Il y a dix ans quand j’ai pris mes fonctions, j’ai promis de faire du Kenya une nation travailleuse et prospère. Nous avions également insisté sur le fait que la construction nationale n’était pas de la seule responsabilité du gouvernement et que tous les Kényans y avaient un rôle à jouer", a déclaré M. Kibaki.
Sous la direction du président Kibaki, l’économie a été relancée à partir de la fin de l’année 2002, à un moment où elle était confrontée à de sérieux défis. Cette relance s’est principalement faite sur la base d’un investissement dans les infrastructures, l’énergie, l’éducation et le développement des télécommunications.
Le président Kibaki a attribué cette croissance à un "leadership concentré et au dur labeur" des Kényans dans tout le pays.
Malgré la crise économique mondiale et les défis locaux, comme les violences post-électorales de 2008, le gouvernement de Grande Coalition a pu placer le pays sur la voie de la relance, a déclaré M. Kibaki dans son discours.
L’économie kényane a enregistré un taux de croissance de 4,5% en 2011. Cette année, les prévisions de croissance sont de 5%.
"En tant que nation, nous pouvons dire avec confiance que les fondements du passage du Kenya au statut de pays à revenu intermédiaire sont solidement jetés. La transformation du pays est en cours", a-t-il ajouté dans son discours marquant le 49-ème anniversaire de l’accession du Kenya à l’indépendance.
M. Kibaki a évoqué la croissance dans les secteurs de l’agriculture, du développement des infrastructures, l’accroissement des recettes fiscales, l’intégration financière et le développement des Technologies de l’information et de la communication (TIC).
Le secteur agricole, pilier de l’économie, s’est beaucoup développé ces dix dernières années.
"Le taux de pauvreté est passé de 56 pour cent à 46 pour cent. La sécurité alimentaire s’est également renforcée. En outre, plusieurs institutions publiques dans le secteur agricole ont été relancées afin de réduire la dépendance à la production pluviale. Nous étions convaincus que l’amélioration des réseaux routiers, ferroviaires et aériens, ainsi que l’expansion des secteurs de l’énergie et des télécommunications faciliteraient la circulation des personnes et des biens dans le pays et la région", a déclaré M. Kibaki.
Le gouvernement a construit de nouvelles routes et en a élargi et réhabilité d’autres, tandis que le réseau ferroviaire a été rénové et les aéroports modernisés.
La capacité du port de Mombasa a été accrue et les travaux ont commencé pour la construction d’un nouveau port à Lamu.
M. Kibaki a indiqué que ce projet portuaire serait un nouveau corridor de développement économique qui ouvrirait de vastes régions dans le nord du pays. Il va également accélérer les efforts d’intégration régionale en reliant deux voisins, le Soudan du Sud et l’Ethiopie.
Dans le secteur de l’énergie, M. Kibaki a fait passer les raccordements au réseau électrique de 600.000 à plus de deux millions.
Ces efforts ont été facilités par l’expansion économique qui a élargi l’assiette fiscale.
Le budget national du Kenya était de 250 milliards de shillings kenyans et les recettes fiscales de 180 milliards de shillings.
Sous la direction du président Kibaki, l’économie a été relancée à partir de la fin de l’année 2002, à un moment où elle était confrontée à de sérieux défis. Cette relance s’est principalement faite sur la base d’un investissement dans les infrastructures, l’énergie, l’éducation et le développement des télécommunications.
Le président Kibaki a attribué cette croissance à un "leadership concentré et au dur labeur" des Kényans dans tout le pays.
Malgré la crise économique mondiale et les défis locaux, comme les violences post-électorales de 2008, le gouvernement de Grande Coalition a pu placer le pays sur la voie de la relance, a déclaré M. Kibaki dans son discours.
L’économie kényane a enregistré un taux de croissance de 4,5% en 2011. Cette année, les prévisions de croissance sont de 5%.
"En tant que nation, nous pouvons dire avec confiance que les fondements du passage du Kenya au statut de pays à revenu intermédiaire sont solidement jetés. La transformation du pays est en cours", a-t-il ajouté dans son discours marquant le 49-ème anniversaire de l’accession du Kenya à l’indépendance.
M. Kibaki a évoqué la croissance dans les secteurs de l’agriculture, du développement des infrastructures, l’accroissement des recettes fiscales, l’intégration financière et le développement des Technologies de l’information et de la communication (TIC).
Le secteur agricole, pilier de l’économie, s’est beaucoup développé ces dix dernières années.
"Le taux de pauvreté est passé de 56 pour cent à 46 pour cent. La sécurité alimentaire s’est également renforcée. En outre, plusieurs institutions publiques dans le secteur agricole ont été relancées afin de réduire la dépendance à la production pluviale. Nous étions convaincus que l’amélioration des réseaux routiers, ferroviaires et aériens, ainsi que l’expansion des secteurs de l’énergie et des télécommunications faciliteraient la circulation des personnes et des biens dans le pays et la région", a déclaré M. Kibaki.
Le gouvernement a construit de nouvelles routes et en a élargi et réhabilité d’autres, tandis que le réseau ferroviaire a été rénové et les aéroports modernisés.
La capacité du port de Mombasa a été accrue et les travaux ont commencé pour la construction d’un nouveau port à Lamu.
M. Kibaki a indiqué que ce projet portuaire serait un nouveau corridor de développement économique qui ouvrirait de vastes régions dans le nord du pays. Il va également accélérer les efforts d’intégration régionale en reliant deux voisins, le Soudan du Sud et l’Ethiopie.
Dans le secteur de l’énergie, M. Kibaki a fait passer les raccordements au réseau électrique de 600.000 à plus de deux millions.
Ces efforts ont été facilités par l’expansion économique qui a élargi l’assiette fiscale.
Le budget national du Kenya était de 250 milliards de shillings kenyans et les recettes fiscales de 180 milliards de shillings.