Kaolack, 20 déc (APS) – Le directeur de la délégation régionale de Caritas-Kaolack, Dominique Sène, a appelé mercredi les pouvoirs publics à aider au renouvellement de la majorité des 50 forages construits dans les années 80 avec le soutien de ses partenaiers.
‘’Nous invitons l’Etat à prendre la place cédée par nos partenaires qui, après avoir soutenu la construction d’une cinquantaine de forages, ont cessé tout investissement, se limitant juste aux volets formation et gestion’’, a plaidé M. Sène.
Il s’exprimait lors d’une assemblée générale des associations d’usagers de forages (ASUFOR) soutenues par son ONG.
‘’Sur les 50 forages construits en 1981 avec le soutien actif de nos partenaires, 35 fonctionnent plus ou moins actuellement, et il est souhaitable que l’Etat nous aide à réhabiliter ceux tombés en panne et à en construire de nouveaux’’, a souligné le directeur de Caritas Kaolack.
Selon lui, l’ONG ne peut pas à elle seule prendre en charge la construction d’ouvrages dont les coûts financiers avoisineraient 50 à 60 millions de francs CFA.
D’après lui, les recettes des ASUFOR ne peuvent que régler les petites pannes et non les grosses œuvres. De fait, il a appelé les collectivités locales à mettre la main à la poche pour satisfaire la demande des mandants.
Il a rappelé la construction par des partenaires de l’ONG de 300 kilomètres d’adduction d’eau dans différents villages où intervient Caritas.
Il a invité les gérants des forages à s’acquitter des versements dus à la caisse de solidarité pour une meilleure prise en charge des questions sociales et de pannes légères.
‘’Cette cotisation est d’autant plus importante que des forages comme celui de Ngodibo qui a pas moins de 20 millions dans son compte doivent pouvoir aider les autres’’, a déclaré M. Sène.
Le bilan de l’exercice écoulé des forages est mitigé. La moitié des ASUFOR n’a pas en effet souscrit encore moins versé un quelconque centime à la caisse de solidarité qui devrait avoir entre cinq et six millions de francs CFA par an, a pour sa part relevé le coordonnateur de l’équipe de développement rural de Caritas Kaolack, Adrien Aliou Senghor.
Selon M. Senghor, il urge de mettre un accent particulier sur la sensibilisation des gérants des ASUFOR et la nécessité de la caisse de solidarité, qui doit être renflouée par les tenants des forages en marche et de ceux tombés en panne.
PON/ASG
‘’Nous invitons l’Etat à prendre la place cédée par nos partenaires qui, après avoir soutenu la construction d’une cinquantaine de forages, ont cessé tout investissement, se limitant juste aux volets formation et gestion’’, a plaidé M. Sène.
Il s’exprimait lors d’une assemblée générale des associations d’usagers de forages (ASUFOR) soutenues par son ONG.
‘’Sur les 50 forages construits en 1981 avec le soutien actif de nos partenaires, 35 fonctionnent plus ou moins actuellement, et il est souhaitable que l’Etat nous aide à réhabiliter ceux tombés en panne et à en construire de nouveaux’’, a souligné le directeur de Caritas Kaolack.
Selon lui, l’ONG ne peut pas à elle seule prendre en charge la construction d’ouvrages dont les coûts financiers avoisineraient 50 à 60 millions de francs CFA.
D’après lui, les recettes des ASUFOR ne peuvent que régler les petites pannes et non les grosses œuvres. De fait, il a appelé les collectivités locales à mettre la main à la poche pour satisfaire la demande des mandants.
Il a rappelé la construction par des partenaires de l’ONG de 300 kilomètres d’adduction d’eau dans différents villages où intervient Caritas.
Il a invité les gérants des forages à s’acquitter des versements dus à la caisse de solidarité pour une meilleure prise en charge des questions sociales et de pannes légères.
‘’Cette cotisation est d’autant plus importante que des forages comme celui de Ngodibo qui a pas moins de 20 millions dans son compte doivent pouvoir aider les autres’’, a déclaré M. Sène.
Le bilan de l’exercice écoulé des forages est mitigé. La moitié des ASUFOR n’a pas en effet souscrit encore moins versé un quelconque centime à la caisse de solidarité qui devrait avoir entre cinq et six millions de francs CFA par an, a pour sa part relevé le coordonnateur de l’équipe de développement rural de Caritas Kaolack, Adrien Aliou Senghor.
Selon M. Senghor, il urge de mettre un accent particulier sur la sensibilisation des gérants des ASUFOR et la nécessité de la caisse de solidarité, qui doit être renflouée par les tenants des forages en marche et de ceux tombés en panne.
PON/ASG