A l’instar des autres pays du monde, le Sénégal a célébré en couleur la Journée internationale des volontaires. Une rencontre qui a eu lieu avant-hier dimanche 05 décembre à la Chambre de Commerce et d’Industrie avec comme thème « Volontaires pour les Objectifs pour le développement (Omd)». Occasion pour tous les corps de volontaires résidant au Sénégal de magnifier le volontariat.
Lors de la cérémonie, les représentants des volontaires résidant au Sénégal face à leurs compatriotes, ont chacun émis le souhait de venir en aide au Comité national de coordination et de promotion du volontariat pour l’innovation (Cncpv). Ainsi, selon le chargé des affaires des Etats Unis, « les volontaires doivent contribuer au développement des pays avec ou sans l’aide des autorités étatiques ».
Quant au représentant du Secrétaire général des Nations Unies, il ambitionne faire de la 10ème édition de cette journée qui sera célébrée en 2011, « un temps fort pour ouvrir la porte aux autres projets de développement ». Des projets qui vont contribuer « à renforcer l’effort de synergie d’action des acteurs du volontariat dans leur diversité ainsi que la valorisation de l’expertise des personnes du troisième âge », déclare-t-il.
Le représentant du Japon a, par ailleurs, rappelé que le volontariat est un vecteur de développement et un moyen de lutte contre la pauvreté. Il est revenu aussi sur la thématique de cette 9ème édition. Selon lui, « le thème est une pierre supplémentaire à l’édifice de la solidarité et du partage ». Nicolas Normand de la France a appelé pour sa part à un partenariat entre les volontaires au niveau international.
Même son de cloche chez le secrétaire général adjoint de la présidence de la République du Sénégal, Médoune Cissé. Pour lui, « le véritable défit auquel nous devons faire face est celui de la lutte contre la pauvreté qui nous invite à une mobilisation sans relâche ». Dans ce cadre « les volontaires sont des parties prenantes non négligeables notamment pour la mobilisation des acteurs à la base dans l’exécution des projets et programmes de développement économique et social », martèle Médoune Cissé.
Revenu sur le thème, il a indiqué qu'il illustre « tout l’engagement de la famille des volontaires à s’impliquer dans l’exécution des programmes de développement plus particulièrement dans les Objectifs du millénaire pour le développement qui restent une priorité majeur pour des lendemains meilleurs pour nos populations ». Médoune Cissé a, par ailleurs, salué l’effort fourni par le Cncpv en organisant une série d’activités au profit des populations de la banlieue de Dakar, pour promouvoir le volontariat.
Les « Be ur self » un groupe des volontaires a fait vibrer l’assistance par une chorégraphie qui a relaté plusieurs thèmes. Selon le manager de ce groupe, Ndiaga Mbow, « nous voulons montrer que le volontariat est primordial pour l’atteinte des Omd et que la solution ne se trouve pas dans les séminaires ni dans les débats mais plutôt dans l’effort personnel ». Avant d’ajouter que chacun d’entre nous doit prendre la décision de changer le monde avec son investissement mental, physique et moral.
Les lougatois eux aussi se sont fait remarquer par la danse du « Sabar ». Une chorégraphie autour de laquelle s’invitaient la mortalité infantile, le Sida, l’éducation la pauvreté, entre autres.
Aissatou DOUCOURE
Sud Quotidien
Lors de la cérémonie, les représentants des volontaires résidant au Sénégal face à leurs compatriotes, ont chacun émis le souhait de venir en aide au Comité national de coordination et de promotion du volontariat pour l’innovation (Cncpv). Ainsi, selon le chargé des affaires des Etats Unis, « les volontaires doivent contribuer au développement des pays avec ou sans l’aide des autorités étatiques ».
Quant au représentant du Secrétaire général des Nations Unies, il ambitionne faire de la 10ème édition de cette journée qui sera célébrée en 2011, « un temps fort pour ouvrir la porte aux autres projets de développement ». Des projets qui vont contribuer « à renforcer l’effort de synergie d’action des acteurs du volontariat dans leur diversité ainsi que la valorisation de l’expertise des personnes du troisième âge », déclare-t-il.
Le représentant du Japon a, par ailleurs, rappelé que le volontariat est un vecteur de développement et un moyen de lutte contre la pauvreté. Il est revenu aussi sur la thématique de cette 9ème édition. Selon lui, « le thème est une pierre supplémentaire à l’édifice de la solidarité et du partage ». Nicolas Normand de la France a appelé pour sa part à un partenariat entre les volontaires au niveau international.
Même son de cloche chez le secrétaire général adjoint de la présidence de la République du Sénégal, Médoune Cissé. Pour lui, « le véritable défit auquel nous devons faire face est celui de la lutte contre la pauvreté qui nous invite à une mobilisation sans relâche ». Dans ce cadre « les volontaires sont des parties prenantes non négligeables notamment pour la mobilisation des acteurs à la base dans l’exécution des projets et programmes de développement économique et social », martèle Médoune Cissé.
Revenu sur le thème, il a indiqué qu'il illustre « tout l’engagement de la famille des volontaires à s’impliquer dans l’exécution des programmes de développement plus particulièrement dans les Objectifs du millénaire pour le développement qui restent une priorité majeur pour des lendemains meilleurs pour nos populations ». Médoune Cissé a, par ailleurs, salué l’effort fourni par le Cncpv en organisant une série d’activités au profit des populations de la banlieue de Dakar, pour promouvoir le volontariat.
Les « Be ur self » un groupe des volontaires a fait vibrer l’assistance par une chorégraphie qui a relaté plusieurs thèmes. Selon le manager de ce groupe, Ndiaga Mbow, « nous voulons montrer que le volontariat est primordial pour l’atteinte des Omd et que la solution ne se trouve pas dans les séminaires ni dans les débats mais plutôt dans l’effort personnel ». Avant d’ajouter que chacun d’entre nous doit prendre la décision de changer le monde avec son investissement mental, physique et moral.
Les lougatois eux aussi se sont fait remarquer par la danse du « Sabar ». Une chorégraphie autour de laquelle s’invitaient la mortalité infantile, le Sida, l’éducation la pauvreté, entre autres.
Aissatou DOUCOURE
Sud Quotidien