Dakar, 25 mars (APS) - Les activités menées par les correspondantes et correspondants nationaux de la Conférence des ministres de l’éducation des États et gouvernements de la Francophonie (CONFEMEN) présentent un grand intérêt pour le développement de l’éducation des pays membres, a soutenu, lundi à Dakar, le directeur du cabinet du ministre de l’Education Nationale, Modou Mboup, selon qui des efforts restent toujours à faire dans ce domaine.
‘’Ces activités inscrites dans le plan d’action 2013-2014 de la COFEMEN présentent un intérêt certain pour le développement de l’éducation dans les pays membres’’, a-t-il dit, lors de la cérémonie d’ouverture de la réunion du groupe de travail des correspondantes et correspondants nationaux de la CONFEMEN qui se poursuit jusqu’à mercredi.
L’évaluation de l’efficacité de l’aide au développement dans le secteur de l’éducation, l’étude de la gouvernance des systèmes éducatifs dans le cadre du processus de décentralisation et à la définition de nouvelles orientations sur la qualité de l’éducation sont parmi les points que la CONFEMEN va étudier durant ces trois jours.
‘’L’analyse des systèmes éducatifs permet de dire que pour ces dix dernières années, des avancées ont été notées dans le domaine surtout de l’accès à l’éducation, mais force est de reconnaître que des efforts restent’’, a estimé Modou Mboup.
Toutefois, poursuit-il ‘’des efforts doivent être faits sur le plan de la qualité de l’éducation et de la gouvernance, notamment en ce qui concerne le pilotage axé sur les résultats qui fait appel à une plus grande responsabilité des acteurs de l’éducation et de reddition de comptes’’.
''C’est dans ce contexte que la problématique de l’efficacité de l’aide au développement trouve tout son intérêt et devient une préoccupation majeure pour les pays en développement'', selon lui.
Parlant du Sénégal, M. Mboup a souligné que ‘’la lettre de politique générale, adoptée par le gouvernement, définit les grandes orientations du système éducatif jusqu’en 2025 avec des principes dont celui de la bonne gouvernance.’’
A travers ce principe de bonne gouvernance, l’accent sera mis sur la transparence, la rationalisation, de l’utilisation des ressources sur la base des critères pertinents et un meilleur ciblage pour l’allocation des ressources et les dépenses conformes aux priorités définies, a expliqué Modou Mboup.
Il a par ailleurs invité les collectivités locales, des inspections et surtout des écoles à une responsabilité sera davantage accrue.
La Conférence des ministres de l’éducation des États et gouvernements de la Francophonie (CONFEMEN) compte 44 États et gouvernements membres.
SDI/AD
‘’Ces activités inscrites dans le plan d’action 2013-2014 de la COFEMEN présentent un intérêt certain pour le développement de l’éducation dans les pays membres’’, a-t-il dit, lors de la cérémonie d’ouverture de la réunion du groupe de travail des correspondantes et correspondants nationaux de la CONFEMEN qui se poursuit jusqu’à mercredi.
L’évaluation de l’efficacité de l’aide au développement dans le secteur de l’éducation, l’étude de la gouvernance des systèmes éducatifs dans le cadre du processus de décentralisation et à la définition de nouvelles orientations sur la qualité de l’éducation sont parmi les points que la CONFEMEN va étudier durant ces trois jours.
‘’L’analyse des systèmes éducatifs permet de dire que pour ces dix dernières années, des avancées ont été notées dans le domaine surtout de l’accès à l’éducation, mais force est de reconnaître que des efforts restent’’, a estimé Modou Mboup.
Toutefois, poursuit-il ‘’des efforts doivent être faits sur le plan de la qualité de l’éducation et de la gouvernance, notamment en ce qui concerne le pilotage axé sur les résultats qui fait appel à une plus grande responsabilité des acteurs de l’éducation et de reddition de comptes’’.
''C’est dans ce contexte que la problématique de l’efficacité de l’aide au développement trouve tout son intérêt et devient une préoccupation majeure pour les pays en développement'', selon lui.
Parlant du Sénégal, M. Mboup a souligné que ‘’la lettre de politique générale, adoptée par le gouvernement, définit les grandes orientations du système éducatif jusqu’en 2025 avec des principes dont celui de la bonne gouvernance.’’
A travers ce principe de bonne gouvernance, l’accent sera mis sur la transparence, la rationalisation, de l’utilisation des ressources sur la base des critères pertinents et un meilleur ciblage pour l’allocation des ressources et les dépenses conformes aux priorités définies, a expliqué Modou Mboup.
Il a par ailleurs invité les collectivités locales, des inspections et surtout des écoles à une responsabilité sera davantage accrue.
La Conférence des ministres de l’éducation des États et gouvernements de la Francophonie (CONFEMEN) compte 44 États et gouvernements membres.
SDI/AD