Dakar, 2 fév (APS) – Les finances publiques sénégalaises reflètent une évolution à la baisse en fin 2009, avec des recettes budgétaires cumulées estimées à 1101,9 milliards de FCFA et des dépenses totales et prêts nets à 1534 milliards en 2009, selon la Direction de la prévisions et des études économiques (DPEE).
‘’A l’issue de l’année 2009, la décélération de l’activité économique liée notamment à l’environnement international défavorable, a influé sur le niveau de recouvrement des recettes budgétaires’’, indique la direction dans sa dernière note de conjoncture mensuelle transmise à l’APS.
Les recettes budgétaires sont estimées en cumul à 1101,9 milliards, à fin décembre 2009, contre 1152 milliards à la même période en 2008, soit une baisse de 50,1 milliards en valeur absolue et de 4,4% en valeur relative.
‘’Par rapport à l’objectif de la Loi de finances rectificative (LFR) d’un montant de 1202,4 milliards et à celui du cadrage macroéconomique retenu dans le cadre du programme ISPE de 1160 milliards, souligne la DPEE, il ressort des moins values respectives de 100,5 milliards et 58,1 milliards.’’
Aussi les dépenses totales et prêts nets estimés à 1534 milliards en 2009 contre 1578,6 milliards en 2008, ont-elles diminué de 44,6 milliards en valeur absolue et de 2,8% en valeur relative. Cette diminution, signale-t-elle, est ‘’imputable principalement à la baisse des dépenses de fonctionnement’’.
La DPEE précise qu’en somme, le solde global base ordonnancement (dons compris) est évalué en déficit de 286,1 milliards en 2009 contre un déficit de 273,6 milliards en 2008 (soit 4,6% du PIB).
Ce déficit de 2009 représente 4,8% du PIB contre 4,9% prévu dans la LFR et 4,5% dans le cadrage. Le solde budgétaire de base, hors PPTE et IADM, est estimé en déficit de 164,7 milliards, soit au-dessus du plafond fixé par le programme de 119 milliards.
‘’A l’issue de l’année 2009, la décélération de l’activité économique liée notamment à l’environnement international défavorable, a influé sur le niveau de recouvrement des recettes budgétaires’’, indique la direction dans sa dernière note de conjoncture mensuelle transmise à l’APS.
Les recettes budgétaires sont estimées en cumul à 1101,9 milliards, à fin décembre 2009, contre 1152 milliards à la même période en 2008, soit une baisse de 50,1 milliards en valeur absolue et de 4,4% en valeur relative.
‘’Par rapport à l’objectif de la Loi de finances rectificative (LFR) d’un montant de 1202,4 milliards et à celui du cadrage macroéconomique retenu dans le cadre du programme ISPE de 1160 milliards, souligne la DPEE, il ressort des moins values respectives de 100,5 milliards et 58,1 milliards.’’
Aussi les dépenses totales et prêts nets estimés à 1534 milliards en 2009 contre 1578,6 milliards en 2008, ont-elles diminué de 44,6 milliards en valeur absolue et de 2,8% en valeur relative. Cette diminution, signale-t-elle, est ‘’imputable principalement à la baisse des dépenses de fonctionnement’’.
La DPEE précise qu’en somme, le solde global base ordonnancement (dons compris) est évalué en déficit de 286,1 milliards en 2009 contre un déficit de 273,6 milliards en 2008 (soit 4,6% du PIB).
Ce déficit de 2009 représente 4,8% du PIB contre 4,9% prévu dans la LFR et 4,5% dans le cadrage. Le solde budgétaire de base, hors PPTE et IADM, est estimé en déficit de 164,7 milliards, soit au-dessus du plafond fixé par le programme de 119 milliards.