Bambey, 27 mai (APS) - Les universités de Bambey et de Fairfield dans l’Etat du Connecticut (Etats-Unis) ont officiellement lancé un programme de coopération dénommé "Higher Education for Developement" (HED) financé à hauteur de 300.000 dollars américains par l’USAID, a appris un correspondant de l’APS, vendredi.
La cérémonie officielle de lancement du programme HED s’est tenue jeudi à Bambey en présence du recteur, Matar Seck, du chargé des programmes UDAID/Sénégal, Christophe Tocco, et d’une mission de l’université de Fairfield.
Il y avait aussi les étudiants et d’autres invités. Fondée en 1942, Fairfield est une université catholique qui compte aujourd’hui 4000 étudiants.
L’apprentissage du service communautaire appliqué au domaine de la santé est au centre du projet liant les deux universités.
Le projet USAID/HED offre aux deux universités partenaires l’opportunité de se familiariser et de concevoir ensemble l’identification d’objectifs plus précis permettant à Bambey de passer du service communautaire informel au service systématique finalisé dans un programme de formation en trois ans.
L’intérêt du programme réside dans l’éventail des acteurs impliqués dans le processus d’implémentation.
Les professeurs d’université, les étudiants ainsi que les élèves des CEM participants auront à concevoir ensemble et exécuter chacun en ce qui le concerne sa part du travail devant déboucher sur la pratique tous azimuts du service communautaire en santé.
Bambey est une université rurale installée dans une commune qui compte environ 30.000 habitants avec un faible niveau de vie.
L’université veut y contribuer à assurer le développement humain à travers un changement de comportements et réduire la pauvreté en favorisant l’éclosion des compétences. Il s’agit ainsi de donner un coup de fouet à la croissance économique et sociale.
Durant trois ans, le projet de coopération entre Fairfield et Bambey va appuyer les étudiants en leur offrant une formation structurée en service communautaire en sus de leur formation régulière en santé communautaire.
Ainsi seront-ils mieux outillés pour conseiller, assister et communiquer avec les communautés de base par le truchement des technologies de l’information et de la communication.
Dans la première phase, il s’agira collecter des données, de s’imprégner des réalités et préoccupations des zones cibles et d’élaborer des termes de référence et des besoins.
La seconde année vise à fixer les compétences à travers la formation des formateurs, et l’orientation dirigée et graduelle des acteurs, c’est-à-dire les enseignants, les étudiants, les associations partenaires, les élus locaux, etc.
Il s’agit, en fait, de faire porter le projet sur les fonds baptismaux et garantir sa réussite.
MD/SAB
La cérémonie officielle de lancement du programme HED s’est tenue jeudi à Bambey en présence du recteur, Matar Seck, du chargé des programmes UDAID/Sénégal, Christophe Tocco, et d’une mission de l’université de Fairfield.
Il y avait aussi les étudiants et d’autres invités. Fondée en 1942, Fairfield est une université catholique qui compte aujourd’hui 4000 étudiants.
L’apprentissage du service communautaire appliqué au domaine de la santé est au centre du projet liant les deux universités.
Le projet USAID/HED offre aux deux universités partenaires l’opportunité de se familiariser et de concevoir ensemble l’identification d’objectifs plus précis permettant à Bambey de passer du service communautaire informel au service systématique finalisé dans un programme de formation en trois ans.
L’intérêt du programme réside dans l’éventail des acteurs impliqués dans le processus d’implémentation.
Les professeurs d’université, les étudiants ainsi que les élèves des CEM participants auront à concevoir ensemble et exécuter chacun en ce qui le concerne sa part du travail devant déboucher sur la pratique tous azimuts du service communautaire en santé.
Bambey est une université rurale installée dans une commune qui compte environ 30.000 habitants avec un faible niveau de vie.
L’université veut y contribuer à assurer le développement humain à travers un changement de comportements et réduire la pauvreté en favorisant l’éclosion des compétences. Il s’agit ainsi de donner un coup de fouet à la croissance économique et sociale.
Durant trois ans, le projet de coopération entre Fairfield et Bambey va appuyer les étudiants en leur offrant une formation structurée en service communautaire en sus de leur formation régulière en santé communautaire.
Ainsi seront-ils mieux outillés pour conseiller, assister et communiquer avec les communautés de base par le truchement des technologies de l’information et de la communication.
Dans la première phase, il s’agira collecter des données, de s’imprégner des réalités et préoccupations des zones cibles et d’élaborer des termes de référence et des besoins.
La seconde année vise à fixer les compétences à travers la formation des formateurs, et l’orientation dirigée et graduelle des acteurs, c’est-à-dire les enseignants, les étudiants, les associations partenaires, les élus locaux, etc.
Il s’agit, en fait, de faire porter le projet sur les fonds baptismaux et garantir sa réussite.
MD/SAB