Saint-Louis, 8 août (APS) - La réhabilitation du pont-barrage de Richard-Toll, dans la région de Saint-Louis (nord), est l’une des priorités de l’Office du Lac de Guiers, a indiqué lundi le directeur général de cette structure Birane Ndiaye Dièye.
‘’On ne peut pas parler de la gestion d’un plan d’eau quand ses infrastructures ne sont pas fonctionnelles’’, a dit M. Dièye lors d’une rencontre avec des journalistes membres du Groupe recherche-environnement et presse (GREP) et des représentants de l’ONG WWF.
‘’Les vannes de ce barrage, qui étaient ouvertes depuis des années, ne se sont plus fermées et les autres fermées ne s’ouvrent plus’’, a-t-il signalé.
‘’Un appel d’offre a été lancé pour la réhabilitation du pond-barrage de Richard-Toll, mais aucune entreprise n’a soumissionné’’, a dit le directeur général de l’Office du Lac de Guiers. L’appel d’offre sera lancé une nouvelle fois, pour permettre à ce pont-barrage de jouer ‘’un rôle important’’ dans la gestion des inondations de la ville de Richard-Toll, a ajouté M. Dièye.
‘’Les responsables de la Compagnie sucrière sénégalais (CSS) ont compris cela et promettent, quel qu’en soit le coût, de prendre en charge la moitié du financement nécessaire pour les travaux’’, a-t-il fait savoir.
L’Office du Lac de Guiers a mis en place un plan triennal de 16 milliards de francs CFA, a dit M. Dièye, qui dit caresser l’espoir de trouver ce montant auprès des institutions comme le Fonds nordique ou la Banque mondiale. Ces derniers ont financé des études en vue de la réhabilitation de l’ouvrage.
‘’Les ressources allouées par l’Etat ne couvrent que le budget du fonctionnement. Il nous revient de convaincre les bailleurs de l’opportunité de financer nos activités et d’aller chercher les moyens de notre politique’’, a-t-il encore dit.
Il déplore ‘’la forte pollution’’ du Lac de Guiers et de ses environs par les activités menées autour de cette principale source d’alimentation en eau potable de la région de Dakar.
Cette pollution impacte sur la qualité de l’eau et fait peser des menaces sur les populations, selon M. Dièye. L’Office du Lac de Guiers s’attèlera à trouver les moyens de pallier cette situation, promet son directeur général.
AMD/ESF
‘’On ne peut pas parler de la gestion d’un plan d’eau quand ses infrastructures ne sont pas fonctionnelles’’, a dit M. Dièye lors d’une rencontre avec des journalistes membres du Groupe recherche-environnement et presse (GREP) et des représentants de l’ONG WWF.
‘’Les vannes de ce barrage, qui étaient ouvertes depuis des années, ne se sont plus fermées et les autres fermées ne s’ouvrent plus’’, a-t-il signalé.
‘’Un appel d’offre a été lancé pour la réhabilitation du pond-barrage de Richard-Toll, mais aucune entreprise n’a soumissionné’’, a dit le directeur général de l’Office du Lac de Guiers. L’appel d’offre sera lancé une nouvelle fois, pour permettre à ce pont-barrage de jouer ‘’un rôle important’’ dans la gestion des inondations de la ville de Richard-Toll, a ajouté M. Dièye.
‘’Les responsables de la Compagnie sucrière sénégalais (CSS) ont compris cela et promettent, quel qu’en soit le coût, de prendre en charge la moitié du financement nécessaire pour les travaux’’, a-t-il fait savoir.
L’Office du Lac de Guiers a mis en place un plan triennal de 16 milliards de francs CFA, a dit M. Dièye, qui dit caresser l’espoir de trouver ce montant auprès des institutions comme le Fonds nordique ou la Banque mondiale. Ces derniers ont financé des études en vue de la réhabilitation de l’ouvrage.
‘’Les ressources allouées par l’Etat ne couvrent que le budget du fonctionnement. Il nous revient de convaincre les bailleurs de l’opportunité de financer nos activités et d’aller chercher les moyens de notre politique’’, a-t-il encore dit.
Il déplore ‘’la forte pollution’’ du Lac de Guiers et de ses environs par les activités menées autour de cette principale source d’alimentation en eau potable de la région de Dakar.
Cette pollution impacte sur la qualité de l’eau et fait peser des menaces sur les populations, selon M. Dièye. L’Office du Lac de Guiers s’attèlera à trouver les moyens de pallier cette situation, promet son directeur général.
AMD/ESF