Dakar, 29 juin (APS) - Quelque 38 pays africains dont le Sénégal risquent de ne pas atteindre en 2015 les cibles 4 et 5 des Objectifs du millénaires pour le développementb (OMD) relatives à la mortalité infantile et la santé maternelle, indique le rapport 2011 sur l’état de la pratique de sage-femme dans le monde.
Selon ce rapport rendu public mercredi à Dakar et réalisé dans 58 pays dans le monde, 38 pays du continent africain risquent de ne pas atteindre les cibles 4 et 5 des OMD à moins de recruter 112.000 sages-femmes de plus d’ici 2015.
La rapport a été lancé au Sénégal, en présence du ministre de la Santé et de la Prévention Modou Diagne Fada, de la représentante résidente du bureau du Fonds des Nations unies pour la population (FNUAP) Mme Rose Gakuba. Il relève des ‘’écarts considérables entre le nombre de sages-femmes en activité et celles qui seront nécessaires pour sauver des vies’’.
Pour la représentante résidente du FNUAP, ce rapport ‘’met en lumière le rôle crucial des sages-femmes pour sauver les vies du couple mère-enfant et de consolider les systèmes nationaux de santé’’.
A ce propos, l’étude souligne qu’il ‘’y a encore des efforts à faire, car chaque année ce sont environ 350.000 femmes qui meurent pendant la grossesse ou lors des accouchements’’.
Coordonné par le Fonds des nations unies pour la population (FNUAP), le rapport est le résultat de trois mois d’enquête (janvier à mars 2011).
AB/OID
Selon ce rapport rendu public mercredi à Dakar et réalisé dans 58 pays dans le monde, 38 pays du continent africain risquent de ne pas atteindre les cibles 4 et 5 des OMD à moins de recruter 112.000 sages-femmes de plus d’ici 2015.
La rapport a été lancé au Sénégal, en présence du ministre de la Santé et de la Prévention Modou Diagne Fada, de la représentante résidente du bureau du Fonds des Nations unies pour la population (FNUAP) Mme Rose Gakuba. Il relève des ‘’écarts considérables entre le nombre de sages-femmes en activité et celles qui seront nécessaires pour sauver des vies’’.
Pour la représentante résidente du FNUAP, ce rapport ‘’met en lumière le rôle crucial des sages-femmes pour sauver les vies du couple mère-enfant et de consolider les systèmes nationaux de santé’’.
A ce propos, l’étude souligne qu’il ‘’y a encore des efforts à faire, car chaque année ce sont environ 350.000 femmes qui meurent pendant la grossesse ou lors des accouchements’’.
Coordonné par le Fonds des nations unies pour la population (FNUAP), le rapport est le résultat de trois mois d’enquête (janvier à mars 2011).
AB/OID