Rationnaliser l’eau de forage pour combler d’avantage de besoin. C’est l’objectif que s’est fixé le Programme de développement rural durable dans la région de Louga. Cette expérience particulière a été confinée dans le guide de développement communautaire durable par une exploitation rationnelle de l’eau de forage. Cette « boussole » des acteurs du secteur du développement communautaire a été lancée hier, lundi 9 août, dans à Dakar.
A cet effet, la Directrice de (Direction de) l’analyse, de la prévision et des statistiques (Daps), Maïmouna Lô Gaye, a expliquée que dans un contexte de variabilité de la pluviométrie, la maîtrise de l’eau est d’une importance capitale. Selon elle, l’objectif du guide est de « retracer le processus du Programme de développement rurale durable (Pdrd) pour qu’elle profite à tous les acteurs ». Le guide est, de l’avis de l’Ambassadeur intérimaire du Japon, le meilleur moyen de transmission du savoir faire en matière de forage.
Pour le ministre de l’agriculture, Khadim Guèye, la non maîtrise de l’eau est l’une des contraintes majeures de l’agriculture sénégalaise. D’où l’importance, selon lui, d’avoir une politique de l’eau pour rationnaliser la production agricole sur toute l’étendue du territoire nationale.
Pour sa part, le représentant du directeur de l’exploitation est revenu sur l’évolution de l’utilisation des forages. En effet, selon lui, au début, les forages permettaient de combler les besoins des hommes et des animaux en eau. Progressivement les besoins ont évolué et se sont multipliés. « C’est pourquoi, il fallait trouver un moyen de gestion plus rationnel pour que l’agriculture et l’élevage puisse se développer à coté de ces forages », a-t-il souligné. Et d’ajouter que : « les forages créent de l’emploi en leur sein et tout au tour. C’est dans ce cadre que ce document nous est indispensable ».
Sud Quotidien
A cet effet, la Directrice de (Direction de) l’analyse, de la prévision et des statistiques (Daps), Maïmouna Lô Gaye, a expliquée que dans un contexte de variabilité de la pluviométrie, la maîtrise de l’eau est d’une importance capitale. Selon elle, l’objectif du guide est de « retracer le processus du Programme de développement rurale durable (Pdrd) pour qu’elle profite à tous les acteurs ». Le guide est, de l’avis de l’Ambassadeur intérimaire du Japon, le meilleur moyen de transmission du savoir faire en matière de forage.
Pour le ministre de l’agriculture, Khadim Guèye, la non maîtrise de l’eau est l’une des contraintes majeures de l’agriculture sénégalaise. D’où l’importance, selon lui, d’avoir une politique de l’eau pour rationnaliser la production agricole sur toute l’étendue du territoire nationale.
Pour sa part, le représentant du directeur de l’exploitation est revenu sur l’évolution de l’utilisation des forages. En effet, selon lui, au début, les forages permettaient de combler les besoins des hommes et des animaux en eau. Progressivement les besoins ont évolué et se sont multipliés. « C’est pourquoi, il fallait trouver un moyen de gestion plus rationnel pour que l’agriculture et l’élevage puisse se développer à coté de ces forages », a-t-il souligné. Et d’ajouter que : « les forages créent de l’emploi en leur sein et tout au tour. C’est dans ce cadre que ce document nous est indispensable ».
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