Les couches les plus vulnérables du pays ont bénéficié d’un soutien du Conseil des organisations non gouvernementales d’appui au développement (Congad).
Pour la région de Louga, la cérémonie de remise s’est déroulée au centre culturel en présence du Chargé de la Planification au ministère des Affaires étrangères d’Israël, David Govrin, représentant l’ambassadeur d’Israël au Sénégal, de la présidente du Congad, Mme Woré Gana Seck, et des autorités administratives locales. Une occasion offerte aux heureux donateurs de revenir sur le sens du geste qui vient ainsi renforcer des liens de fraternité entre les deux pays. « C’est une fête du partage et de la solidarité, un geste humanitaire à l’endroit des couches vulnérables », a précisé son excellence M. Govrin. Pour sa part, la présidente du Congad a tenu à expliquer et remettre dans son véritable contexte le processus qui a conduit à ce geste. Pour Mme Woré Gana Seck, le geste s’inscrit dans le cadre du partenariat avec les organisations de la Société civile des Etats-Unis qui a permis au Congad de bénéficier, avec le concours de l’ambassade d’Israël, d’un don de l’Eglise des Mormons d’Utah. Le don, constitué de divers articles dont des fournitures scolaires, des équipements médicaux, des vêtements et jouets pour enfants, des couvertures en plus de denrées alimentaires, sera distribué par un comité régional mis en place à cet effet par le gouverneur qui veille sur la transparence. Une assistance destinée particulièrement aux couches défavorisées dans les daaras, les structures médicales, centres sociaux pour handicapés, personnes vivant avec le vih sida et autres nécessiteux. « C’est un geste qui vise principalement l’amélioration de la qualité de vie des bénéficiaires », a ajouté la présidente du Congad. Devant une assistance en majorité constituée de jeunes, Mme Woré Gana Seck en a profité pour demander à l’Etat de trouver une solution autre que l’octroi de 2000 visas aux jeunes pour freiner le phénomène de l’émigration clandestine. Selon elle, les pouvoirs publics et leurs partenaires devraient surtout s’asseoir sur une table en vue de réfléchir sur des solutions au problème de l’emploi des jeunes et à la maîtrise de l’eau pour une agriculture en toute saison, qui peuvent seules être les conditions garant d’une bonne émergence des jeunes du pays.
Le Soleil
Pour la région de Louga, la cérémonie de remise s’est déroulée au centre culturel en présence du Chargé de la Planification au ministère des Affaires étrangères d’Israël, David Govrin, représentant l’ambassadeur d’Israël au Sénégal, de la présidente du Congad, Mme Woré Gana Seck, et des autorités administratives locales. Une occasion offerte aux heureux donateurs de revenir sur le sens du geste qui vient ainsi renforcer des liens de fraternité entre les deux pays. « C’est une fête du partage et de la solidarité, un geste humanitaire à l’endroit des couches vulnérables », a précisé son excellence M. Govrin. Pour sa part, la présidente du Congad a tenu à expliquer et remettre dans son véritable contexte le processus qui a conduit à ce geste. Pour Mme Woré Gana Seck, le geste s’inscrit dans le cadre du partenariat avec les organisations de la Société civile des Etats-Unis qui a permis au Congad de bénéficier, avec le concours de l’ambassade d’Israël, d’un don de l’Eglise des Mormons d’Utah. Le don, constitué de divers articles dont des fournitures scolaires, des équipements médicaux, des vêtements et jouets pour enfants, des couvertures en plus de denrées alimentaires, sera distribué par un comité régional mis en place à cet effet par le gouverneur qui veille sur la transparence. Une assistance destinée particulièrement aux couches défavorisées dans les daaras, les structures médicales, centres sociaux pour handicapés, personnes vivant avec le vih sida et autres nécessiteux. « C’est un geste qui vise principalement l’amélioration de la qualité de vie des bénéficiaires », a ajouté la présidente du Congad. Devant une assistance en majorité constituée de jeunes, Mme Woré Gana Seck en a profité pour demander à l’Etat de trouver une solution autre que l’octroi de 2000 visas aux jeunes pour freiner le phénomène de l’émigration clandestine. Selon elle, les pouvoirs publics et leurs partenaires devraient surtout s’asseoir sur une table en vue de réfléchir sur des solutions au problème de l’emploi des jeunes et à la maîtrise de l’eau pour une agriculture en toute saison, qui peuvent seules être les conditions garant d’une bonne émergence des jeunes du pays.
Le Soleil