L’espacement des naissances permet de réduire la mortalité maternelle (officiel)
Dakar, 17 déc (APS) – Le directeur de cabinet du ministre de la Santé et de la Prévention, Abdou Khoudoss Niang, a assuré vendredi à Dakar, qu’il est largement prouvé que l’accouchement assisté par un personnel qualifié et l’espacement des naissances constituent des stratégies majeures pour assurer une forte réduction de la mortalité maternelle, néonatale et infantile.
‘’Cela traduit le rôle important joué par les sages femmes et qu’il convient de considérer comme le contingent de première ligne dans ce combat’’ a-t-il dit.
Abdou Khoudoss Niang s’exprimait à l’ouverture d’un atelier d’orientation et d’échange de l’Association nationale des sages-femmes d’Etat sénégalaises (ANSFES) sur les axes de contribution sur le projet de l’Initiative sénégalaise en santé urbaine (ISSU).
Le projet ISSU vise à améliorer la qualité de vie des populations urbaines les plus démunies habitant dans les plus grandes villes sénégalaises en augmentant l’accès et l’utilisation des services de planification familiale (PF).
Selon M. Niang, la mortalité maternelle, néonatale et infantile ’’constitue une question douloureuse, un problème de santé publique majeur dans nos pays’’.
‘’Malgré les efforts de l’Etat, avec l’appui constant et consistant de nos partenaires au développement, nos indicateurs dans ce domaine restent encore élevés’’ a-t-il relevé, soulignant que c’est pourquoi cette question ’’figure en bonne place’’ parmi les orientations stratégiques du Plan national de développement sanitaire (PNDS).
Il a fait noter que le projet ISSU est d’une pertinence incontestable dans la mesure où son objectif est d’abord d’augmenter la prévalence contraceptive et celle de ses bénéficiaires principaux, notamment les populations des zones urbaines défavorisées.
Le fait de compter l’Association nationale des sages femmes du Sénégal parmi les membres du consortium est une grande opportunité pour davantage promouvoir des messages susceptibles d’augmenter l’acceptation de la planification familiale, a, pour sa part, relevé Pape Gaye, président d’Intrahealth International.
‘’C’est aussi un atout de taille dans le plaidoyer en direction des organisations de travailleurs et des prestataires pour améliorer la qualité des services et un engagement plus soutenu dans l’identification des besoins en PF des femmes qui fréquentent les structures de santé’’ a-t-il dit
Le président d’Intrahealth International a également loué les efforts consentis dans le renforcement des capacités des prestataires pour l’accessibilité de l’offre de service, indiquant qu’avec le consortium des partenaires ‘’nous sommes face à des organisations qui acceptent de mettre en commun leur expertise complémentaire pour l’atteinte d’un même objectif’’.
LTF/AD
‘’Cela traduit le rôle important joué par les sages femmes et qu’il convient de considérer comme le contingent de première ligne dans ce combat’’ a-t-il dit.
Abdou Khoudoss Niang s’exprimait à l’ouverture d’un atelier d’orientation et d’échange de l’Association nationale des sages-femmes d’Etat sénégalaises (ANSFES) sur les axes de contribution sur le projet de l’Initiative sénégalaise en santé urbaine (ISSU).
Le projet ISSU vise à améliorer la qualité de vie des populations urbaines les plus démunies habitant dans les plus grandes villes sénégalaises en augmentant l’accès et l’utilisation des services de planification familiale (PF).
Selon M. Niang, la mortalité maternelle, néonatale et infantile ’’constitue une question douloureuse, un problème de santé publique majeur dans nos pays’’.
‘’Malgré les efforts de l’Etat, avec l’appui constant et consistant de nos partenaires au développement, nos indicateurs dans ce domaine restent encore élevés’’ a-t-il relevé, soulignant que c’est pourquoi cette question ’’figure en bonne place’’ parmi les orientations stratégiques du Plan national de développement sanitaire (PNDS).
Il a fait noter que le projet ISSU est d’une pertinence incontestable dans la mesure où son objectif est d’abord d’augmenter la prévalence contraceptive et celle de ses bénéficiaires principaux, notamment les populations des zones urbaines défavorisées.
Le fait de compter l’Association nationale des sages femmes du Sénégal parmi les membres du consortium est une grande opportunité pour davantage promouvoir des messages susceptibles d’augmenter l’acceptation de la planification familiale, a, pour sa part, relevé Pape Gaye, président d’Intrahealth International.
‘’C’est aussi un atout de taille dans le plaidoyer en direction des organisations de travailleurs et des prestataires pour améliorer la qualité des services et un engagement plus soutenu dans l’identification des besoins en PF des femmes qui fréquentent les structures de santé’’ a-t-il dit
Le président d’Intrahealth International a également loué les efforts consentis dans le renforcement des capacités des prestataires pour l’accessibilité de l’offre de service, indiquant qu’avec le consortium des partenaires ‘’nous sommes face à des organisations qui acceptent de mettre en commun leur expertise complémentaire pour l’atteinte d’un même objectif’’.
LTF/AD
