Dakar, 3 sept (APS) – Le président du groupe de la Banque mondiale (BM) Robert Zoellick appelle les participants au prochain sommet mondial sur l’environnement, en décembre prochain à Copenhague (Danemark), à soutenir le développement de l’énergie électrique en Afrique.
‘’Les participants aux négociations de Copenhague sur le changement climatique devraient soutenir le développement de l’énergie hydroélectrique et d’autres énergies propres en Afrique, ainsi que les efforts de reboisement’’, écrit M. Zoellick dans une tribune dont l’APS a obtenu copie.
La conférence de Copenhague, axée sur les changements climatiques, devrait définir de nouveaux engagements pour remplacer ceux contenus dans le Protocole de Kyoto, signé en 1997 et expirant en 2012.
‘’Les forêts africaines peuvent être les poumons du monde’’, estime le président de la BM, qui a récemment effectué une visite dans la région des Grands Lacs.
‘’Cette année, les États-Unis accueilleront le sommet du G-20 et le Danemark sera l’hôte de la conférence des Nations unies sur le changement climatique. La crise économique et le changement climatique ayant souligné l’importance des pays en développement, l’Afrique doit figurer à l’ordre du jour de ces rencontres’’, a-t-il préconisé.
‘’Le G-20 doit créer une multiplicité de pôles de croissance mondiale comme un des éléments (…) d’une économie internationale jusqu’ici excessivement tributaire du consommateur américain. La croissance peut venir de Chine et d’Inde, mais nous devons regarder plus loin’’, a-t-il poursuivi.
‘’Au fil du temps, espère Robert Zoellick, les investissements en Afrique peuvent aussi accroître les sources de demande, y compris pour les biens d’équipement et les services produits par les pays développés’’.
‘’La mondialisation doit être viable et profiter à tous. Les réunions au sommet qui auront lieu cet automne devraient faire le lien entre la mondialisation et une opportunité pour l’Afrique’’, a-t-il estimé.
‘’Étant donné qu’environ 80% de la population de ces pays (africains) vivent de la terre, le développement agricole est fondamental’’, a-t-il encore dit.
‘’Les participants aux négociations de Copenhague sur le changement climatique devraient soutenir le développement de l’énergie hydroélectrique et d’autres énergies propres en Afrique, ainsi que les efforts de reboisement’’, écrit M. Zoellick dans une tribune dont l’APS a obtenu copie.
La conférence de Copenhague, axée sur les changements climatiques, devrait définir de nouveaux engagements pour remplacer ceux contenus dans le Protocole de Kyoto, signé en 1997 et expirant en 2012.
‘’Les forêts africaines peuvent être les poumons du monde’’, estime le président de la BM, qui a récemment effectué une visite dans la région des Grands Lacs.
‘’Cette année, les États-Unis accueilleront le sommet du G-20 et le Danemark sera l’hôte de la conférence des Nations unies sur le changement climatique. La crise économique et le changement climatique ayant souligné l’importance des pays en développement, l’Afrique doit figurer à l’ordre du jour de ces rencontres’’, a-t-il préconisé.
‘’Le G-20 doit créer une multiplicité de pôles de croissance mondiale comme un des éléments (…) d’une économie internationale jusqu’ici excessivement tributaire du consommateur américain. La croissance peut venir de Chine et d’Inde, mais nous devons regarder plus loin’’, a-t-il poursuivi.
‘’Au fil du temps, espère Robert Zoellick, les investissements en Afrique peuvent aussi accroître les sources de demande, y compris pour les biens d’équipement et les services produits par les pays développés’’.
‘’La mondialisation doit être viable et profiter à tous. Les réunions au sommet qui auront lieu cet automne devraient faire le lien entre la mondialisation et une opportunité pour l’Afrique’’, a-t-il estimé.
‘’Étant donné qu’environ 80% de la population de ces pays (africains) vivent de la terre, le développement agricole est fondamental’’, a-t-il encore dit.