Dakar, 12 déc (APS) – La coordinatrice nationale de la Santé de la reproduction à la Division de la santé de la reproduction, Diouma Diouf Ndiaye, a relevé que l’accessibilité des services de santé de la reproduction (SR) pose d’énormes problèmes au Sénégal.
‘’Les besoins non satisfaits constituent surtout un goulot d’étranglement pour l’exécution et l’atteinte des indicateurs de la Planification familiale (PF) qui sont suspendus à un taux de 10,3 pour cent de prévalence’’ a notamment dit Mme Ndiaye.
Elle prenait part samedi à Dakar à l’atelier de mise à niveau de l’Association des journalistes en santé, population et développement (AJSPD), sur le projet l’Initiative sénégalaise de santé urbaine (ISSU), initié par Intrahealth International.
Ce projet ISSU de 5 ans (2010-2014), mis en œuvre dans le cadre d’une large initiative de santé reproductrice urbaine, est développé dans 4 pays (Kenya, Nigeria, Inde et Sénégal).
Il cherche à aider les populations défavorisées des zones urbaines afin leur faciliter l’accès et l’utilisation des services de Planification familiale. Il sera mis en œuvre dans les villes de Dakar, Mbour et Kaolack par un consortium de partenaires.
Selon la coordinatrice nationale de la Santé de la reproduction, ‘’il est évident que la PF constitue le chemin le plus rapide’’ pour l’atteinte des composantes 4 et 5 des Objectifs du millénaire pour le développement (OMD).
Ces objectifs, souligne-t-elle, vise la réduction de trois quart, au moins, de la mortalité maternelle qui est toujours suspendue à 401 décès pour 1000 naissances vivantes et de deux tiers la mortalité infantile et néonatale avec des décès représentant la moitié de la mortalité infantile, soit 35 pour cent.
C’est pourquoi, a dit Diouma Diouf Ndiaye, la Division de la santé de la reproduction développe beaucoup d’activités novatrices avec notamment des interventions à base communautaire.
LTF/AD
‘’Les besoins non satisfaits constituent surtout un goulot d’étranglement pour l’exécution et l’atteinte des indicateurs de la Planification familiale (PF) qui sont suspendus à un taux de 10,3 pour cent de prévalence’’ a notamment dit Mme Ndiaye.
Elle prenait part samedi à Dakar à l’atelier de mise à niveau de l’Association des journalistes en santé, population et développement (AJSPD), sur le projet l’Initiative sénégalaise de santé urbaine (ISSU), initié par Intrahealth International.
Ce projet ISSU de 5 ans (2010-2014), mis en œuvre dans le cadre d’une large initiative de santé reproductrice urbaine, est développé dans 4 pays (Kenya, Nigeria, Inde et Sénégal).
Il cherche à aider les populations défavorisées des zones urbaines afin leur faciliter l’accès et l’utilisation des services de Planification familiale. Il sera mis en œuvre dans les villes de Dakar, Mbour et Kaolack par un consortium de partenaires.
Selon la coordinatrice nationale de la Santé de la reproduction, ‘’il est évident que la PF constitue le chemin le plus rapide’’ pour l’atteinte des composantes 4 et 5 des Objectifs du millénaire pour le développement (OMD).
Ces objectifs, souligne-t-elle, vise la réduction de trois quart, au moins, de la mortalité maternelle qui est toujours suspendue à 401 décès pour 1000 naissances vivantes et de deux tiers la mortalité infantile et néonatale avec des décès représentant la moitié de la mortalité infantile, soit 35 pour cent.
C’est pourquoi, a dit Diouma Diouf Ndiaye, la Division de la santé de la reproduction développe beaucoup d’activités novatrices avec notamment des interventions à base communautaire.
LTF/AD