Dakar, 12 août (APS) – Le ministre des Ecovillages, des Bassins de rétention, des Lacs artificiels et de la Pisciculture, Babacar Ndao, a plaidé, mercredi à Dakar, pour une valorisation maximale des ressources en eau, estimant qu’il est impossible de mener des activités agricoles et rurales, sans prendre en compte la dimension maîtrise de l’eau.
‘’Sur ce plan, le Projet d’appui à la petite irrigation locale (PAPIL) prévoit des retenues d’eau au niveau des vallées qui permettent un peu de pouvoir garder une grande partie de l’eau et fournir cette disponibilité aux populations’’, a indiqué M. Ndao lors d’une réunion de prise de contact avec les services relevant de son département.
Il a jugé satisfaisant le travail qui se fait, estimant qu’il est assez bien lancé. En effet, ce sont des projets de développement rural qui, dans une certaine mesure, concourent à la maitrise de l’eau, mais aussi à une bonne gestion du potentiel hydrique, a-t-il expliqué.
‘’Il s’agit aussi, a souligné M. Ndao, d’appuyer les populations pour leur permettre de mieux prendre en charge des activités rurales qui peuvent se dérouler hors saison dans la valorisation de leurs activités saisonnières.’’
Cela est intéressant parce que les projets se déroulent normalement, même si certaines contraintes ont été relevées par les techniciens, a-t-il apprécié.
Ces contraintes, a-t-il précisé, sont liées à une insuffisance de financement, mais aussi à un manque de professionnalisme de certains prestataires qui ne maîtrisent pas souvent certains aspects nouveaux comme la réalisation des bassins de rétentions.
‘’Il y a également certaines contraintes liées aux techniques de valorisation des ressources, et sur ce plan, nous avons fait le tour d’horizon et les échanges faits entre techniciens augurent de meilleure lendemains’’, a poursuivi e ministre des Ecovillages.
Lors de cette rencontre, a-t-il souligné, certaines améliorations ont été apportées pour mieux prendre en compte les aspects de renforcement de ressources humaines, en ce qu’il s’agit des activités d’intégration du volet de protection des digues, des aménagements par des brise-vents, etc.
Il a insisté sur l’aspect de l’intégration de différentes activités afin que, de manière plus harmonieuse, les questions pastorales et agricoles, ainsi que celles liées à l’irrigation soient bien prises en compte.
‘’Sur ce plan, nous avons bon espoir que les projets en vue (...) prendront en compte certains aspects qui ont été dans le temps minimisés, notamment la communication et le volet prestation, pour permettre une meilleure exécution des projets pour l’intérêt des populations’’, a encore dit Babacar Ndao.
A ce sujet, il n’exclut pas, de se rendre, dans les prochains jours, dans les zones concernées, afin de mieux s’imprégner de toutes ces questions.
La rencontre de prise contact avec les services relevant du ministère des Ecovillages a permis aux différents techniciens du département, de faire l’état des réalisations et des difficultés.
LTF/ASG
‘’Sur ce plan, le Projet d’appui à la petite irrigation locale (PAPIL) prévoit des retenues d’eau au niveau des vallées qui permettent un peu de pouvoir garder une grande partie de l’eau et fournir cette disponibilité aux populations’’, a indiqué M. Ndao lors d’une réunion de prise de contact avec les services relevant de son département.
Il a jugé satisfaisant le travail qui se fait, estimant qu’il est assez bien lancé. En effet, ce sont des projets de développement rural qui, dans une certaine mesure, concourent à la maitrise de l’eau, mais aussi à une bonne gestion du potentiel hydrique, a-t-il expliqué.
‘’Il s’agit aussi, a souligné M. Ndao, d’appuyer les populations pour leur permettre de mieux prendre en charge des activités rurales qui peuvent se dérouler hors saison dans la valorisation de leurs activités saisonnières.’’
Cela est intéressant parce que les projets se déroulent normalement, même si certaines contraintes ont été relevées par les techniciens, a-t-il apprécié.
Ces contraintes, a-t-il précisé, sont liées à une insuffisance de financement, mais aussi à un manque de professionnalisme de certains prestataires qui ne maîtrisent pas souvent certains aspects nouveaux comme la réalisation des bassins de rétentions.
‘’Il y a également certaines contraintes liées aux techniques de valorisation des ressources, et sur ce plan, nous avons fait le tour d’horizon et les échanges faits entre techniciens augurent de meilleure lendemains’’, a poursuivi e ministre des Ecovillages.
Lors de cette rencontre, a-t-il souligné, certaines améliorations ont été apportées pour mieux prendre en compte les aspects de renforcement de ressources humaines, en ce qu’il s’agit des activités d’intégration du volet de protection des digues, des aménagements par des brise-vents, etc.
Il a insisté sur l’aspect de l’intégration de différentes activités afin que, de manière plus harmonieuse, les questions pastorales et agricoles, ainsi que celles liées à l’irrigation soient bien prises en compte.
‘’Sur ce plan, nous avons bon espoir que les projets en vue (...) prendront en compte certains aspects qui ont été dans le temps minimisés, notamment la communication et le volet prestation, pour permettre une meilleure exécution des projets pour l’intérêt des populations’’, a encore dit Babacar Ndao.
A ce sujet, il n’exclut pas, de se rendre, dans les prochains jours, dans les zones concernées, afin de mieux s’imprégner de toutes ces questions.
La rencontre de prise contact avec les services relevant du ministère des Ecovillages a permis aux différents techniciens du département, de faire l’état des réalisations et des difficultés.
LTF/ASG