Diama (Dagana), 29 déc (APS) - Le directeur général de la Société de gestion et d’exploitation du barrage de Diama (SOGED), Tamsir Ndiaye, a révélé dimanche que la Banque mondiale (BM) s’est engagée à injecter 4,5 milliards de francs CFA pour financer une partie des travaux de réhabilitation que l’Organisation pour la mise en valeur du fleuve Sénégal (OMVS) envisage d'effectuer sur cet ouvrage.
Ces travaux qui vont concerner les parties métallique, électrique et électromécanique de ce barrage anti-sel vont démarrer au plus tard en fin février, a précisé M. Ndiaye en présence du ministre sénégalais de l’Hydraulique et de l’Assainissement, Pape Diouf, et de ses collègues du Mali, de la Mauritanie et de la Guinée.
Il a affirmé également que d’autres financements viendront en complément de cet apport financier de la BM et d’autres partenaires qui ont ciblé d’autres parties de cet ouvrage dont la rénovation est une composante du Projet de gestion intégrée des ressources en eau et d’usage à buts multiples (Pgire 2).
M. Ndiaye a fait un exposé sur l’importance que revêt cette partie métallique considérée comme étant le cœur de l’ouvrage, fortement érodé depuis sa mise en service en 1986 et faisant face à des problèmes récurrents d’entretien.
Parlant au nom de ses pairs, le ministre malien de l’Energie et de l’Eau, Frankaly Keïta, a salué l’opportunité de ce déplacement au lendemain de la réunion du conseil extraordinaire des ministres de l’OMVS qu’il préside.
Lors de cette session, les ministres ont exprimé leurs préoccupations liées à la situation de la centrale hydro-électrique de Manantali en faisant le point des pourparlers entamés avec la société sud-africaine Eskom.
Le barrage anti-sel de Diama a joué un rôle important dans l’alimentation en eau des populations des pays membres et a beaucoup contribué à l’équilibre des écosystèmes dans cette partie du continent, selon M. Keita.
Le ministre d’Etat guinéen chargé de l’Energie, Papa Coly Kourouma, le ministre mauritanien de l’Hydraulique et de l’Assainissement, Salem Ould Bechir, et le ministre malien de l’Equipement et des Transports, Abdoulaye Koumaré, étaient présents à cette rencontre.
AMD/ASG
Ces travaux qui vont concerner les parties métallique, électrique et électromécanique de ce barrage anti-sel vont démarrer au plus tard en fin février, a précisé M. Ndiaye en présence du ministre sénégalais de l’Hydraulique et de l’Assainissement, Pape Diouf, et de ses collègues du Mali, de la Mauritanie et de la Guinée.
Il a affirmé également que d’autres financements viendront en complément de cet apport financier de la BM et d’autres partenaires qui ont ciblé d’autres parties de cet ouvrage dont la rénovation est une composante du Projet de gestion intégrée des ressources en eau et d’usage à buts multiples (Pgire 2).
M. Ndiaye a fait un exposé sur l’importance que revêt cette partie métallique considérée comme étant le cœur de l’ouvrage, fortement érodé depuis sa mise en service en 1986 et faisant face à des problèmes récurrents d’entretien.
Parlant au nom de ses pairs, le ministre malien de l’Energie et de l’Eau, Frankaly Keïta, a salué l’opportunité de ce déplacement au lendemain de la réunion du conseil extraordinaire des ministres de l’OMVS qu’il préside.
Lors de cette session, les ministres ont exprimé leurs préoccupations liées à la situation de la centrale hydro-électrique de Manantali en faisant le point des pourparlers entamés avec la société sud-africaine Eskom.
Le barrage anti-sel de Diama a joué un rôle important dans l’alimentation en eau des populations des pays membres et a beaucoup contribué à l’équilibre des écosystèmes dans cette partie du continent, selon M. Keita.
Le ministre d’Etat guinéen chargé de l’Energie, Papa Coly Kourouma, le ministre mauritanien de l’Hydraulique et de l’Assainissement, Salem Ould Bechir, et le ministre malien de l’Equipement et des Transports, Abdoulaye Koumaré, étaient présents à cette rencontre.
AMD/ASG