba Club se disent très inquiètes par rapport aux 25 tonnes de fonio précuit qui leur brûlent les mains. « Nous avons beaucoup sensibilisé les paysans pour qu’ils s’attèlent à la culture du fonio. Eh bien ils l’ont si bien fait, voilà que le stock est encore invendu », se désole la présidente Aya Ndiaye.
C’est connu, les femmes du groupement Koba Club de Kédougou ont acquis maintenant une certaine expertise dans le domaine du fonio, elles se sont battues pour la promotion de cette culture dans le cadre de la diversification et de la lutte pour la souveraineté alimentaire, si maintenant elles n’ont pas le soutient nécessaire, cela pourrait être un facteur inestimable de découragement.
C’est peut-être ce qu’a compris l’Usaid, qui les a d’ailleurs sorties de l’anonymat, en voulant mettre très prochainement en place à Koussanar, une interprofessionnelle nationale de commercialisation du fonio. « Notre rôle est de les aider à avoir des cadres de concertation aptes à trouver les modèles organisationnels appropriés pour leur plein envol », dira M. Diagne du projet « Croissance Economique » de l’Usaid.
Par ailleurs, les femmes du groupement Koba Club sont revenues avec les responsables du Groupe d’action pour le Développement Communautaire (GADEC) sur leur expérience avec le PAM consistant à avoir des vivres leur permettant de faire face à la soudure et aux importants travaux rizicoles qu’elles déroulent durant chaque période hivernale. Et c’était pour solliciter le concours de cette ONG.
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