Kolda : une trentaine de femmes à l’école de la lutte contre le paludisme
Kolda, 6 avr (APS) - Une session de formation sur les techniques de lutte contre le paludisme s’est ouverte mardi à Kolda (sud) à l’intention d’une trentaine de femmes des régions de Tambacounda, Kédougou et Kolda, membres du programme ‘’Epargner pour le changement’’, à l’initiative de l’ONG ‘’La Lumière’’, appuyée par Oxfam America.
L’objectif est ‘’de faciliter l’accès des femmes à des crédits grâce à la mise en place de fonds collectifs constitués d’épargne hebdomadaire que les femmes utilisent comme prêt afin de financer des activités génératrices de revenus’’, a dit Fatou Diouf, coordonnatrice de l’ONG La Lumière à Kolda.
La session de formation, qui prendra fin le jeudi, est axée sur la prise en charge du paludisme au niveau communautaire. Elle a pour but de permettre aux ‘’communautés pauvres d’acquérir des connaissances pour se prémunir contre le paludisme ‘’, a-t-elle expliqué.
Me Diouf a souligné que les agents formés doivent être capables ‘’d’identifier les signes de la maladie, comment elle se propage et l’importance de l’utilisation des moustiquaires et indiquer les lieux de leurs disponibilités afin de promouvoir leur utilisation par les communautés notamment par les femmes enceintes’’.
Les animateurs doivent également être en mesure d’identifier les signes et référer les cas de paludisme vers les structures sanitaires de la zone d’intervention du projet, mais aussi planifier des activités pour améliorer la prévention et le traitement de la maladie au sein de la communauté.
Le programme a démarré dans les régions de Tambacounda et Kédougou depuis 2006 avec respectivement une cible de 13.587 femmes et de 10.624 femmes. Il compte cibler pour la région de Kolda quelque 6.750 femmes réparties dans 15 conseils ruraux des trois départements de la région.
L’objectif est ‘’de faciliter l’accès des femmes à des crédits grâce à la mise en place de fonds collectifs constitués d’épargne hebdomadaire que les femmes utilisent comme prêt afin de financer des activités génératrices de revenus’’, a dit Fatou Diouf, coordonnatrice de l’ONG La Lumière à Kolda.
La session de formation, qui prendra fin le jeudi, est axée sur la prise en charge du paludisme au niveau communautaire. Elle a pour but de permettre aux ‘’communautés pauvres d’acquérir des connaissances pour se prémunir contre le paludisme ‘’, a-t-elle expliqué.
Me Diouf a souligné que les agents formés doivent être capables ‘’d’identifier les signes de la maladie, comment elle se propage et l’importance de l’utilisation des moustiquaires et indiquer les lieux de leurs disponibilités afin de promouvoir leur utilisation par les communautés notamment par les femmes enceintes’’.
Les animateurs doivent également être en mesure d’identifier les signes et référer les cas de paludisme vers les structures sanitaires de la zone d’intervention du projet, mais aussi planifier des activités pour améliorer la prévention et le traitement de la maladie au sein de la communauté.
Le programme a démarré dans les régions de Tambacounda et Kédougou depuis 2006 avec respectivement une cible de 13.587 femmes et de 10.624 femmes. Il compte cibler pour la région de Kolda quelque 6.750 femmes réparties dans 15 conseils ruraux des trois départements de la région.
