Ndiéguène, 28 mars (APS) - La maîtrise de l’eau est un élément fondamental qui a permis de résoudre la vulnérabilité liée à la pluviométrie dans les productions agricoles encadrées par le Plan retour vers l’agriculture (REVA).
"Les exploitations pluviales constituent une principale limite pour la production agricole au Sénégal. La pluviométrie est très aléatoire", a souligné El Hadji Malick Sarr selon qui "adossez une activité sur un facteur aussi aléatoire que la pluie dans le Sahel, est une limite fondamentale".
En ce sens, il a relevé qu’il suffit que les pluies manquent ou qu’elles soient mal réparties pour que les productions ne soient pas au rendez-vous. "C’est pourquoi, la maîtrise de l’eau permet de résoudre la vulnérabilité", a-t-il encore relevé.
Toute l’année, a-t-il dit, il y a une possibilité de faire des productions. "La maîtrise de l’eau permet de solutionner cela et de réduire le temps de travail", a indiqué le directeur général du Plan REVA à l’occasion d’une visite de travail dans les fermes aménagées par cette structure dans la région de Thiès.
Pour cela, la technique du goutte à goutte est initiée dans certains champs, qui constitue à amener l’eau à la racine de la plante avec des fertilisants. "On a fait de telle sorte que les aliments dont la plante a besoin parviennent à la bouche de cette dernière", a expliqué le technicien.
"C’est pourquoi, a-t-il encore souligné, nous avons réalisé des fermes sur ce principe directeur qu’est la maîtrise de l’eau. Il y a en plus de la technique du goutte à goutte, celle de l’aspersion que la ferme de Darou Ndoye a installée", a ajouté El Hadji Malick Sarr.
A ce propos, il a fait savoir qu’une démarche rurale qui s’installe dans le pays permet d’accroître la valorisation des ressources disponibles pour l’agriculture intensive et se faisant, offrir du travail aux jeunes.
"La mission fondamentale de l’Agence REVA est de faire revenir les jeunes dans l’activité agricole", a-t-il expliqué, non sans regretter trois limites selon lui à cette activité agricole, citant les exploitations pluviales, la faiblesse des rendements et le peu d’intérêt des jeunes pour le travail de la terre.
"Les rendements sont moyens et sont à la moitié du potentiel. Nous sommes à des niveaux de productivité qui dégagent une plage de progression très importante. Si les gens travaillent en terme de productivité, avec un facteur aléatoire comme la pluie, cela ne sert à rien", a fait remarquer le directeur général du plan REVA.
"Si les gens sont assis sur un facteur comme l’eau, qui développe une vulnérabilité, ce n’est pas étonnant que les jeunes cherchent autre chose", a relevé El Hadji Malick Sarr. "Finalement, a-t-il poursuivi, l’agriculture est un métier que l’on choisit par défaut".
Selon lui, c’est la raison pour laquelle, pour développer une attractivité vers cette activité, il faut apporter des à ces difficultés. "Le plan de retour avec une parfaite maîtrise de l’eau est une des solution préconisée par les autorités", a-t-il soutenu.
"Les exploitations pluviales constituent une principale limite pour la production agricole au Sénégal. La pluviométrie est très aléatoire", a souligné El Hadji Malick Sarr selon qui "adossez une activité sur un facteur aussi aléatoire que la pluie dans le Sahel, est une limite fondamentale".
En ce sens, il a relevé qu’il suffit que les pluies manquent ou qu’elles soient mal réparties pour que les productions ne soient pas au rendez-vous. "C’est pourquoi, la maîtrise de l’eau permet de résoudre la vulnérabilité", a-t-il encore relevé.
Toute l’année, a-t-il dit, il y a une possibilité de faire des productions. "La maîtrise de l’eau permet de solutionner cela et de réduire le temps de travail", a indiqué le directeur général du Plan REVA à l’occasion d’une visite de travail dans les fermes aménagées par cette structure dans la région de Thiès.
Pour cela, la technique du goutte à goutte est initiée dans certains champs, qui constitue à amener l’eau à la racine de la plante avec des fertilisants. "On a fait de telle sorte que les aliments dont la plante a besoin parviennent à la bouche de cette dernière", a expliqué le technicien.
"C’est pourquoi, a-t-il encore souligné, nous avons réalisé des fermes sur ce principe directeur qu’est la maîtrise de l’eau. Il y a en plus de la technique du goutte à goutte, celle de l’aspersion que la ferme de Darou Ndoye a installée", a ajouté El Hadji Malick Sarr.
A ce propos, il a fait savoir qu’une démarche rurale qui s’installe dans le pays permet d’accroître la valorisation des ressources disponibles pour l’agriculture intensive et se faisant, offrir du travail aux jeunes.
"La mission fondamentale de l’Agence REVA est de faire revenir les jeunes dans l’activité agricole", a-t-il expliqué, non sans regretter trois limites selon lui à cette activité agricole, citant les exploitations pluviales, la faiblesse des rendements et le peu d’intérêt des jeunes pour le travail de la terre.
"Les rendements sont moyens et sont à la moitié du potentiel. Nous sommes à des niveaux de productivité qui dégagent une plage de progression très importante. Si les gens travaillent en terme de productivité, avec un facteur aléatoire comme la pluie, cela ne sert à rien", a fait remarquer le directeur général du plan REVA.
"Si les gens sont assis sur un facteur comme l’eau, qui développe une vulnérabilité, ce n’est pas étonnant que les jeunes cherchent autre chose", a relevé El Hadji Malick Sarr. "Finalement, a-t-il poursuivi, l’agriculture est un métier que l’on choisit par défaut".
Selon lui, c’est la raison pour laquelle, pour développer une attractivité vers cette activité, il faut apporter des à ces difficultés. "Le plan de retour avec une parfaite maîtrise de l’eau est une des solution préconisée par les autorités", a-t-il soutenu.