Kaolack, 14 juin (APS) - Le Projet de gestion et de restauration des terres dégradées du bassin arachidier (PROGERT) a réussi à récupérer en quatre années 290 ha des 1.850 ha de terres affectées par le sel dans le village de recasement de Koutal (Kaolack, centre), a indiqué son coordonnateur Ibra Soukarou Ndiaye.
M. Ndiaye a appris que ces 290 ha de terres dégradées ont été reconquis de manière progressive grâce à une nouvelle technologie rudimentaire consistant à répandre de la coque d’arachide sur les surfaces affectées par le sel.
Le coordonnateur du PROGERT était en visite durant le week-end dans la région en compagnie d’experts burkinabé, tunisiens, camerounais et américains, sur des terres agricoles, pastorales et forestières à l’intention de l’équipe d’experts étrangers.
Cette visite guidée était initiée dans le cadre de la première semaine africaine des terres arides et la semaine de réflexion et d’échanges sur la journée mondiale de lutte contre la désertification. Au cours de cette visite dans les villages kaolackois visités de Mbane et de Koutal, les populations rencontrées ont émis, pratiquement à l’unanimité, ‘’le seul et unique souhait de disposer de l’eau’’.
A cet effet, M. Ndiaye a expliqué que des études sont en cours à Louga et des experts sont en train d’y travailler sur le curage des marres.
Ces études prometteuses, une fois terminées, faciliteront l’élargissement de l’expertise dans la zone d’intervention du PROGERT afin d’aider au développement du concept de bassins de rétention dans toutes les localités polarisées, a-t-il annoncé.
La mise à disposition des terres, de façon qualitative et quantitative, permettra de parvenir à des résultats probants en matière de gestion et de restauration des forêts mais aussi de maintenir l’équilibre de la biosphère et d’avoir une végétation en abondance, a soutenu le technicien.
Les experts venus s’enquérir de l’état d’avancement du projet ont reconnu des résultats certains du projet en matière de lutte contre la salinisation des terres tout en relevant, avec les populations, qu’il reste encore des pas à réaliser pour combattre efficacement la désertification.
PON/SAB
M. Ndiaye a appris que ces 290 ha de terres dégradées ont été reconquis de manière progressive grâce à une nouvelle technologie rudimentaire consistant à répandre de la coque d’arachide sur les surfaces affectées par le sel.
Le coordonnateur du PROGERT était en visite durant le week-end dans la région en compagnie d’experts burkinabé, tunisiens, camerounais et américains, sur des terres agricoles, pastorales et forestières à l’intention de l’équipe d’experts étrangers.
Cette visite guidée était initiée dans le cadre de la première semaine africaine des terres arides et la semaine de réflexion et d’échanges sur la journée mondiale de lutte contre la désertification. Au cours de cette visite dans les villages kaolackois visités de Mbane et de Koutal, les populations rencontrées ont émis, pratiquement à l’unanimité, ‘’le seul et unique souhait de disposer de l’eau’’.
A cet effet, M. Ndiaye a expliqué que des études sont en cours à Louga et des experts sont en train d’y travailler sur le curage des marres.
Ces études prometteuses, une fois terminées, faciliteront l’élargissement de l’expertise dans la zone d’intervention du PROGERT afin d’aider au développement du concept de bassins de rétention dans toutes les localités polarisées, a-t-il annoncé.
La mise à disposition des terres, de façon qualitative et quantitative, permettra de parvenir à des résultats probants en matière de gestion et de restauration des forêts mais aussi de maintenir l’équilibre de la biosphère et d’avoir une végétation en abondance, a soutenu le technicien.
Les experts venus s’enquérir de l’état d’avancement du projet ont reconnu des résultats certains du projet en matière de lutte contre la salinisation des terres tout en relevant, avec les populations, qu’il reste encore des pas à réaliser pour combattre efficacement la désertification.
PON/SAB